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L’abus d’antibiotiques et l’alimentation industrielle ont bouleversé notre flore intestinale.

Normalement, notre gros intestin (côlon) est habité par des milliards de « bonnes bactéries » qui nous protègent parce que :

  • elles interdisent aux microbes agressifs de s’implanter ;
  • elles forment une barrière qui empêche les organismes facteurs de maladie de passer dans notre sang ;
  • elles achèvent la bonne digestion de nos aliments, permettant en particulier d’en extraire les vitamines B, acides gras, enzymes, en les faisant fermenter ;
  • surtout, elles sont le pilier central de notre système immunitaire : les scientifiques estiment que la flore intestinale représente 80 % de nos défenses naturelles.

Encore faut-il que les besoins de cette précieuse flore soient respectés.

Nos bactéries ont besoin d’être nourries. Elles ont aussi besoin d’accueillir régulièrement de nouvelles bactéries amies arrivant de l’extérieur, via notre alimentation.

Enfin, cette flore a besoin de ne pas être passée périodiquement au « Roundup » (produits antiseptiques et antibiotiques).

Les antibiotiques sont le Roundup de nos intestins

Dès leur plus jeune âge, nos enfants sont massivement exposés à des traitements par antibiotiques et des désinfectants qui déciment leur flore intestinale. L’abus d’eau de Javel dans l’eau du robinet et de produits antibactériens pour se laver les mains constitue aussi une agression contre l’équilibre naturel de leur flore : « En utilisant un désinfectant, le délicat équilibre bactérien s’effondre. Un grand nombre de micro-organismes meurent, laissant la place à d’autres parfois plus virulents », explique Pascale Hanssens des hôpitaux Robert Schuman (Luxembourg) [4].

À force d’attaquer les bactéries nécessaires à notre santé, nous finissons par les faire disparaître, cédant la place aux mauvaises bactéries, qui se développent d’autant mieux et sont d’autant plus difficiles à combattre qu’elles n’ont plus de concurrence.

D’où l’augmentation consternante des maladies provoquées par les bactéries et les champignons microscopiques : mycoses, candidoses, qui colonisent les muqueuses des populations des pays industrialisés, dans les intestins et très fréquemment aussi dans les zones génitales.

La guerre aux « microbes » est donc en train de très mal se terminer… pour nous.

Double problème pour les bébés nés par césarienne

L’accouchement par césarienne, autrefois réservé à des cas exceptionnels, est en progrès rapide.

Dans des pays comme les États-Unis, l’Espagne, la Suisse, une césarienne est presque systématiquement proposée, et parfois imposée, à la future maman, sans nécessité médicale évidente.

« Vous éviterez les douleurs et les risques de l’accouchement par voie naturelle », expliquent les gynécologues attentionnés.

Mais cette tendance s’explique aussi par un « business » qui arrange bien l’industrie de la médecine moderne :

  • une césarienne, qui est une procédure chirurgicale qui rapporte beaucoup plus aux hôpitaux qu’un simple accouchement par voie basse ;
  • la césarienne peut se programmer à l’avance. La maman trouve pratique de pouvoir « prendre rendez-vous » pour accoucher. Cela arrange aussi le gynéco-obstétricien, qui évite ainsi de devoir se lever la nuit ;
  • les opérations peuvent être planifiées, permettant ainsi une optimisation de l’usage du matériel médical (bloc opératoire) et des lits.

Mais une fois encore, on oublie le bien-être réel du bébé.

Il est vrai qu’un bébé risque moins de connaître une souffrance fœtale lors d’une césarienne.

Mais les bébés reçoivent normalement à leur naissance, par voie basse, la flore intestinale de leur maman. Ils sont mis en contact avec elle lors de leur passage dans le canal de naissance. Leurs lèvres, leur bouche, puis leur voie digestive, jusque-là stériles, sont ensemencées.

Pour les bébés nés par césarienne, ce sont malheureusement les bactéries du milieu hospitalier qui s’installent, ce qui peut expliquer leur plus grande tendance aux allergies.

Une solution consiste à acheter un bon complexe de probiotiques (voir plus loin) avant l’accouchement et de le tenir à portée de la maman. En diluant ces probiotiques dans l’eau, elle pourra y tremper son doigt et poser quelques gouttes sur les lèvres de son bébé après la naissance. La première fois, cela devra, bien sûr, être fait par le père si la maman est encore sous anesthésiant.

N’oublions pas non plus que la césarienne est beaucoup plus traumatisante pour la maman, qui sera obligée de garder le lit plus longtemps.

Aller chercher les bonnes bactéries

Aussi absurde que cela puisse paraître, notre mode de vie moderne nous oblige à nous préoccuper d’aller chercher activement les bonnes bactéries dans notre environnement et notre alimentation, pour réensemencer notre flore intestinale, surtout après des agressions comme des cures de désinfectants ou d’antibiotiques.

Nous ne pouvons plus prendre pour acquis le fait que nous avons les bons apports en bactéries :

  • parce que nous ne vivons plus dans des fermes, au contact d’animaux, de la poussière, de la terre, des arbres et des fleurs au quotidien ;
  • parce que notre alimentation est pasteurisée, stérilisée ;
  • parce que nous mangeons trop de sucreries, produits laitiers et céréales qui font proliférer les bactéries pathogènes (c’est-à-dire les bactéries qui dégradent la santé) dans nos intestins ;
  • parce que nos fruits et légumes n’ont plus naturellement sur eux de bonnes bactéries. Ils sont trop propres, mais nous sommes bien obligés de les laver soigneusement pour en enlever les pesticides. C’est la quadrature du cercle ;
  • parce que nos lieux de vie, nos vêtements, sont constamment nettoyés, désinfectés à trop haute température ;
  • parce que nous nous baignons dans des piscines pleines d’eau de Javel et que nous prenons des antibiotiques…

En revanche, une étude américaine parue en juin 2012 dans le Journal of allergy and clinical immunology a montré que les personnes de la communauté amish – une population des États-Unis qui vit dans des fermes traditionnelles sans sanitaires, sans électricité, sans eau courante et sans antibiotiques – développaient dix fois moins d’asthme et de maladies allergiques [5].

C’est pourquoi je me permets de vous répéter ce que j’écrivais il y a quelque temps sur ce même sujet.

Rétablir le contact avec la terre et la nature

Le meilleur moyen de restaurer une bonne flore intestinale est de rétablir le contact la nature, la terre, les produits naturels, qui sont naturellement porteurs des bonnes bactéries.

Il faut s’éloigner des désinfectants, antibiotiques et autres bactéricides qui détruisent notre flore. Il faut manger bio et éviter les aliments inflammatoires (gluten, produits laitiers, bonbons, nourriture industrielle).

Nous devons, en particulier :

  • veiller à laisser nos enfants marcher à quatre pattes à l’extérieur, sans leur laver les mains toutes les cinq minutes avec des lingettes désinfectantes ;
  • avoir des animaux domestiques : les enfants élevés avec un chat ou un chien dans la maison ont moins d’allergies ;
  • éviter les contacts avec l’eau de Javel et les solutions hydro-alcooliques pour ne pas détruire nos équilibres microbiens ;
  • manger chaque semaine des aliments fermentés non stérilisés (choucroute, cornichons, kéfir bio) ;
  • manger des aliments du jardin – si vous avez la chance d’en avoir un –, cultivés bio, sans trop les nettoyer ;
  • et, pour ceux qui en ont les moyens financiers, prendre des probiotiques pour réensemencer notre tube digestif. Les probiotiques sont des bactéries ayant un effet favorable prouvé pour la santé.

Il va sans dire que vous ne voulez pas introduire dans votre corps des bactéries pathogènes comme l’E. coli, la salmonelle, ni des levures comme le Candida albicans.

Ce qu’il faut pour votre santé, ce sont des souches bactériennes « probiotiques ».

Quelles sont les souches bactériennes probiotiques

Prendre des probiotiques sous forme de complément alimentaire est le moyen le plus efficace et le plus direct de réensemencer notre côlon (gros intestin) avec les bonnes espèces bactériennes.

Je n’ai toutefois cité cette solution qu’à la fin, car elle est réservée aux personnes qui en ont les moyens.

Les probiotiques, en effet, coûtent cher. Leur mode de fabrication et de conservation est compliqué.

C’est triste à dire, mais c’est encore un facteur majeur d’inégalité devant la santé.

Pour concevoir des probiotiques qui aient des bienfaits réels sur la santé, il faut d’abord isoler des souches bactériennes répondant à une liste rigoureuse de conditions. Il faut qu’elles soient :

  • d’origine humaine ou issues d’aliments fermentés traditionnels ;
  • résistantes aux sucs gastriques et sels biliaires, sans quoi elles sont détruites par la digestion ;
  • capables d’adhérer aux voies intestinales pour ne pas être évacuées avec les déchets alimentaires ;
  • capables de s’implanter à la place des bactéries mauvaises pour la santé ;
  • capables de stimuler l’immunité ;
  • capables de produire des substances antimicrobiennes ;
  • sans aucun risque pour la santé ;
  • produites et conservées dans un état stable.

Ces conditions sont si nombreuses que peu de souches bactériennes y répondent.

Les souches de probiotiques aux effets scientifiquement reconnus

À l’heure où je vous écris, différentes souches de bactéries ont été identifiées scientifiquement de façon rigoureuse comme respectant les critères ci-dessus… Mais seulement cinq biotypes bactériens ont été particulièrement éprouvés par des tests cliniques.

Il s’agit du Lactobacillus acidophilus, du Lactobacillus casei, du Lactobacillus plantarum, du Bifidobacterium et du Streptococcus thermophilus.

Ces différentes souches peuvent être prises séparément ou de manière combinée. Elles peuvent réguler la flore intestinale en influençant la production de certaines substances microbiennes (toxines). Elles empêchent l’implantation de bactéries pathogènes. Elles améliorent la digestion et aident à moduler la réponse immunitaire.

Ces facteurs contribuent à réduire l’inflammation chronique des voies digestives et à prévenir les infections et les maladies graves [6] [7].

Une bonne digestion est aussi la garantie d’une plus grande énergie. Les probiotiques ont été testés avec succès contre le syndrome de fatigue chronique [8].

Notons enfin que, dans cette dernière étude, il a été établi qu’une dose de 10 milliards de probiotiques par prise quotidienne constitue le minimum. Mais l’effet ne devient notoire qu’à partir de 25 milliards.

Important : le mode de fabrication

Tout aussi important que le type de souches bactériennes, il y a le mode de fabrication des probiotiques.

Vous allez comprendre pourquoi les probiotiques, bien que nécessaires pour une bonne santé dans les conditions de vie modernes, restent toutefois des produits hautement techniques et donc coûteux.

Une fois la bonne souche bactérienne identifiée, elle doit être conservée à – 80 °C.

Pour en produire les quantités nécessaires en supplémentation nutritionnelle, il faut des fermenteurs, qui sont des sortes de « réacteurs » énormes de 2 à 3 000 litres. On introduit dans ces réacteurs la souche bactérienne qui aura été préalablement repiquée et inoculée dans des fioles de capacité croissante.

La culture en réacteur dure moins de 24 heures. Des conditions extrêmement précises de température, d’acidité, d’aération et d’agitation doivent, bien sûr, être réunies.

En fin de fermentation, les bactéries sont récupérées en les faisant tourner à très haute vitesse (centrifugation). On obtient ainsi une « pâte bactérienne » très concentrée.

Il faut alors la faire sécher avec beaucoup de précaution pour maintenir un maximum de bactéries en vie. Cette technique s’appelle la « lyophilisation » : on congèle la pâte bactérienne et elle est mise sous vide, ce qui permet à la glace de s’évaporer directement sans passer par l’état liquide. L’eau est directement extraite sous forme gazeuse selon le phénomène de la « sublimation ».

Cette phase peut durer entre un et trois jours. À son terme, le produit se présente sous forme de gâteau sec : pratiquement toute l’eau a été extraite.

On peut alors réduire ce gâteau en une poudre bactérienne, appelée « culture pure », qui permettra de fabriquer le produit fini (gélule, poudre ou autre produit contenant des probiotiques).

Indispensable : maintenir un maximum de bactéries vivantes !

Les probiotiques sont des produits vivants : quoi que vous fassiez, les bactéries meurent avec le temps.

Tout ce que vous pouvez faire est de ralentir leur vitesse de disparition.

  • Elles meurent plus lentement si la lyophilisation a été très bien faite.
  • Elles meurent aussi plus lentement si elles sont conservées à une température proche de 40 °C.

À cette température, les bactéries lactiques auront une courbe de décroissance de 2 % à 3 % du nombre de bactéries initiales par mois. Ce taux de décroissance est de 10 % à 15 % lorsque ces mêmes bactéries sont maintenues à une température ambiante (entre 20 °C et 25 °C) [9].

Les bactéries ont aussi besoin d’être protégées de l’oxygène. Certaines souches, enfin, plus résistantes, survivent plus longtemps.

En apportant un soin particulier à la fabrication (lyophilisation maximale, sélection des souches et protection contre l’oxygène), les meilleurs probiotiques parviennent à un taux de survie de 40 % après 24 mois à 25 °C, alors que ce pourcentage est de 25 % après 6 mois pour les bactéries lactiques non protégées.

Probiotiques : la santé à deux vitesses

Vous comprenez pourquoi je parlais d’un facteur d’inégalité devant la santé.

La plupart des citoyens n’en ont pas conscience, mais :

– d’un côté, il y a une petite élite bien informée qui a les moyens d’acheter les nouveaux compléments alimentaires de probiotiques bien dosés, à 10 milliards de probiotiques ou plus par dose ;

– de l’autre, la masse des personnes qui se font vendre des probiotiques absolument inutiles, souvent à bas prix, mais de toute façon toujours beaucoup trop chers par rapport à leur efficacité, qui est de zéro.

Ce que 99,9 % des gens ignorent, c’est que des millions de bactéries probiotiques ne représentent rien par rapport à la quantité nécessaire. Cela ne peut avoir un quelconque effet sur votre santé. Les bactéries, d’ailleurs, n’atteindront probablement jamais votre côlon. Elles ne pourront pas s’y implanter, et encore moins avoir un effet quelconque sur votre santé.

C’est pourquoi les autorités de santé ont toujours lutté énergiquement contre les vendeurs de probiotiques qui tentent de faire croire (allégations) que leurs produits avaient un effet sur la santé.

De nombreuses personnes ont essayé les probiotiques et se sont convaincues que ça ne marchait pas. Leur produit était « tout simplement » mille ou dix mille fois sous-dosé…

Mais pour le fabricant, la différence est capitale : produire de prétendus « probiotiques » qui contiennent cent millions de bactéries ne coûte que quelques centimes.

Il est facile alors de faire une énorme « culbute », si vous trouvez un client prêt à payer 10 ou 20 euros pour ça.

Par contre, commercialiser des probiotiques contenant plus de 10 milliards de bactéries par dose est un défi. Car la plupart des gens estimeront que le prix en est trop élevé. Elles croiront faire une « affaire » en trouvant des probiotiques moins chers ailleurs.

Grave erreur…

Probiotiques de nouvelle génération

J’ai parlé de « nouveaux » probiotiques ci-dessus. Pourquoi ?

Parce que les produits les plus avancés ne contiennent plus seulement des probiotiques, mais également des prébiotiques qui vont nourrir les probiotiques en place dans l’intestin.

Le terme de « prébiotique » a été introduit récemment, en 1995, par Gibson et Roberfroid [10]. Ils doivent être distingués des probiotiques, car ce ne sont pas des micro-organismes.

Ce sont des fibres que vous ne digérez pas, mais qui sont très appréciées des bactéries dans le côlon. Elles passent dans votre estomac et rejoignent l’intestin, où elles permettent aux bactéries de se multiplier.

Les prébiotiques sont considérés comme des facteurs de croissance des probiotiques. En d’autres termes, leur présence multiplie le nombre et les effets des probiotiques présents dans le côlon.

Les plus utilisés actuellement sont l’inuline et les fructo-oligosaccharides. Ils sont efficaces, mais les meilleurs prébiotiques sont ceux que l’on trouve dans le lait maternel. Ils protègent les nourrissons de la diarrhée et renforcent leur immunité à un stade du développement où ils restent très fragiles. On les appelle les « galacto-oligosaccharides ».

Ils réduisent la quantité de bactéries néfastes et de germes pathogènes tels que le clostridium et le E. coli.

Ils accroissent l’absorption des minéraux, en particulier du calcium, stimulent les enzymes bactériennes détoxifiantes, favorisent l’excrétion des sels biliaires et font baisser la production de composés néfastes tels que les phénols et les indoles.

Ils atténuent la constipation, réduisent le risque de diarrhées et de maladies inflammatoires intestinales. Les galacto-oligo-saccharides exercent un effet à partir de 300 mg par jour.

Les produits contenant à la fois des pro- et des prébiotiques sont parfois appelés « symbiotiques ».

Lorsqu’ils contiennent les bonnes souches bactériennes, dans des quantités suffisantes, vous avez, réuni en une seule prise, un concentré de bienfaits pour vos intestins et votre santé en général.

Un choix restreint de produits de qualité

En pharmacie, vous trouverez facilement le probiotique Lactibiane Référence de Pileje. La version haut de gamme (30 sachets à 20 milliards de bactéries) vous coûtera, selon les pharmacies, au moins 50 euros. Je précise que ce produit ne contient pas de prébiotiques.

Sur Internet, vous pouvez trouver des produits plus compétitifs au niveau du rapport qualité/prix.

Les lecteurs fidèles de Santé Nature Innovation se souviennent peut-être que je recommande habituellement le symbiotique Microflore Balance. Ce produit contient trois des meilleures souches de probiotiques connues à ce jour (Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus casei et Streptococcus thermophilus).

Il contient, en outre, 300 mg de prébiotiques galacto-oligo-saccharides (soit ce qu’on trouve dans le lait maternel, soit là aussi la dose recommandée par les études scientifiques).

Surtout, Microflore Balance est remarquable de par son dosage extrêmement élevé, qui permet de ne prendre qu’une seule gélule par jour : 25 milliards de bactéries par gélule. Un étui de 30 jours coûte 29,90 euros. Le prix est dégressif si vous en prenez plusieurs étuis.

Vous pouvez vous procurer Microflore Balance en vous rendant ici.

Mais j’ai récemment découvert un laboratoire suisse spécialisé qui fait encore mieux : il s’agit des laboratoires Olliscience. Leur symbiotique Probioneo contient :

  • 5 souches probiotiques de haute qualité et dosées à 30 milliards de bactéries (Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus plantarum, Bifidobacterium longum, Bifidobacterium breve, Streptococcus thermophilus) ;
  • 2 sources de fibres prébiotiques (inuline + fructo-oligosaccharides).

Tout cela en une seule gélule par jour. Ce produit est légèrement plus cher que Microflore Balance, puisqu’il coûte 31,90 euros pour un étui de 30 jours. Mais son prix démarre à 24,90 euros par étui quand vous en prenez plusieurs.

Pour essayer le symbiotique Probioneo des laboratoires Olliscience, rendez-vous ici.

Dernière précision importante : les probiotiques sont toujours à consommer le matin à jeun avec un grand verre d’eau tiède.

Les produits en gélule sont généralement « gastro-résistants », c’est-à-dire que la gélule passera dans l’intestin et se dissoudra en arrivant dans le côlon. Cela permet d’éviter que des bactéries soient tuées en route.

En principe, vous commencez à observer les effets bénéfiques au bout de six semaines.

À votre santé,

Jean-Marc Dupuis



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