Chère lectrice, Cher lecteur,
Voici des informations complémentaires très importantes, concernant le vinaigre balsamique.
Il s’agit d’un travail collectif réalisé grâce au réseau des lecteurs de Néo-nutrition, qui ont réagi à ma première lettre sur le sujet.
Pour commencer, il faut préciser que mes informations, aussi étonnantes qu’elles aient pu paraître, sont validées et confirmées.
Mais nous avons aussi récolté des témoignages directs et personnels de lecteurs connaissant le problème du vinaigre balsamique. Par exemple, Yvette Chamard :
« Bonjour,
J’ai vécu 20 ans à Bologne (proche de Modène).
Le vinaigre balsamique était très rare, voire introuvable (à moins d’y mettre le prix) et recherché au même titre que la truffe blanche, c’est tout dire !
Traditionnellement, quand une fille naissait dans une famille, le père commençait la préparation de ce vinaigre afin qu’il soit le cadeau de mariage à mettre dans la dot de sa fille au moment de son mariage (donc entre au moins 18 à 30 ans), et ce n’était qu’un tout petit tonneau !
L’industrie qui falsifie tout a su tirer parti du côté précieux de ce vinaigre pour en vendre « à la pelle », et ce « breuvage » mensonger n’a rien à voir avec l’original, même si cette industrie qui a plus d’un tour dans son sac pour nous faire avaler quelque chose d’approchant du point de vue du goût, ne le fait pas avaler à ceux qui ont pu goûter au moins une fois au vrai vinaigre balsamique. »
Teresa, qui est Italienne, confirme elle aussi :
« Absolument d’accord ! Mon amie, qui possède une “acetaia”, c’est-à-dire l’ensemble de fûts en bois pour faire du vrai vinaigre balsamique m’a fait cadeau d’une ampoule de son vinaigre…
UNE GOUTTE suffit pour un saladier entier !!!
Le vrai aceto balsamico (vinaigre balsamique) est très cher : il n’est même pas vendu au supermarché. »
Je vous confirme donc que, pour vous procurer du véritable vinaigre balsamique de 25 ans, vous n’avez pas d’autre choix que de chercher dans un épicerie italienne traditionnelle ou sur certains sites spécialisés sur Internet.
Je répète qu’il est extrêmement cher et difficile à trouver. Comptez 2000 euros le litre (oui ! deux-mille euros).
Au passage, je réponds aussi à Marije, qui m’interroge sur le vinaigre de coco :
« Je suis une fan de vos lettres, qui sont des mines d’information, et auxquelles je suis abonnée.
Merci au passage pour tout le travail que vous réalisez ainsi, pour le plus grand profit de tous.
S’agissant de celle concernant le vinaigre balsamique, vous apportez de l’eau à mon moulin. Je voyais bien qu’il y avait anarque, mais je n’en connaissais pas toute l’étendue !
Et j’en viens à ma question : j’ai entendu parler plusieurs fois du « vinaigre de coco » mais aucun commerçant ne connaît, y compris bien sûr les maisons de diététique que j’ai contactées.
Pouvez-vous me dire où le trouver ? D’avance, un grand merci. »
Pour le vinaigre de coco, vous devriez chercher dans les magasins de spécialités asiatiques.
Bien à vous,
Eric Müller
PS : Vous pouvez lire ou relire ma lettre d’origine sur le vinaigre balsamique ici.
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