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NOTE PERSONNELLE A TOUS LES LECTEURS : Chers Lecteurs de ce blog, pour l’instant, c’est ma dernière rubrique car je n’aurai plus disponibilités. Je suis désolé. Merci à tous, merci à Mr. Joubert. J’espère que les quelques articles que j’ai écrit vous...

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AUTEUR DE L’ARTICLE : Dr Paulcarl, médecin généraliste. A / INTRODUCTION Bonjour chers lecteurs de ce blog et salutations à Mr. Joubert. En référence aux précédents articles, nous présentons un article de synthèse sur les différents métaux accumulés dans...

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AUTEUR DE L’ARTICLE : Dr Paulcarl, médecin généraliste. Bonjour cher lecteur de ce blog, aujourd’hui dans ce numéro 2, nous allons parler de la sensibilité de la bactérie Borrelia à la température. Les conséquences thérapeutiques possibles seront développées...

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Si vous ne connaissez pas Chuck Norris, l’acteur incontournable des films d’action, voici ce que l’on dit de lui :

« Quand Chuck Norris s’est mis au judo, David Douillet s’est mis aux pièces jaunes. »

« Chuck Norris donne fréquemment du sang à la Croix-Rouge. Mais jamais le sien. »

Vous l’avez compris, quand Chuck Norris est dans un film, les méchants n’ont qu’à bien se tenir. Sa réplique la plus célèbre, un peu vulgaire certes, mais tellement drôle : « Je mets les pieds où je veux et c’est souvent dans la gueule. »

Aujourd’hui, il est engagé dans le combat le plus dur de sa vie : il a arrêté sa carrière pour sauver sa femme, Gena.

 

Le couple Chuck et Gena Norris avant ses IRM.

Gadolinium, ce poison que l’on vous injecte

Il y a quatre ans, Gena était une ex-top model. À 54 ans, elle était en parfaite santé. Et, comme des milliers de personnes chaque jour, elle a passé une IRM. Comme ça se fait souvent, on lui a injecté un produit de contraste nommé « gadolinium ».

Vous le savez sûrement, l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) est une technique qui permet d’observer chaque organe du corps. Le fait d’injecter un produit de contraste permet d’améliorer la qualité de l’image.

Ce que vous ne savez probablement pas, c’est que le gadolinium est très dangereux.

« J’ai eu l’impression que mon corps était en feu »

Gena Norris, lors d’une interview pour le magazine Good Health, a raconté ce qu’elle avait subi juste après son injection :

« La première fois, pendant plusieurs heures, j’ai eu l’impression que mon corps était en feu, comme si de l’acide s’y répandait. Et ça n’a fait que s’étendre.

Je suis restée au lit avec une intraveineuse pendant cinq mois, avec une infirmière qui me surveillait 24 h/24. (…) 

Cela a eu d’horribles répercussions sur mon cerveau : je ne pouvais plus penser, je n’arrivais plus à articuler, j’avais des trous de mémoire, ainsi que des douleurs musculaires. »

Chuck Norris a dit à ce moment-là : « Elle est en train de mourir juste sous mes yeux. »

On imagine facilement la scène atroce.

Aujourd’hui encore, elle souffre de troubles nerveux et de problèmes de reins.

Le héros de cinéma devient héros du quotidien

Le couple a déposé une plainte contre onze laboratoires impliqués dans la fabrication des produits de contraste. Il s’est fait le porte-parole d’une association des nombreuses victimes du gadolinium.

Le combat est crucial, car on peut venir pour une simple IRM en tant que personne bien portante et repartir avec le corps en feu et handicapé à vie.

Il faut se renseigner avant de faire une IRM. À cause d’injections de gadolinium, certains patients sont diagnostiqués malades de Lyme ou de Charcot. Pire encore : le gadolinium peut déclencher une fibrose du système néphrogénique. Une maladie qui rend la peau dure comme du bois, provoquant une paralysie.

Procès du gadolinium, l’Europe s’en mêle

Heureusement, en Europe, nous sommes mieux protégés que la plupart des autres pays. En mars 2017, les autorités de santé de l’Union européenne ont recommandé la suspension des quatre produits de contraste ayant la plus grosse teneur en gadolinium.

Malheureusement, tous les produits de contraste n’ont pas disparu.

Trois questions à se poser avant une IRM

Avant de passer une IRM, posez à votre médecin ces questions :

  • Cet examen est-il vraiment indispensable ? (Les IRM n’ont pas d’utilité dans la plupart des cas.)
  • L’usage d’un produit de contraste est-il nécessaire à votre IRM ?
  • Quelles peuvent en être les complications ?

Si vous avez passé une IRM et que vous souffrez à présent de symptômes mystérieux, demandez à votre médecin de faire des analyses pour vérifier que vous n’avez plus de gadolinium dans le sang.

Le remède centenaire de Gena Norris

Comme je vous le disais plus haut dans cette lettre, Gena Norris souffre encore de graves complications suite à cette IRM. Elle suit aujourd’hui une « thérapie de chélation ». Une médication mise au point dans les années 1920 qui consiste à injecter par intraveineuse une solution acide au patient, à raison de 20 à 40 séances.

J’espère qu’elle va finir par trouver la solution pour se débarrasser de ce gadolinium, et qui permettra aux autres patients de retrouver la santé…

… et à Chuck Norris de retrouver le grand écran.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

 

Sources :

IRM : est-ce dangereux pour la santé ?

Produits de contraste contenant du gadolinium

La chélation

 

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ALZHEIMER ET MAGNESIUM SONT DEUX AMIS. AUTEUR : Dr Paulcarl. Bonjour, cher lecteur de ce blog et salutation à M. Joubert qui m’offre l’opportunité de publier à nouveau sur son blog. Aujourd’hui, nous allons voir l’importance du magnésium dans l’Alzheimer...

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AUTEUR DE L’ARTICLE : Dr Paulcarl, médecin généraliste. Bonjour, chers lecteurs de ce blog, cet article fait suite au précédent : « Alzheimer et magnésium sont deux amis ». En effet, le magnésium est reconnu pour ces bienfaits dans le cerveau pour toutes...

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Pourquoi elle n’a pas fait vacciner ses enfants

Chère lectrice, cher lecteur,

J’étais en voiture quand j’ai entendu la voix calme, déterminée (et si sensuelle !!) à la radio d’Isabelle Adjani. Elle disait avec un courage dont peu de personnes sont capables, les dangers de l’aluminium dans les vaccins, les manœuvres en coulisse de Big Pharma, et la puissance de la santé naturelle. Elle a même osé dire à l’antenne qu’elle n’a jamais pris la pilule.

Rendez-vous compte! Des décennies avant l’Académie de Médecine, Isabelle Adjani avait compris les dangers de la contraception hormonale (embolie, cancer et, bien sûr, perturbation de la libido)  !!

Isabelle Adjani dans le film « Camille Claudel »

Quelle femme !

Alors j’ai pris mon courage à deux mains. Et j’ai réalisé mon rêve. J’ai pris contact avec son agent pour essayer d’obtenir, le cœur battant, une interview avec Isabelle Adjani.

Et elle a dit oui !

Voici, en toute avant-première, les réponses de cette femme hors du commun. C’est grâce à des personnes comme elles que nous ferons bouger les lignes.

Bonne lecture !

JM Dupuis

* * * * * *

1/ Vous vous êtes exprimée fortement au sujet des vaccins sur France Inter. Depuis les médias, à ce sujet, vous barrent la route. Pourquoi d’après vous ?

Ce n’est pas à proprement parler un barrage, c’est un évitement.

Laisser s’exprimer une mère, une citoyenne hors circuit médical qui prend fait et cause contre l’obligation vaccinale aujourd’hui, face à cette dictature des « 11 vaccins », n’est pas du goût de ceux des médias connectés aux intérêts des laboratoires. Et aussi connectés aux autorités en l’occurrence au ministère de la santé.

Rares sont ceux comme Le Parisien qui s’aventurent à critiquer les sources gouvernementales dont ils dépendent pour obtenir l’accès aux informations qui vont nourrir leurs articles.

Une journaliste pro vaccins, responsable du médical dans une émission sur France 2, aurait dit à mon sujet « c’est incompréhensible qu’elle soit passée à travers les mailles du filet en ne faisant pas vacciner ses enfants ». Son dépit en dit long …

Avec un peu d’humour grinçant, on pourrait presque craindre que de telles réactions, si on continue à s’avancer dans un futur coercitif, ne proposent le projet d’une punition rétroactive pour les parents coupables comme moi de se dresser devant une pareille loi qui prive de ses droits.

2/ Vous semblez bien connaître le système immunitaire et votre conclusion sur France inter : « ce sera un crime contre l’Immunité qui deviendra un crime contre l’Humanité » est-elle venue spontanément ou l’aviez-vous réfléchie avant l’interview ?

C’est venu comme ça.

Oui un crime contre l’immunité risque d’avoir lieu. Les mots ont une grande importance pour moi, ils peuvent tuer autant qu’ils peuvent faire vivre.

Je suis en effet depuis toujours, concernée par le respect du corps, ce lieu sacré dans lequel il est bon de se rappeler qu’on vit, dès la naissance.

On sait, vous comme moi, si on se renseigne, si on cherche des preuves scientifiques, que vacciner un enfant, même un adulte, c’est interférer avec son immunité, variable en fonction de ses fragilités de terrain !

Alors injecter à un bébé dès plusieurs mois après la naissance, ces 11 vaccins, c’est-à-dire 31 doses de vaccins (dont 25 contiennent cet adjuvant toxique pour le foie, le cerveau, les reins… qu’est l’aluminium), y compris celui de l’hépatite B, aberrant et le plus risqué de tous, est comme jouer à la roulette Russe .

Pas plus que ce vaccin contre la gastroentérite que le haut conseil de la santé avait plébiscité il y a quelques années seulement, avant de faire marche arrière quand il a commencé à causer la mort de nourrissons, ces nouveaux vaccins ne sont pas assez testés pour ne pas être très risqués.

3/ Vous n’êtes pas totalement opposée aux vaccins, par exemple ceux qui sont nécessaires pour les personnes à risques ou lors de déplacements dans des pays où l’hygiène est défaillante ?

Quitte à choquer, ma conviction personnelle pour les voyages ne s’est jamais retrouvée dans la vaccination, mais justement, dans l’hygiène, à commencer par un bon savon et une bonne flore intestinale.

Mais ça n’engage que moi et je me suis penchée, comme toutes les personnes concernées par l’immunologie ou celles fragilisées, sur les ouvrages du Dr Georget « Vaccination, les vérités indésirables », de Sylvie Simon «Vaccins, mensonges et propagande » et de nombreux articles parus dans des revues prestigieuses et ultra crédibles comme « The Lancet ».

Même le Dr Puliyel (qui n’est a priori pas opposé à la vaccination) a déclaré que si l’argent utilisé pour la vaccination polio avait été utilisé pour améliorer la qualité de l’eau et la construction du tout-à-l’égout, dans le cadre du programme « Pulse » proposé à l’Inde par l’OMS et la Fondation Bill Gates, les résultats auraient été meilleurs.

En effet, il a été démontré que plus les doses de vaccins contre la polio étaient importantes, plus l’épidémie s’aggravait.

Tant que Pasteur jouira en France d’une aura intouchable, ses trois postulats de base erronés continueront à servir de fondement à la vaccination pour terroriser les citoyens dans leur libre choix. (« En finir avec Pasteur », Eric Ancelet).

4/ Vous faites-vous vacciner contre la grippe cette année et quelle que soit votre réponse, pourquoi ?

Jamais de la vie je ne me ferai vacciner contre la grippe !

Sans parler des risques neurologiques documentés, l’efficacité du vaccin qui n’est même pas testé, est loin d’être intéressante.

Et puis, si c’est pour servir de cobaye avec les nouvelles propositions du gouvernement qui permettraient aux laboratoires (avec la grippe A -H1N1, 1 demi-milliard d’euros de vaccins a été dépensé au profit des labos pharmaceutiques) de ne plus avoir une responsabilité engagée en cas d’effets secondaires, merci beaucoup !

5/ Vos enfants n’ont pas été vaccinés et vous avez dû faire certains faux avec des médecins consentants ? Finalement tous les médecins ne sont pas des inconditionnels de la vaccination ?

Pour mes enfants et pour moi-même, j’ai toujours été une adepte de la médecine de terrain, des traitements de fond qui permettent d’assurer la protection de son immunité.

De grands phytothérapeutes, homéopathes et biologistes y travaillent de façon scientifique mais assurément dérangeante pour la prospérité de Big Pharma.

Ce sont bien-sûr eux, ces médecins, qui soignent en conscience et pratiquent une médecine de terrain éclairée, heureusement !

Sauf, comble de l’absurde, qu’ils sont obligés de s’en cacher et d’exercer, leurs convictions chevillées au corps, dans la clandestinité, afin de ne pas être inquiétés et montrés du doigt comme exerçant une médecine inquiétante.

Ces médecins-là sont en général des pédagogues qui cherchent à informer et éduquer leur patientèle afin qu’elle puisse s’autonomiser de façon croissante et décider pour elle-même, et combattre pour le respect qui lui est dû afin de devenir seule maîtresse de son destin.

6/ Avez-vous rencontré le Pr Joyeux qui n’est pas radié de l’ordre de médecins – contrairement à ce que disent les médias – mais qui est très attaqué par certains confrères ?

Oui j’ai rencontré le Pr Joyeux pour lequel j’ai un grand respect.

Le Pr Joyeux dit pourtant qu’il n’est pas contre les vaccinations contrairement à une position extrémiste fabriquée, prête à l’emploi pour les médias, et alors même que cette désinformation bat son plein, il s’évertue à traduire la complexité de la science vaccinale, en expliquant inlassablement, en éduquant, en informant.

Il suffit de se référer à la conférence du 7 Novembre 2017 avec le Pr Montagnier pour prendre connaissance des quelques raisons essentielles qu’il oppose à l’obligation des 11 vaccins.  Et aussi de la bienveillance qu’il manifeste aux généralistes et aux pédiatres.

Là encore on peut s’étonner, depuis le 7 novembre, du faible écho de cette contribution majeure, sur le plan médical, offerte en toute bonne foi devant un parterre de journalistes (venus en toute bonne foi ?) et dont l’argumentaire s’appuie sur des preuves scientifiques incontournables, bien loin de l’image délétère d’irresponsabilité sanitaire qu’il est de bon ton de communiquer concernant sa position.

La France est le seul pays actuellement en Europe qui fasse régner un tel spectre sur la santé où la peur et la punition forment une vraie dream team.

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Pour perdre du poids rapidement et sans douleur

Chère lectrice, cher lecteur,

Je me suis réveillé ce matin en m’apercevant que je ne vous avais jamais vraiment parlé du konjac.

Pourquoi ?

J’ai eu peur des banalités.

Le konjac est devenu « marketing ». Les magazines ElleCosmopolitanTop Santé, en parlent constamment.

Et pourtant, il est utile parfois de revenir aux fondamentaux, ne serait-ce que pour s’assurer que tout le monde suit bien, même au fond de la classe !

Alors, allons-y !

Une plante asiatique ancienne

Le konjac est consommé depuis 2 000 ans à travers l’Asie pour ses bienfaits pour la santé.

Il est utilisé en médecine traditionnelle chinoise (MTC) contre l’asthme, la toux, les douleurs de poitrine et pour la détoxification.

Les études scientifiques modernes montrent que le konjac facilite la digestion, stabilise le sucre sanguin, favorise une bonne flore intestinale, aide à perdre du poids et réduit le cholestérol.

Une pomme de terre sans calories

Avec 3 calories pour 100 g, le konjac bat à plate couture tous les autres aliments minceur (10 calories aux 100 g pour le concombre) !

C’est un bulbe, un peu comme la pomme de terre, qui peut devenir énorme : 30 cm de diamètre, soit deux fois plus gros qu’un ballon de foot !

Le konjac est un bulbe que l’on réduit en poudre pour faire des préparations culinaires.

On le réduit en une poudre blanche qui sert à fabriquer des vermicelles, des lasagnes, des tagliatelles de konjac ou même du riz de konjac.

Le konjac a peu de goût, mais vous pouvez l’ajouter dans vos soupes, ragoûts et pâtes. Vous trouvez des centaines de recettes alléchantes en tapant « konjac » sur Google.

Les vermicelles de konjac constituent la préparation la plus classique.

 

Un bon outil pour perdre du poids

Si vous cherchez à perdre du poids sans avoir l’impression de mourir de faim, prenez du glucomannane (fibre du konjac) avant le repas : mettez simplement un gramme de cette poudre dans un verre d’eau de 20 cl, et buvez le tout 15 mn avant le repas, trois fois par jour.

Dans une étude ayant porté sur des adultes incités à suivre ce régime pendant huit semaines, ces derniers ont perdu en moyenne 2,75 kg, contre seulement 1,5 kg dans le groupe placebo qui n’avait bu que de l’eau. (Le « groupe placebo » désigne toutes les personnes qui ont cru prendre du konjac, mais qui en réalité n’en ont reçu qu’une imitation, qui n’avait pas le même effet sur l’estomac).

La fibre soluble extraordinaire

Le konjac contient une quantité astronomique de fibres : si le son d’avoine en recèle 14 %, le konjac, lui, affiche 64 % (sur matière sèche).

Ce sont des solubles, appelés « glucomannanes », qui produisent une substance remarquable ressemblant à un gel, qui piège graisses et sucres et qui remplit l’estomac.

En présence d’un liquide, le glucomannane absorbe jusqu’à cent fois son volume d’eau.

Vous avez l’agréable sensation d’avoir bien mangé, tandis que ce gel se mélange à votre nourriture pour faciliter le transit intestinal : chez les personnes constipées, le konjac augmente la fréquence des selles de 30 %.

Votre ventre se dégonfle, vous éprouvez une sensation de légèreté.

Contre les diarrhées

Réciproquement, le konjac aide à stabiliser les selles chez les personnes qui ont des diarrhées chroniques. Il a montré des effets bienfaisants dans la maladie de Crohn et la colite ulcérative (grave inflammation du côlon).

Les gels qu’il produit calment l’inflammation de la paroi intestinale, et ses fibres solubles nourrissent sainement les bactéries de la flore intestinale.

Il améliore donc le travail de la flore intestinale pour produire des acides gras à chaîne courte (AGCC) : propionate, butyrate et acétate.

Effet anticancer

Les AGCC contribuent non seulement à réduire l’inflammation dans le côlon, mais ils atténuent également l’inflammation systémique et stimulent le système immunitaire pour réduire le risque de cancer et d’autres maladies inflammatoires.

C’est pourquoi le konjac appartient à la famille des aliments anticancer.

Stabiliser les niveaux de sucre dans le sang

De nombreuses études sur des diabétiques montrent que les produits à base de konjac aident à abaisser le niveau de sucre dans le sang jusqu’à 23,2 % !

Vous pouvez en trouver facilement en supermarché.

Sinon, le glucomannane (fibre soluble du konjac) se vend sous forme de complément alimentaire, à environ 6 euros le paquet de vingt doses.

Le bonbon qui tue

Une anecdote pour terminer : les Japonais se servent du konjac pour confectionner de gros bonbons en gelée aromatisés aux fruits.

Mais ce bonbon est si gros qu’il provoque régulièrement des morts par étouffement ! On a ainsi dénombré 17 décès entre 1995 et 2008, si bien qu’il a été interdit dans l’Union européenne et en Corée du Sud [1] !

Pas de bonbon au konjac, donc !

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sources de cette lettre :

[1] http://ift.tt/2zcGCGg

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Auteur de l’article : Dr Paulcarl, médecin généraliste. Bonjour, cher lecteur de ce blog. Aujourd’hui, nous allons entamer un cycle Lyme pour plusieurs semaines avec des aspects méconnus sur cette maladie : l’homéostasie des ions métalliques. Avant de...

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Pourquoi ne disent-ils pas la vérité sur le Pr Luc Montagnier, le Pr Henri Joyeux et les vaccins ??

Chère lectrice, cher lecteur,

J’étais présent à la conférence de presse des professeurs Luc Montagnier et Henri Joyeux sur les vaccins, mardi dernier, le 7 novembre, à Paris.

Mais lorsque jai lu les comptes-rendus qui en ont été faits dans les journaux, je me suis demandé si nous avions assisté au même événement.

Etions-nous dans la même salle ??

Ce que j’ai entendu était scientifique, sérieux, instructif. Vous trouverez ci-dessous le très intéressant résumé de la conférence.

Mais dans les journaux, vous ne lisez que dénigrement, moqueries, ricanements au sujet de cet événement. Pire, certains journalistes n’hésitent pas à s’adonner aux attaques personnelles, accusant ces médecins d’être incompétents, dangereux, malintentionnés.

Je connais le professeur Henri Joyeux depuis au moins 17 ans. Et je suis horrifié des mensonges que certains journalistes racontent.

C’est pourquoi je vous envoie la réponse des Pr Montagnier et Joyeux, que vous trouverez en bas de mon message. Elle est très importante.

Pourquoi les journalistes ne sont pas toujours honnêtes

Si vous regardez les choses en superficie, vous avez l’impression que les journalistes se contentent de donner des avis superficiels, de répéter comme des perroquets ce que disent leurs collègues, renonçant à tout esprit critique.

Ils ne semblent être guidés que par la crainte d’être exclus de la meute s’ils cessent de hurler avec les loups. La frousse d’oser une pensée dissidente, diront certains.

En réalité, le problème est plus profond que cela.

Le journaliste, pour exister et faire son travail, a besoin de « sources », c’est-à-dire d’accès aux informations, découvertes, nouvelles qui viennent de sortir.

Neuf fois sur dix, ces informateurs se trouvent dans les ministères, au gouvernement, au Parlement. Car ce sont eux qui savent quelles lois sont en préparation, quels sont les chiffres des finances publiques, ceux de la délinquance, les statistiques diverses concernant un peu tous les aspects de la société (du nombre d’accidents de la route à la lutte anti-terroriste, etc.)

Ainsi lorsque se produit un événement sur la santé (crise du Lévothyrox, par exemple, Médiator, Ebola ou autre), ils ont besoin d’avoir accès aux ministères pour faire leurs articles.

S’ils se mettent à critiquer les autorités, à expliquer à la population que leurs décisions sont mauvaises, comme par exemple celle d’imposer onze vaccins obligatoires à tous les enfants, ils s’exposent à ne plus être invitésne plus se faire accorder d’interview par les décideurs, ne plus bénéficier des « fuites » et autres « scoops » qui sont leur fonds de commerce de journalistes et leur permettent de se faire apprécier des rédacteurs en chef.

C’est la raison pour laquelle vous avez parfois l’impression qu’ils ne sont que « la voix de son maître », et reprennent de façon un peu servile ce que dit le ministère de la Santé.

Deux stratégies pour garder de la crédibilité

Mais comme ils ont peur de décevoir leurs lecteurs – on les comprend – à passer ainsi leur vie à « servir la soupe » au pouvoir en place, ils ont des stratégies pour paraître malgré tout, indépendants, offensifs.

Parmi ces stratégies, figure en première place le lynchage en place publique.

C’est une technique très simple, très éprouvée. Il s’agit de prendre une personne qui ne peut pas se défendre (c’est très important) et d’en faire un bouc-émissaire qu’ils vont charger de tous les maux.

C’est en général un individu isolé qui n’a aucun moyen de faire valoir sa version des choses calmement et objectivement.

Pendant plusieurs jours, plusieurs semaines pour les cas les plus graves, cette personne va faire la Une des journaux, on mettra sa photo en gros, avec des titres et des sous-titres offensants, pour ainsi donner l’impression au public que la presse est capable de mener des combats, qu’elle n’est pas seulement asservie aux intérêts des puissants (pouvoirs publics ou grandes entreprises).

Bien sûr, pour donner l’illusion d’un débat, ils donnent parfois la parole à cette victime. Mais si vous êtes un tant soit peu attentif, vous vous apercevez que le débat est truqué, que les journalistes prennent toujours soin de convier plusieurs « experts » bien choisis qui se ligueront avec lui pour couper la paroledénigrer et discréditer la victime. En fait de débat, c’est une exécution en règle. Le but est précisément d’empêcher la victime de s’exprimer jusqu’au bout, de peur bien sûr qu’elle n’ait le temps de donner des faits et de convaincre les auditeurs qu’elle n’est, en réalité, pas du tout aussi idiote ou dangereuse qu’on veut le faire croire.

Faire taire les dissidents

C’est pourquoi les grands journaux ont désormais pris l’habitude de refuser les tribunes, qu’ils accordaient autrefois aux experts qui avaient un point de vue divergeant. Si leur opinion est jugée « non-conforme », vous n’aurez droit qu’à un compte-rendu rédigé par un journaliste, composé de citations habilement choisies, caviardées, sorties de leur contexte, permettant de faire passer n’importe quel citoyen honnête pour un horrible personnage.

Tout cela est bien triste, mais c’est comme ça.

Et il n’y a qu’une solution : entendre un autre son de cloche, en l’occurrence ce que les intéressés ont à dire !

C’est pourquoi je leur passe la parole, ainsi qu’ils me l’ont demandé :

Bonne lecture !

Jean-Marc Dupuis


COMMUNIQUE

Les Professeurs Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine et Henri Joyeux, Prix international de cancérologie, résument en 7 points leur conférence de presse commune du 7 novembre 2017.

 
1/ Nous ne sommes pas contre les vaccinations contrairement à ce que diffusent des médias et des communicants médiatiques, y compris médecins, sous influence directe ou indirecte des laboratoires fabricants. La science vaccinale est complexe, et notre environnement a beaucoup changé depuis un siècle ce qui rend difficile les vaccinations en masse comme autrefois.

2/ Nous nous opposons pour 3 raisons essentielles à l’obligation vaccinale des 11 vaccins proposée dès la 6ème semaine de vie du nourrisson, dont les défenses immunitaires sont en construction : 

  • la somme des vaccins proposés injecte au nourrisson une quantité d’aluminium excessive, adjuvant bio-persistant ayant démontré sa nocivité localement au point d’injection et aussi sa pénétration sous forme d’agrégats aluminiques jusqu’au cerveau et dans d’autres zones du corps (os, reins) comme cela a été démontré chez les ouvriers respirant les poussières lors de l’extraction de la bauxite (maladies professionnelles).
De plus, l’aluminium présent dans les vaccins vétérinaires s’est révélé toxique pour les animaux, responsable directement ou indirectement de sarcomes (cancers de mauvais pronostic) dans la zone de vaccination dans les 3 ans post vaccination et dans d’autres zones du corps 5 ans plus tard : ostéosarcomes, fibrosarcomes, chondrosarcomes.. au niveau des membres, du thorax et de l’abdomen. Nos chats seraient-ils mieux soignés que nos enfants, puisque l’aluminium a été retiré des vaccins vétérinaires par une filiale de Sanofi ?
  • l’excès de vaccins peut être responsable de mort subite du nourrisson dans les jours ou les mois qui suivent la vaccination : 250 à 300 cas sont répertoriés en France dont 25% des cas n’ont pas de cause précise. Selon une enquête scientifique menée pour un procès aux Etats Unis, l’hypervaccination déclencherait la formation subite de cytokines*, molécules inflammatoires toxiques pour un organisme fragile.
  • la vaccination contre l’hépatite B pour un nourrisson de 6 semaines n’a aucun intérêt de santé et peut être délétère dans l’avenir, en particulier responsable de phénomènes allergiques, de maladies auto-immunes dont les maladies neuro-dégénératives, sclérose en plaques en particulier, chez des enfants ou adolescents.

3/ La loi actuelle imposant la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Polio avant les 18 mois de l’enfant est raisonnable, et ne doit pas être changée, ce qui implique la re-fabrication du vaccin trivalent sans aluminium, tel qu’il a existé et qui a été imposé par décision du Conseil d’Etat le 8 février 2017. Rappelons également que l’Institut Pasteur avait utilisé le phosphate de calcium comme adjuvant sans danger, et que son partenaire majoritaire a choisi de le remplacer par un composé d’aluminium pour des raisons purement financières.

4/ L’allaitement maternel tel qu’il est recommandé par l’OMS, 6 mois intégral et une année matin et soir avant et au retour du travail est l’idéal pour la santé du nourrisson et celle de sa mère quand elle est en bonne santé. Il assure les défenses immunitaires du nourrisson et évite les vaccinations précoces qui peuvent être prévues au delà de la 2ème année de l’enfant.

5/ Le principe constitutionnel de précaution doit être mis en application à propos des vaccins qui doivent subir les mêmes contrôles que les médicaments avant leur mise sur le marché, et doit rendre la liberté vaccinale à tous les Français, telle qu’elle est appliquée en Suède, Allemagne et dans d’autres pays du monde.

6/ Nous attirons en plus l’attention du législateur à propos du vaccin ROR (contre Rougeole, Oreillons et Rubéole) qui injecte des virus atténués qui ne sont pas sans danger chez des nourrissons fragiles et impose une vaccination au cas par cas. 

7/Nous demandons instamment aux parlementaires de ne pas voter cette loi qui va contre l’intérêt de la santé des enfants et impose aux médecins et aux familles un dlcktat industriel et administratif. 

Les médecins généralistes ou pédiatres ne doivent pas être dépossédés de leur compétence, et de leurs facultés de juger scientifiquement de l’intérêt de telle ou telle vaccination dans une relation de confiance avec la famille, dont ils gardent la responsabilité.

Professeur Luc Montagnier

Professeur Henri Joyeux

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AUTEUR DE L’ARTICLE : Dr. Paulcarl, médecin généraliste. Bonjour cher lecteur de ce blog, C’est un sujet très peu abordé dans les publications de santé pour le public : le manganèse (= Mn), cerveau et Alzheimer fournissent pourtant l’occasion de faire...

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Le daikon est un radis blanc, qui est le cousin de notre radis noir. C’est le légume le plus populaire du Japon,[1]  bien qu’il vienne à l’origine de la Méditerranée et qu’il soit aujourd’hui oublié chez nous !

Il pousse pourtant très bien dans nos potagers, en cette saison. Et il a refait une timide apparition dans nos marchés bio et même nos supermarchés récemment.

Profitez-en, il est excellent pour la santé (voir ci-dessous). Vous pouvez le mettre dans la soupe (y compris les verts), le cuire à la vapeur comme n’importe quel légume (carotte, navet…), ou au four avec vos viandes.

Chez les Dupuis, on le préfère cru, avec du beurre, du sel et du pain frais, à la façon des tranches de radis noir. La seule différence réelle avec le radis noir est que le daikon est blanc, plus long, et avec une peau plus épaisse, qui s’épluche comme celle des carottes.

Côté santé, ce n’est que du bonheur :

Santé : que du bonheur

Le daikon en effet est un des légumes les plus riches en nutriments, et des plus pauvres en calories…

Comme tous les radis, il purifie le sang, les reins, les voies urinaires, et réduit le risque de cancer.

Le radis appartient en effet à la famille des choux, comme le brocoli, le chou fleur, le navet, et à ce titre il contient de l’indole-3-carbinol (I3C) qui agit avec le sulforaphane contre le cancer du côlon, de la prostate, du sein, du foie, du pancréas, la leucémie, le sarcome, le mélanome, le cancer cervical et le cancer du poumon.[2]

Il inhibe l’activation des toxines cancérigènes en bloquant les enzymes de phase 1, et stimule la destruction des substances cancérigènes via des enzymes de phase II comme le glutathion-S-Transférase.[3]

Vous ne risquez vraiment pas de prendre du ventre en mangeant du daikon. Il n’y a dedans quasiment que de la vitamine C, du magnésium, du calcium des fibres, des antioxydants, du fer et cette substance cancérigène citée ci-dessus.

En le mangeant régulièrement, vous vous protégerez :

  • Contre les problèmes respiratoires, car il aide à éliminer les bactéries des bronches, tout comme notre traditionnel sirop de raifort ou de radis noir ;
  • Il aide à la digestion des protéines, et augmente leur assimilation dans l’intestin ;
  • Il augmente l’immunité, en favorisant la production des globules blancs, ce qui en fait le légume d’hiver idéal ;
  • Il réduit l’inflammation : le jus de radis blanc est utilisé en naturopathie pour réduire l’inflammation dans l’organisme, calmer les crises de goutte et les douleurs articulaires, ainsi que les crampes.

Conseils de culture

Amis lecteurs qui partagez ma passion du jardinage : plantez du radis blanc l’hiver dans votre potager !

C’est une excellente façon de protéger et régénérer votre terre l’hiver.

Voici quelques trucs pour optimiser votre production :

  • Si vos radis sont trop piquants : vous les avez laissés trop longtemps en terre. Il faut les récolter dès qu’ils atteignent leur maturité. Contrairement aux carottes, les radis ne s’adoucissent pas avec le temps, au contraire ;
  • S’ils se fendent : il est important d’arroser vos radis modérément mais régulièrement. S’ils éclatent, c’est qu’ils ont manqué d’eau, et sans doute que vous en avez apporté trop d’un coup pour compenser. Le bulbe absorbe alors trop d’eau, gonfle d’un coup, et se fend. Notez par contre qu’un radis « éclaté » n’est pas forcément moins bon au goût ;
  • S’ils sont durs et fibreux : les radis aiment les sols frais et humides. Si le sol et trop chaud et trop sec, le radis devient dur et fibreux ;
  • Radis à grandes feuilles et petits bulbes : si les radis sont plantés à l’ombre, vous aurez de grandes feuilles mais le bulbe risque de rester sous-développé. Il est important aussi d’éclaircir les semis.

Bonne dégustation.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

 

Sources : 

[1] Daikon: The great radish of Japan

[2] europepmc.org

www.ncbi.nlm.nih.gov

(2017)http://ift.tt/xxwarn

(2017) journals.sagepub.com

(2017) dspace.allegheny.edu

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[3] (2017) www.ncbi.nlm.nih.gov

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(2017) www.mdpi.com

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Auteur : Dr Paulo C, médecin généraliste, novembre 2017. Bonjour, vous trouverez le lien complet de cette présentation avec les illustrations sur le lien de la plateforme slideshare.net : http://ift.tt/2hnJblf...

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C’est une tuerie !

Chère lectrice, cher lecteur,

Suite à ma lettre de la semaine dernière sur les coings[1], un lecteur a laissé sur mon site sa recette personnelle de coings au four.

Alléchés par les ingrédients inhabituels de cette recette (huile de coco, xylitol notamment), nous l’avons mise au programme de notre week-end qui s’annonçait froid et pluvieux.

Une tuerie !

« C’est une tuerie ! », se sont écriés mes enfants, dès que le plat a été suffisamment tiède pour y mettre les doigts.

Et, de fait, jamais je n’ai mangé un dessert aussi goûtu.

Des larmes d’émotion coulaient sur nos joues tant le mélange d’acidité, de sucre, de parfums exotiques ajouté aux fortes saveurs du coing était exquis. Et que dire de la texture, fondante et ferme à la fois, qui nous caressait le palais ? Une expérience surnaturelle.

Avis de recherche

C’est pourquoi je lance aujourd’hui un avis de recherche.

J’en appelle à tous les lecteurs de Santé Nature Innovation. Aidez-moi à retrouver la personne qui m’a envoyé cette recette aux coings, que je lui envoie mon dernier livre dédicacé en remerciement.

Voici la recette en question :

« Très amateur de préparations à base de coings, je connais celle dont vous avez parlé. Il en existe une autre, très goûteuse, qui est celle des coings au four.

 

Après les avoir épluchés et coupés en morceaux moyens, bien les citronner, les mettre dans un plat avec de l’huile de coco en base. Puis verser sur les morceaux de coings une belle rasade d’huile de coco, environ 25 cl de crème de coco ou de soja, une gousse de vanille bio. Saupoudrer largement de xylitol, arroser d’une bonne dose de jus de citron et terminer par un verre d’alcool blanc (doses pour un plat de 30 x 20 x 6 cm). Enfourner environ pour ½ heure à 150/160°.

 

Contrôler la bonne cuisson avec un couteau pointu. Sortir du four dès le moelleux atteint et laisser tiédir. Puis régalez-vous !!! »

 

Toute personne susceptible de fournir un indice permettant de retrouver ce lecteur sera également récompensée !

À votre santé !

JM Dupuis

Sources de cette lettre : 

[1] : http://ift.tt/2iE7Bra

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9ème clef Le manganèse participe aux réactions physiologiques nerveuses en tant que cofacteurs. Dans l’organisme Il participe à la néoglucogenèse, au cycle de Krebs, au système de défense anti-oxydatif (la SoD = superoxyde dismutase). Dans le cerveau...

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Dr Paulo C. (Novembre 2017) Médecin généraliste Le dr Paulo C se propose de nous faire découvrir l'incidence des ions métalliques dans les maladies neuronales en particulier. Merci à lui ! Il m'a donné quelques pistes pour soigner entre autres la maladie...

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Trente lecteurs de SNI s’envolent pour le Japon

Chère lectrice, cher lecteur,

L’excitation est à son comble !!

Trente lecteurs de SNI, abonnés au Parcours Okinawa, se retrouvent ce matin à l’aéroport de Roissy.

Ils décollent à 12 h 40, direction… le JAPON !

Oui, ils vont pratiquement faire le tour du monde pour rejoindre l’archipel d’Okinawa, perdu dans l’océan Pacifique, au large des grandes îles du Japon :

C’est le premier voyage international organisé par Santé Nature Innovation.

Ils vont découvrir de leurs propres yeux le mode de vie des centenaires d’Okinawa.

Rappelons que les habitants de l’archipel d’Okinawa ont 5 fois moins de cancers du sein et de la prostate que nous [1].

Cela représente un risque de 80 % inférieur à celui des Occidentaux.

Mais ce n’est pas tout :

  • Ils ont un risque 2 fois plus faible de cancer des ovaires et du côlon [2].
  • 3 fois moins de démences que dans le reste du Japon et aux USA [3].
  • 2 fois moins de fractures du col du fémur que les Occidentaux [4].
  • Et un risque 5 fois plus faible d’accident cardiaque [5] !!

Ils détiennent le record mondial du nombre de centenaires, et le record mondial du nombre de centenaires en bonne santé.

Un voyage avec le Dr Jean-Paul Curtay, à la rencontre du Dr Makoto Suzuki

Le Dr Jean-Paul Curtay, spécialiste d’Okinawa, fait bien sûr partie du voyage. Les participants vont pouvoir faire sa connaissance, échanger avec lui, et profiter de ses connaissances médicales uniques au monde.

Sur place, ils rencontreront le Dr Makoto Suzuki, initiateur de l’étude des centenaires d’Okinawa, qui a permis de comprendre les raisons de l’exceptionnelle longévité des habitants de cette île.

Archipel paradisiaque

Okinawa est un archipel paradisiaque, au climat tropical.

Il est séparé de Tokyo par 1 600 km de montagnes et d’océan.

C’est un archipel corallien isolé. S’y sont développées des espèces végétales et animales uniques, comme le pic et le râle d’Okinawa. Elles n’existent nulle part ailleurs dans le monde.

Cela fait d’Okinawa une des destinations les plus prisées des amateurs de nature et de dépaysement.

Expériences culinaires raffinées

La nourriture d’Okinawa n’a rien à voir avec celle de nos pays.

Les habitants emploient essentiellement trente-cinq ingrédients parmi lesquels la goya, le heshima, l’imo, le kombu, l’enoki, le shiitaké, le fruit du ginkgo et le tempeh.

Les participants au voyage vont découvrir ces spécialités et apprendre à les préparer et à les cuisiner de diverses manières.

Ils feront toutes les expériences culinaires raffinées que l’archipel a à offrir. Ils visiteront les jardins, les temples zen et bouddhistes. Ils partiront en observation dans la nature. Ils verront les fonds marins, les espèces exceptionnelles des aquariums d’Okinawa, parmi les plus beaux du monde.



Conférences, rencontres, formation

Ils bénéficieront de conférences sur la santé et la longévité. Mais aussi d’ateliers pratiques de yoga, de méditation et de Qi gong.

Des interprètes leur permettront de rencontrer la population locale et de parler avec elle du mode de vie traditionnel, et également des erreurs modernes à éviter (actuellement, les jeunes générations d’Okinawa ont adopté le fast-food et n’ont plus la bonne santé de leurs anciens).

Le voyage est dirigé par Rodolphe Bacquet, membre de l’équipe de Santé Nature Innovation. À côté de la santé naturelle, sa passion est le voyage : il est auteur de nombreux guides que vous avez peut-être chez vous (Rodolphe est ancien élève de l’École normale supérieure).

Chaque fois qu’il aura accès à Internet durant le voyage, il publiera nouvelles, photos et compte rendu sur un blog spécialement créé pour l’occasion :http://ift.tt/2Ad9yhL

Ce blog a été créé pour les lecteurs de Santé Nature Innovation. Profitez-en pour le consulter pendant ces quinze prochains jours. Il est gratuit.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Les 6 informations qui mettent de bonne humeur

Chère lectrice, cher lecteur,

Mes enfants reviennent de plus en plus dépressifs de l’école. Sous prétexte de les sensibiliser à l’écologie, on les terrorise sur l’avenir de la Terre.

Je sais que c’est pour la bonne cause.

Mais cela me fait parfois mal au cœur. Je n’aime pas voir des petits de sept ans faire des cauchemars pour des problèmes dont ils ne sont pas coupables.

Je préfère leur enseigner les bons gestes dans un esprit plus positif.

C’est pourquoi j’ai réuni pour eux quelques éléments visant à leur montrer que tout n’est pas noir, que le pire n’est pas toujours certain, quand on prend les choses en main.

Permettez-moi de les partager avec vous :

Le trou d’ozone se referme !

Selon les derniers relevés de la Nasa (31 octobre 2017), le trou d’ozone au-dessus de l’Antarctique a atteint sa taille la plus petite depuis 1988.[1]

Il avait atteint sa taille maximum en l’an 2000 (29,86 millions de kilomètres carrés) et n’a fait que régresser depuis, pour ne plus faire que (19,6 millions de kilomètres carrés) aujourd’hui.

C’est une réduction énorme, équivalente à la taille des États-Unis !

Selon les scientifiques des Nations-Unis, nous allons éviter deux millions de cancers de la peau grâce à cette évolution positive, depuis l’interdiction des aérosols en 1987.

Les pandas plus nombreux !

Le grand panda est le symbole du WWF, et des espèces animales menacées. Sous Mao, la moitié des grands pandas ont été victimes de braconnage et destruction de leur habitat.

Mais la courbe s’est désormais inversée. S’il n’y avait même plus 1000 pandas sauvages dans les forêts de bambou de Chine dans les années 1970, ils sont désormais 1864, soit près du double, un signe que les efforts de préservation portent leurs fruits.[2]

Publicité pour le WWF, expliquant que le nombre de pandas en liberté augmente.

Le Panda ne fait plus partie des espèces « menacées d’extinction ». Il est désormais dans la catégorie des animaux « vulnérables » car il demeure bien sûr des menaces sur son avenir.

Les lamantins reviennent !

Les lamantins sont de magnifiques mammifères marins, habitant la mer des Caraïbes et le Golfe du Mexique, le long des côtes de la Floride.

Ils n’étaient plus que 1267 en Floride en 1991. Ils sont désormais 6300, une hausse de 500 % ! [3] En tout, ils sont désormais 13 000, et se portent beaucoup mieux grâce à l’amélioration de leur habitat et la diminution des menaces.

Les autorités de protection de l’environnement envisagent aujourd’hui de les retirer de la liste des espèces en danger d’extinction.

Les émissions de carbone n’ont pas augmenté depuis 3 ans

Selon l’Agence Internationale de l’Énergie, les émissions de carbone sont restées stables en 2016, et ce pour la troisième année consécutive ! Cette tendance, qui avait été anticipée l’année dernière,[4] est aujourd’hui confirmée.[5]

Cette stabilité est d’autant plus réjouissante que la richesse dans le monde a fortement augmenté pendant cette période.

  • En Chine, où l’économie a fait un bond de 6,7 % en avant, les émissions de carbone ont baissé de 1,6 %.
  • Les États-Unis ont fait encore mieux en diminuant leurs émissions de 3 %.
  • En Europe, les émissions sont restées stables.

« Ces découvertes renforcent le sentiment qui est en train de croître, qu’il est maintenant possible de jouir d’une croissance économique sans augmenter les émissions de dioxyde de carbone », commente le grand quotidien américain Washington Post.[6]

15 espèces d’animaux disparus… réapparaissent !

On le croyait disparu de la surface de la Terre depuis 50 ans.

Mais voici que le magnifique lézard Pinocchio a été redécouvert dans une forêt d’Équateur. Le brave lézard avait en effet décidé de traverser la route au moment où arrivait la voiture d’un ornithologue occidental, qui l’avait étudié dans une encyclopédie des espèces disparues !

Le monde est vaste, beaucoup de zones de la Terre restent sauvages et difficiles d’accès. En dehors des plus gros animaux (éléphants, rhinocéros, ours…), il est très difficile d’être sûr qu’une espèce animale a réellement disparu.

C’est pourquoi, parmi les espèces « éteintes », chaque année certaines réapparaissent. Ce fut le cas récemment pour le cerf du Cachemire, la baleine d’Omura, le chat marsupial moucheté, le tarsier pygmée (un singe des montagnes), le gecko huppé, le furet aux pieds noirs, la rainette des arbres de Jerdon (une grenouille), la moupinie du Jerdon (un oiseau), le kokani noir (une sorte de saumon japonais).[7]

Le besoin en terres agricoles n’augmente plus

À mesure que la population augmente, s’enrichit, consomme, on croit toujours qu’il va falloir de plus en plus de terres agricoles.

C’est le contraire pour l’instant.

Pendant les cinquante années qui se sont écoulées de 1960 à 1990, la plupart des pays du monde ont évolué vers des systèmes politiques moins autoritaires, donnant plus de place au respect des personnes et aux investissements productifs. La tendance a concerné des pays immenses comme la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil, mais aussi de très nombreux pays asiatiques, sud-américains et africains.

Depuis 1990, de gigantesques zones agricoles d’excellente qualité en Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Pologne, Biélorussie, Ukraine, Russie…) ont été mises en valeur, alors qu’elles produisaient très peu à l’époque du rideau de fer.

Résultat : le besoin de terres arables pour nourrir une population a régressé. Selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation), il ne fallait plus en 2009 que 35 % de la surface de terres arables nécessaires en 1961 pour une production agricole donnée.[8]

Actuellement, les études montrent que, si l’usage des terres arables au niveau global ne régresse pas encore, ce n’est pas à cause des besoins alimentaires.

C’est parce que nous consacrons de vastes surfaces à la production de biocarburants rendus obligatoires par la réglementation : champs de maïs dans l’Iowa aux États-Unis, monoculture d’huile de palme en Indonésie, canne à sucre au Brésil.[9]

Sans cela, le besoin de terres arables serait en diminution, alors même que l’humanité n’utilise actuellement qu’un tiers des terres productives.[10]

Ajoutons à cela que le système collectiviste en Russie et en Europe de l’Est était aussi catastrophique pour l’environnement : disparition de la mer d’Aral, Tchernobyl, empoisonnement de l’air et des cours d’eau au mercure et au plomb, émissions massives de CO2 et de souffre dans des économies principalement basées sur le charbon et l’industrie lourde archaïque.

De ce point de vue aussi, les choses évoluent plutôt dans le bon sens.

Tout n’est pas gagné !

Bien entendu, le but de mon message à mes enfants n’est pas de leur dire que tout est gagné. Ce serait de la folie !

Mais je le fais pour leur montrer qu’on peut agir, que la pire des choses serait de désespérer et donc… d’abandonner.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

 

Sources de cet article :

[1] http://ift.tt/2zu5bCF

[2] http://ift.tt/UyNXZf

[3] http://ift.tt/2h65BE0

[4] http://ift.tt/2ixwdyb

[5] http://ift.tt/2m9t1gG

[6] http://ift.tt/2ixwdyb

[7] http://ift.tt/2tAr4xB

[8] voir tableau page 10, Arable land/Crop PIN, T, for the world, 1961–2009, in http://ift.tt/2h64OmC

[9] http://ift.tt/2h64OmC

[10] http://ift.tt/2iw23ep

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L’effet des smartphones sur nos jeunes est plus qu’effrayant

Chère lectrice, cher lecteur,

Personne, je pense, n’avait anticipé la catastrophe historique provoquée par les smartphones.

La psychologue américaine Jean M. Twenge étudie depuis vingt-cinq ans le comportement social et affectif des jeunes. Elle a observé ces dernières années un séisme.

Dans un article intitulé « Les smartphones ont-ils détruit une génération [1] ? », elle explique que tout a changé à partir de 2012.

Cette année-là, plus d’un ado sur deux était équipé d’un smartphone. Aujourd’hui, c’est quatre sur cinq.

Les conséquences en ont été les suivantes, et concernent toutes les classes de la population, riches ou pauvres :

  • les symptômes dépressifs se sont accrus de 50 % chez les filles et de 21 % chez les garçons, de 2012 à 2015 ;
  • le nombre de filles qui se sont suicidées a triplé entre 2007 à 2015, et celui des garçons doublé ;
  • le nombre de jeunes qui voient des amis tous les jours a baissé de 40 % entre 2000 et 2015 ;
  • actuellement, les jeunes de 16 ans sortent moins que ne le faisaient ceux de 12 ans en 2009. Ils sont en train de cesser progressivement de sortir et de se socialiser dans les parcs, squares, etc., et restent seuls chez eux avec leur smartphone ;
  • en 2015, seuls 56 % des élèves de terminale sont « sortis » avec quelqu’un, contre 85 % des jeunes dix ans plus tôt, un chiffre qui était stable depuis les années 1960 ;
  • le nombre d’enfants qui manquent de sommeil a augmenté de 57 % entre 1991 et 2015 ;
  • aux États-Unis, où l’obtention du permis de conduire était le rêve de tous les jeunes autrefois, le passeport pour la liberté, on observe un désintérêt massif des adolescents, qui préfèrent rester dans leur chambre sur leur smartphone et se faire conduire par leurs parents ;
  • concernant la consommation d’alcool, les rencontres amoureuses, les adolescents se comportent comme nous le faisions à 15 ans, et ceux de 15 ans comme nous le faisions à 13 ;
  • s’ils sortent moins souvent, les rares fois où ils le font sont abondamment communiquées sur Snapchat, Instagram ou Facebook. Ceux qui ne sont pas invités se sentent donc cruellement exclus : le nombre de jeunes filles se sentant rejetées et isolées a augmenté de 48 % de 2010 à 2015 et le nombre de garçons de 27 %.

« J’essaye de leur parler et ils ne me regardent pas. Ils regardent leur smartphone. »

Lorsqu’ils se confrontent malgré tout aux enfants de leur âge, leur manière d’interagir est profondément dégradée.

En effet, bien que physiquement ensemble, cela n’interrompt nullement le fonctionnement des smartphones.

« J’essaye de leur parler de quelque chose, et ils ne me regardent pas droit dans les yeux. Ils regardent leur téléphone ou leur Apple Watch », témoigne une jeune fille dans l’article cité ci-dessus.

  • « Et qu’est-ce que ça te fait, quand tu essayes de parler à quelqu’un en face-à-face et qu’il ne te regarde pas ? », lui demande la psychologue.
  • « Cela me fait mal. Mal. Je sais que la génération de mes parents ne faisait pas ça. Je peux être en train de parler de quelque chose de super-important pour moi, et ils ne m’écoutent même pas. »

Oui, on imagine que ça fait mal, en effet…

Piégé par mon smartphone

En ce qui me concerne, j’ai tenu sans téléphone mobile jusqu’à il y a quelques mois. Mais j’ai fini par me faire coincer. Permettez-moi de vous raconter ma tragique histoire…

Les plus fidèles abonnés de Santé Nature Innovation se souviennent peut-être que j’avais perdu mon téléphone dans un train en juillet 2011.

C’était les vacances. Rien ne pressait pour le remplacer. Après quelques jours de « sevrage », je m’étais si parfaitement habitué à (re)vivre sans téléphone, libre, que je décidai de demeurer comme ça.

Jai tenu six ans, me débrouillant avec des « télécartes » pour appeler dans des cabines publiques. Mais ces cabines ont peu à peu été supprimées.

J’ai dû alors prendre l’habitude, pas évidente du tout, d’emprunter le téléphone de gens en cas d’urgence. Mais c’est devenu de plus en plus difficile.

  • D’une part, les téléphones mobiles ont évolué en des engins extrêmement précieux et dangereux car bourrés d’informations personnelles, à ne laisser en aucun cas entre les mains d’un inconnu, aussi rassurant soit-il.
  • D’autre part, plus le temps passait, plus les gens avaient du mal à croire que je n’avais pas de téléphone portable…

Comprenez : les enfants en ont quasiment tous dans les écoles ; les migrants en reçoivent des associations humanitaires dès qu’ils posent le pied sur une plage de l’Union européenne ; un homme de mon âge qui prétendait ne pas avoir de téléphone portable, ce n’était plus crédible du tout ! Cela cachait forcément quelque chose de louche…

Mais c’est ma banque qui a eu raison de mes résistances.

Comment ma banque m’a vaincu

Au mois de février, ma banque m’a envoyé un courrier m’expliquant que, « pour ma sécurité », le système de carte numérotée pour accéder à mes comptes en ligne allait être supprimé. Tous les clients devaient utiliser leur smartphone pour « scanner » un code apparaissant sur l’écran pour accéder à leur compte, faire un virement…

Mon premier réflexe fut de changer de banque. Mais ma femme me ramena à la raison : quand bien même je trouverais une banque n’utilisant pas encore ce système, ce n’était plus qu’une question de mois avant qu’elle ne s’aligne à son tour sur ces nouvelles technologies.

Penaud, j’ai acheté un smartphone, bien décidé à le laisser dans un tiroir, à ne m’en servir que pour la banque.

Je ne connaissais pas mon numéro de téléphone. J’étais décidé à ne le donner à personne.

Au bout de dix jours, cependant, j’eus besoin d’appeler ma femme. Mon numéro apparut sur son écran et, dès le lendemain, elle m’appelait pour la première fois.

La chute

Puis ce fut mon meilleur ami. Puis ma fille aînée. Puis ma mère, puis mon frère, puis le collègue avec qui je travaille au quotidien… Et bientôt mon numéro commença à circuler.

Peu à peu, je pris l’habitude de garder le téléphone avec moi.

En juillet, je m’en servais, pour la première fois, connecté à ma voiture. En août, ma fille m’installa Whatsapp et m’inscrivit au groupe de la famille, ce qui me valut de sentir des vibrations toutes les cinq minutes, et de voir apparaître toutes sortes de « notifications » sur l’écran que ma curiosité avait le plus grand mal à ignorer…

Peu à peu, ma vie a basculé.

Il y a dix jours, je me suis retrouvé pour la première fois à me promener dans la rue en « textant ».

J’ai alors levé le nez autour de moi. Je ne regardais plus le ciel bleu. Je n’entendais plus les oiseaux chanter. Je ne souriais plus aux passants (ni aux passantes…). J’étais dans la prison psychique de mes messageries et je me suis rendu compte que la plupart des gens autour de moi étaient… pareils.

Comment ne m’en étais-je pas aperçu auparavant ? J’avais bien constaté que tout le monde avait son portable à la main, mais je n’avais pas réalisé que chacun était en fait en attente d’un message qui allait arriver.

J’ai compris combien la vie était devenue stressante. Vous angoissez en permanence pour savoir si untel ou unetelle va répondre à votre « smiley », votre « emoji », commenter votre photo ou votre dernier trait d’esprit…

Vous ne connaissez plus le silence, le repos.

Le patron d’Apple avait interdit l’iPhone à ses enfants

Ce matin, un article explique que le grand Steve Jobs, patron d’Apple, avait interdit le smartphone à ses enfants [2].

De même pour Bill Gates, fondateur de Microsoft, qui ne voulait pas d’ordinateur chez lui.

Y avait-il quelque part un problème que ces « génies de l’informatique » avaient remarqué et dont leurs clients ne s’étaient pas aperçus ?

« Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… »

Les gens sont en train d’oublier combien la vie était douce avant ces engins. Moi je m’en souviens, je vivais ainsi il y a quelques mois encore.

Je montais dans ma voiture, ou dans le train, et je partais réellement.

Je ne poursuivais pas la conversation avec les gens que je venais de quitter. Les séparations étaient plus dures, mais les retrouvailles étaient aussi beaucoup plus intenses.

En voyage, je lisais. Dans ma voiture, je rêvais. J’écoutais de la musique sans jamais être interrompu par un brutal appel téléphonique.

Quand j’arrivais chez des amis, j’étais présent, je ne poursuivais pas des échanges parallèles avec des collègues ou d’autres personnes à des centaines de kilomètres de moi. C’était plus agréable pour tout le monde.

En réunion, au travail, je me concentrais uniquement sur les problèmes discutés autour de la table. Je n’avais pas le choix. Impossible de m’évader en appuyant sur un écran pour recevoir des nouvelles de ma famille ou de mes amis, ou encore pour traiter les questions liées à d’autres collègues, autre part.

Je comprends bien l’aspect excitant de ces machines. Vous êtes tout le temps stimulé. Vous vous sentez important. Vous avez l’impression d’être dans le coup, de mener une vie trépidante. Vous êtes enivré. Le grand frisson de la vie moderne, connectée, toujours en mouvement.

Vous recevez de délicieuses décharges d’adrénaline chaque fois que ça bipe, que ça buzze, que ça sonne.

Mais si vous regardez les choses en face, vous risquez aussi beaucoup plus de devenir un zombie dépressif.

Alors, cette fois, c’est décidé : je laisse mon smartphone à la maison ! Une fois par mois, je consulterai mes comptes, et ce sera tout.

Je brise mes chaînes. Je retourne dans le monde normal. Je dis stop à la dépression, aux insomnies, aux idées suicidaires. Adieu, mon smartphone !

À votre santé !

JM Dupuis

Sources de cette lettre : 

[1] http://ift.tt/2u7GBFq

[2] http://ift.tt/2xjOu88

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