Pourquoi ne disent-ils pas la vérité sur le Pr Luc Montagnier, le Pr Henri Joyeux et les vaccins ??
Chère lectrice, cher lecteur,
J’étais présent à la conférence de presse des professeurs Luc Montagnier et Henri Joyeux sur les vaccins, mardi dernier, le 7 novembre, à Paris.
Mais lorsque j’ai lu les comptes-rendus qui en ont été faits dans les journaux, je me suis demandé si nous avions assisté au même événement.
Etions-nous dans la même salle ??
Ce que j’ai entendu était scientifique, sérieux, instructif. Vous trouverez ci-dessous le très intéressant résumé de la conférence.
Mais dans les journaux, vous ne lisez que dénigrement, moqueries, ricanements au sujet de cet événement. Pire, certains journalistes n’hésitent pas à s’adonner aux attaques personnelles, accusant ces médecins d’être incompétents, dangereux, malintentionnés.
Je connais le professeur Henri Joyeux depuis au moins 17 ans. Et je suis horrifié des mensonges que certains journalistes racontent.
C’est pourquoi je vous envoie la réponse des Pr Montagnier et Joyeux, que vous trouverez en bas de mon message. Elle est très importante.
Pourquoi les journalistes ne sont pas toujours honnêtes
Si vous regardez les choses en superficie, vous avez l’impression que les journalistes se contentent de donner des avis superficiels, de répéter comme des perroquets ce que disent leurs collègues, renonçant à tout esprit critique.
Ils ne semblent être guidés que par la crainte d’être exclus de la meute s’ils cessent de hurler avec les loups. La frousse d’oser une pensée dissidente, diront certains.
En réalité, le problème est plus profond que cela.
Le journaliste, pour exister et faire son travail, a besoin de « sources », c’est-à-dire d’accès aux informations, découvertes, nouvelles qui viennent de sortir.
Neuf fois sur dix, ces informateurs se trouvent dans les ministères, au gouvernement, au Parlement. Car ce sont eux qui savent quelles lois sont en préparation, quels sont les chiffres des finances publiques, ceux de la délinquance, les statistiques diverses concernant un peu tous les aspects de la société (du nombre d’accidents de la route à la lutte anti-terroriste, etc.)
Ainsi lorsque se produit un événement sur la santé (crise du Lévothyrox, par exemple, Médiator, Ebola ou autre), ils ont besoin d’avoir accès aux ministères pour faire leurs articles.
S’ils se mettent à critiquer les autorités, à expliquer à la population que leurs décisions sont mauvaises, comme par exemple celle d’imposer onze vaccins obligatoires à tous les enfants, ils s’exposent à ne plus être invités, ne plus se faire accorder d’interview par les décideurs, ne plus bénéficier des « fuites » et autres « scoops » qui sont leur fonds de commerce de journalistes et leur permettent de se faire apprécier des rédacteurs en chef.
C’est la raison pour laquelle vous avez parfois l’impression qu’ils ne sont que « la voix de son maître », et reprennent de façon un peu servile ce que dit le ministère de la Santé.
Deux stratégies pour garder de la crédibilité
Mais comme ils ont peur de décevoir leurs lecteurs – on les comprend – à passer ainsi leur vie à « servir la soupe » au pouvoir en place, ils ont des stratégies pour paraître malgré tout, indépendants, offensifs.
Parmi ces stratégies, figure en première place le lynchage en place publique.
C’est une technique très simple, très éprouvée. Il s’agit de prendre une personne qui ne peut pas se défendre (c’est très important) et d’en faire un bouc-émissaire qu’ils vont charger de tous les maux.
C’est en général un individu isolé qui n’a aucun moyen de faire valoir sa version des choses calmement et objectivement.
Pendant plusieurs jours, plusieurs semaines pour les cas les plus graves, cette personne va faire la Une des journaux, on mettra sa photo en gros, avec des titres et des sous-titres offensants, pour ainsi donner l’impression au public que la presse est capable de mener des combats, qu’elle n’est pas seulement asservie aux intérêts des puissants (pouvoirs publics ou grandes entreprises).
Bien sûr, pour donner l’illusion d’un débat, ils donnent parfois la parole à cette victime. Mais si vous êtes un tant soit peu attentif, vous vous apercevez que le débat est truqué, que les journalistes prennent toujours soin de convier plusieurs « experts » bien choisis qui se ligueront avec lui pour couper la parole, dénigrer et discréditer la victime. En fait de débat, c’est une exécution en règle. Le but est précisément d’empêcher la victime de s’exprimer jusqu’au bout, de peur bien sûr qu’elle n’ait le temps de donner des faits et de convaincre les auditeurs qu’elle n’est, en réalité, pas du tout aussi idiote ou dangereuse qu’on veut le faire croire.
Faire taire les dissidents
C’est pourquoi les grands journaux ont désormais pris l’habitude de refuser les tribunes, qu’ils accordaient autrefois aux experts qui avaient un point de vue divergeant. Si leur opinion est jugée « non-conforme », vous n’aurez droit qu’à un compte-rendu rédigé par un journaliste, composé de citations habilement choisies, caviardées, sorties de leur contexte, permettant de faire passer n’importe quel citoyen honnête pour un horrible personnage.
Tout cela est bien triste, mais c’est comme ça.
Et il n’y a qu’une solution : entendre un autre son de cloche, en l’occurrence ce que les intéressés ont à dire !
C’est pourquoi je leur passe la parole, ainsi qu’ils me l’ont demandé :
Bonne lecture !
Jean-Marc Dupuis
COMMUNIQUE
Les Professeurs Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine et Henri Joyeux, Prix international de cancérologie, résument en 7 points leur conférence de presse commune du 7 novembre 2017.
1/ Nous ne sommes pas contre les vaccinations contrairement à ce que diffusent des médias et des communicants médiatiques, y compris médecins, sous influence directe ou indirecte des laboratoires fabricants. La science vaccinale est complexe, et notre environnement a beaucoup changé depuis un siècle ce qui rend difficile les vaccinations en masse comme autrefois.
2/ Nous nous opposons pour 3 raisons essentielles à l’obligation vaccinale des 11 vaccins proposée dès la 6ème semaine de vie du nourrisson, dont les défenses immunitaires sont en construction :
- la somme des vaccins proposés injecte au nourrisson une quantité d’aluminium excessive, adjuvant bio-persistant ayant démontré sa nocivité localement au point d’injection et aussi sa pénétration sous forme d’agrégats aluminiques jusqu’au cerveau et dans d’autres zones du corps (os, reins) comme cela a été démontré chez les ouvriers respirant les poussières lors de l’extraction de la bauxite (maladies professionnelles).
- l’excès de vaccins peut être responsable de mort subite du nourrisson dans les jours ou les mois qui suivent la vaccination : 250 à 300 cas sont répertoriés en France dont 25% des cas n’ont pas de cause précise. Selon une enquête scientifique menée pour un procès aux Etats Unis, l’hypervaccination déclencherait la formation subite de cytokines*, molécules inflammatoires toxiques pour un organisme fragile.
- la vaccination contre l’hépatite B pour un nourrisson de 6 semaines n’a aucun intérêt de santé et peut être délétère dans l’avenir, en particulier responsable de phénomènes allergiques, de maladies auto-immunes dont les maladies neuro-dégénératives, sclérose en plaques en particulier, chez des enfants ou adolescents.
3/ La loi actuelle imposant la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Polio avant les 18 mois de l’enfant est raisonnable, et ne doit pas être changée, ce qui implique la re-fabrication du vaccin trivalent sans aluminium, tel qu’il a existé et qui a été imposé par décision du Conseil d’Etat le 8 février 2017. Rappelons également que l’Institut Pasteur avait utilisé le phosphate de calcium comme adjuvant sans danger, et que son partenaire majoritaire a choisi de le remplacer par un composé d’aluminium pour des raisons purement financières.
4/ L’allaitement maternel tel qu’il est recommandé par l’OMS, 6 mois intégral et une année matin et soir avant et au retour du travail est l’idéal pour la santé du nourrisson et celle de sa mère quand elle est en bonne santé. Il assure les défenses immunitaires du nourrisson et évite les vaccinations précoces qui peuvent être prévues au delà de la 2ème année de l’enfant.
5/ Le principe constitutionnel de précaution doit être mis en application à propos des vaccins qui doivent subir les mêmes contrôles que les médicaments avant leur mise sur le marché, et doit rendre la liberté vaccinale à tous les Français, telle qu’elle est appliquée en Suède, Allemagne et dans d’autres pays du monde.
6/ Nous attirons en plus l’attention du législateur à propos du vaccin ROR (contre Rougeole, Oreillons et Rubéole) qui injecte des virus atténués qui ne sont pas sans danger chez des nourrissons fragiles et impose une vaccination au cas par cas.
7/Nous demandons instamment aux parlementaires de ne pas voter cette loi qui va contre l’intérêt de la santé des enfants et impose aux médecins et aux familles un dlcktat industriel et administratif.
Les médecins généralistes ou pédiatres ne doivent pas être dépossédés de leur compétence, et de leurs facultés de juger scientifiquement de l’intérêt de telle ou telle vaccination dans une relation de confiance avec la famille, dont ils gardent la responsabilité.
Professeur Luc Montagnier
Professeur Henri Joyeux
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