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La malbouffe est la cause principale de l’épidémie d’obésité et de maladies cardiaques dans nos sociétés.

Or beaucoup croient manger sain alors qu’ils avalent les pires cochonneries.

Voici 15 aliments dits « diététiques » qui sont de la malbouffe déguisée :

1. Les aliments transformés « pauvres en graisses » et « 0 % de matières grasses »

La guerre contre les graisses saturées est la pire erreur de l’histoire de la nutrition.

Aujourd’hui, il a été démontré que le raisonnement était complètement erroné.

Mais les clichés ont la vie dure et les groupes industriels continuent d’inonder le marché de produits allégés en matières grasses.

Ce qu’ils n’expliquent pas, c’est qu’un produit allégé en graisse n’a plus aucun goût. Pour compenser la fadeur, les industriels ajoutent du sucre.

Pourtant les études sont formelles [1] : autant les graisses saturées sont sans danger, autant le sucre consommé en excès est sérieusement nuisible à la santé [2].

Lorsque vous lirez les mots « pauvre en graisses » et « 0 % de matières grasses » sur l’emballage, vous saurez que c’est un aliment fortement transformé et bourré de sucre.

Si cela vous étonne, vous n’êtes pas seul. La majorité de la population reste persuadée que les graisses sont responsables de l’épidémie d’obésité qui touche nos pays. Faites le test, posez la question autour de vous.

2. Les huiles végétales polyinsaturées

On conseille souvent les huiles polyinsaturées qui réduisent le cholestérol [3]. Notamment l’huile de tournesol, l’huile de pépins de raisins, l’huile de maïs et de soja [4].

Mais attention : le cholestérol est un facteur de risques et non une maladie en soi. À ce titre, les huiles végétales n’ont pas démontré leur capacité à réduire votre risque de crise cardiaque, d’AVC, or c’est cela qui compte.

Au contraire, plusieurs essais cliniques ont montré que ces huiles polyinsaturées peuvent accroître la mortalité par maladie du cœur et par cancer [5] [6]. C’est la teneur en acides gras oméga-6 de ces huiles qui serait particulièrement impliquée.

C’est pourquoi il vaut mieux consommer des graisses comme le beurre ou l’huile de noix de coco pour la cuisson, et l’huile d’olive, l’huile de noisettes, l’huile de noix ou l’huile de lin pour l’assaisonnement.

3. La margarine censée protéger votre cœur

La beurre a longtemps été diabolisé car il est riche en graisses saturées.

Depuis des décennies, les experts les plus en vue font la promotion de la margarine. On sait aujourd’hui que ce mauvais conseil a eu des effets désastreux sur la santé publique.

La margarine est faite d’huiles hydrogénées riches en graisses trans assemblées à des composants chimiques (dont des colorants). Cet ensemble artificiel doit imiter l’apparence et la texture du beurre.

Pourtant, l’Etude Framingham sur le Cœur a montré que les personnes qui remplacent le beurre par de la margarine ont plus de risques de mourir d’une maladie du cœur [7] [8].

Aujourd’hui, la majorité continue de voir la margarine comme une alternative saine au beurre. Je ne peux que vous encourager à faire connaître la vérité autour de vous.

Pour améliorer votre santé, consommez plutôt du beurre bio et évitez la margarine et autres faux aliments.

4. Les produits enrichis en phytostérols pour protéger votre cœur

Certains vous diront que les margarines de « dernière génération » sont moins riches en graisses trans et qu’elles sont enrichies en phytostérols dont il est prouvé qu’ils réduisent le cholestérol [9].

Les produits phare sont les margarines « Fruit d’Or pro-activ » et « Saint-Hubert Cholégram ».

Les fabricants ont créé d’autres produits enrichis en phytostérols comme des yaourts. Exemple : « Danacol » de Danone, et autres « spécialités laitières ».

Mais des études ont montré que les phytostérols sont malgré tout mauvais pour la santé du cœur. Ils pourraient même accroître le risque de maladie du cœur et de décès [10] [11], notamment chez les femmes ménopausées  [12].

5. Les jus de fruits : du sucre liquide

Les jus de fruits créent l’illusion qu’ils sont un choix diététique. Si le jus est à base de fruits, on en déduit qu’il est aussi sain que les fruits.

En réalité, l’appellation « jus de fruits » est trompeuse. Certains jus de fruits que l’on trouve en grandes surfaces ne contiennent aucun fruit… juste des arômes artificiels d’orange ou d’ananas. Au fond, c’est de l’eau sucrée à l’arôme de fruit.

Certes, vous pouvez mettre le prix et acheter du jus 100 % fruits frais. Mais cela reste une mauvaise idée.

Un vrai jus de fruit, c’est comme un vrai fruit sauf qu’il lui manque toutes les bonnes choses telles les fibres. La seule chose qui reste, c’est le sucre du fruit. La revue médicale The Lancet a montré que l’on trouve autant de sucre dans un vrai jus de fruit que dans une boisson sucrée comme les sodas [13].

Chaque jus est une décharge de sucre pur qui fait grimper votre taux de sucre dans le sang. À terme, ces pics favorisent le surpoids et le risque de diabète.

Si vous mangez une orange entière, ses fibres freinent l’absorption du fructose par votre corps et l’étalent dans le temps. Ainsi vous vous épargnez les effets néfastes du fructose et bénéficiez à 100 % des bienfaits du fruit.

6. Les produits « complets » censés protéger votre cœur

La plupart des produits « complets » ne sont pas faits de grains de blé entiers.

Le blé a été pulvérisé en farine et raffiné de sorte qu’il est prêt à être digéré. Le travail de votre mâchoire et de vos sucs gastriques de décomposition est réduit au minimum.

C’est pourquoi les glucides de la farine entière font grimper votre taux de sucre sanguin aussi vite que les glucides de la farine blanche. D’ailleurs, la farine blanche et la farine complète sont classées dans la même catégorie pour leur effet glycémiant (qui augmente le taux de sucre dans le sang)  [14].

À vrai dire, je déconseille aussi de consommer des grains de blé tout entiers. Le blé moderne n’a rien à voir avec celui que consommaient nos grands-parents.

Dans les années 60, la recherche agronomique fit de rapides « progrès » pour développer des céréales plus résistantes, plus productives, et plus riches en gluten.

Hybridations et rétrocroisements aboutirent à l’apparition d’espèces totalement nouvelles, que l’on appelle encore « blé » mais qui sont aussi éloignées du blé naturel qu’un éléphant d’une souris.

Le « blé » moderne créé dans les années 1970 – qui s’appelle Lerma Rojo 64, Siete Cerros, Sonora 64 ou Super X – a en effet quarante-deux chromosomes là où l’engrain de nos ancêtres n’en avait que quatorze !! Chez l’être humain, le fait d’avoir un seul chromosome en trop provoque des handicaps (comme dans la trisomie 21) ou la mort.

Le blé moderne a moins de valeurs nutritives, notamment moins de minéraux  [15]. Il provoque des réactions plus violentes chez les personnes intolérantes au gluten [16] [17]. D’autres études montrent qu’il pourrait accroître l’inflammation du corps [18] et abimer vos artères [19].

Mon meilleur conseil serait de consommer le moins de blé moderne possible, qu’il soit entier, complet ou raffiné.

7. Les céréales « minceur » du petit-déjeuner

Beaucoup de céréales du petit-déjeuner sont présentées comme diététiques (ex : Special K). Sur la boîte en carton, on peut lire en gros « riche en vitamines », « riche en minéraux », « au blé complet », « pauvre en graisses ».

…et écrit en petit, on découvre que les ingrédients sont des céréales raffinées, du sucre et des additifs chimiques. C’est vraiment très trompeur.

Mais ce qui me met le plus hors de moi, ce sont les céréales qui visent les enfants avec des emballages multicolores et des jouets à collectionner.

8. Les aliments plaisir « sans gluten »

Depuis que la population se soucie de sa consommation de gluten, les industriels se sont engagés dans la brèche.

Tous les produits sont déclinés en version « sans gluten ». Cela permet de remplir des rayons entiers de produits dits « diététiques » et fait facilement illusion.

Seuls les quelques consommateurs qui lisent systématiquement la liste de tous les ingrédients éviteront le piège. Ceux qui sont fatigués après une grosse semaine seront moins attentifs à ces petites arnaques.

Ces produits sans gluten sont tout aussi transformés, raffinés et riches en féculents que leurs versions avec gluten.

C’est une évidence : une cochonnerie sans gluten reste une cochonnerie.

Alors choisissez des aliments qui, par nature, ne contiennent pas de gluten : les légumes, les fruits, les viandes, le poisson, les œufs, etc.

9. Les aliments transformés étiquetés « bio »

Les industriels ont d’autres ressorts pour vous vendre des aliments soi-disant diététiques. L’autre mot magique qui fait vendre est « bio ».

Tout peut être « bio », même les aliments mauvais pour la santé : les barres de céréales, les chips, et le sucre de canne. Ils contiendront sans doute moins de pesticides, mais toujours autant de sucre et de glucides…

Les aliments transformés étiquetés « bio » ne sont pas forcément sains. Lisez toujours l’étiquette pour savoir de quoi ils sont faits.

10. Les aliments plaisir « vegan »

Le dernier venu parmi les mots magiques qui font vendre, c’est « vegan ».

Vegan désigne ce qui n’est ni animal (viande, poisson), ni produit par des animaux (œuf, lait, laine, cuir). Vegan est associé à une alimentation diététique.

Or les industriels se sont mis à produire des substituts vegan hyper-transformés, comme du bacon et des saucisses vegan.

Pour créer l’illusion du bacon et des saucisses, les producteurs utilisent des agents épaississants, des agents de texture, des arômes chimiques de bacon, des colorants, et des agents conservateurs… une quantité d’ingrédients artificiels que je déconseillerai à tous, y compris les vegans.

11. Les sauces et assaisonnements tout faits

Les légumes sont excellents pour la santé.

Mais certains se plaignent qu’ils n’ont pas beaucoup de goût. Cela ne m’étonne qu’à moitié quand on connaît les méthodes de production des légumes non bio (surtout le non-respect des saisons).

C’est pourquoi on les assaisonne avec de l’huile, du vinaigre et des épices.

Mais la restauration rapide « diététique », les supermarchés et de nombreux restaurants utilisent des assaisonnements tout prêts. Le problème est qu’ils sont bourrés de sucres, d’huiles végétales à bas coût, d’acides gras trans, d’agents conservateurs, d’agents chimiques de texture et de colorants artificiels. Ils sont dans des bouteilles en plastique et couvrent un rayon entier dans les supermarchés.

Avec ces assaisonnements industriels, les bienfaits des légumes se retrouvent anéantis.

Faites-le savoir autour de vous ! C’est urgent, car les salades à emporter et celles servies dans les restaurants sont le plat préféré des femmes soucieuses de leur alimentation.

12. Le sirop d’agave et sirop de riz brun

Depuis que la population a conscience des effets néfastes du sucre, elle est à la recherche d’une alternative plus saine.

Parmi les produits naturels sucrés, il y a le sirop d’agave qui est fréquemment utilisé dans les produits présentés comme diététiques.

Le problème est que le sirop d’agave n’est pas meilleur que le sucre. Il est même bien pire.

Le sucre contient beaucoup de fructose qui fait prendre du poids lorsqu’il est consommé en excès [20].

Pour vous donner une idée, là où le sucre contient 50 % de fructose… le sirop d’agave contient entre 70 et 90 % de fructose !

C’est pourquoi, mis face à face, le sirop d’agave est pire que le sucre de table.

Il devient clair qu’un produit naturel n’est pas forcément un produit diététique.

13. Le sirop de riz brun

Le sirop de riz brun est un autre produit sucrant qui est souvent pris pour une alternative diététique au sucre.

Or c’est un aliment hautement transformé : pour fabriquer du sirop de riz brun, il faut mélanger du riz cuit et des enzymes qui font décomposer les féculents du riz en sucres simples.

Le sirop de riz brun contient du glucose, mais pas de fructose. C’est mieux que le sirop d’agave… Mais son indice glycémique est tout de même de 98, ce qui signifie qu’il va faire bondir votre taux de sucre dans le sang [21] – un facteur de surpoids, de diabète et de maladies cardiaques.

Le sirop de riz brun subit une transformation telle qu’il ne contient plus aucun des nutriments essentiels. Il ne contient que des « calories vides ».

Certains scientifiques ont observé que le sirop de riz brun pouvait être contaminé à l’arsenic, un poison mortel. Voilà une raison supplémentaire de s’en méfier.

Il existe d’autres produits sucrants pauvres en calories et moins mauvais pour la santé, comme la stevia et le xylitol.

Bonus : Petite règle de survie au supermarché

Si l’emballage crie « je suis un produit diététique », c’est que le produit n’a rien de diététique.

Les vrais aliments sains n’ont pas d’allégations santé. Vous les reconnaîtrez parce qu’ils sont crus, entiers, non préparés, non raffinés.

Un aliment sain n’a pas de liste d’ingrédients. Il est le seul ingrédient !

Eric Müller



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Un pacemaker est un appareil qui donne des impulsions électriques pour faire battre le cœur des personnes qui ont le rythme cardiaque irrégulier ou trop lent.

Raymond a 91 ans et il aurait sans doute besoin d’un pacemaker après une vie d’employé de bureau, peu de sport et pas mal de cigarettes.

Mais il a mieux que cela : Raymond est passionné de trains électriques Märklin.

« Mieux qu’un pacemaker pour faire battre mon cœur »

Cette passion brûle Raymond et le fait vivre plus intensément que bien des personnes de 20, 30 ou même 50 ans de moins que lui.

Son grand projet est de reproduire les plus grandes gares de triage autour de Paris en 1955. Pour terminer, il a besoin d’exactement quinze années au rythme où il avance. Et je suis convaincu qu’il va le faire.

C’est lui qui m’a expliqué que sa passion pour les trains électriques fait « mieux qu’un pacemaker pour faire battre son cœur ».

Et c’est exactement ce que constatent les vieux médecins expérimentés.

Au-delà de 80 ans, toute personne qui décède meurt de « mort naturelle ». 80 ans, c’est déjà beaucoup. Mais ce qui fait la plus grande différence, après, entre les personnes qui s’éteignent et les super centenaires, c’est cette volonté, le besoin de vivre, la motivation qui vous fait vous lever tous les matins et qui vous tient éveillé chaque soir jusque tard dans la nuit parce que vous avez un but, une passion, un projet.

L’idéal : une passion qui sollicite tous vos sens et toutes vos capacités

Les trains électriques sont une passion qui a dévoré beaucoup de personnes de la génération de Raymond.

Pour créer un beau train électrique, avec les paysages, vous avez besoin d’apprendre la menuiserie et la charpente ; de connaître l’électricité ; de savoir peindre et souder. Vous devez faire des plans et savoir travailler tous les matériaux qui permettent de reproduire les effets de la neige, d’une prairie fleurie, d’une forêt, construire des ponts, des hangars et des échangeurs. Vous devez même vous intéresser à l’ornithologie (science des oiseaux) si vous souhaitez reproduire comme il faut les volatiles qui survolent vos trains, et à l’architecture pour reproduire des villages. Vous devez gérer les bruitages et si possible ajouter de la musique. Vous devez même connaître la couture pour vêtir vos voyageurs et les passants à la mode de l’époque de votre réseau, sans faire d’anachronisme !

Votre cerveau et tous vos sens sont sollicités. C’est la meilleure protection dont vous puissiez rêver contre l’Alzheimer et les démences séniles.

En fait, il est difficile d’imaginer une passion plus complète et créatrice que les trains électriques, et il est très dommage que cette passion soit en voie de disparition rapide.

« Ma femme dit que je suis un objet de collection »

Longtemps, les beaux trains électriques se sont échangés pour des fortunes, cela faisait partie des objets de collection les plus recherchés.

Mais aujourd’hui, ce sont les collectionneurs eux-mêmes qui sont de plus en plus rares.

« Ma femme dit que c’est moi, l’objet de collection », dit Raymond en souriant.

Selon le président de l’Association américaine des trains électriques, l’âge moyen des collectionneurs de trains électriques est désormais de… 64 ans.

Les passionnés sont de plus en plus vieux, et il semble n’y avoir aucune relève à l’horizon.

L’âge moyen des passionnés de trains électrique est aujourd’hui de 64 ans.

L’association organise chaque hiver un cours de vingt heures d’initiation gratuite à la construction de trains électriques. L’année dernière, personne ne s’est inscrit.

Cette année, ils étaient onze pour la première session. Six avaient plus de 60 ans. Il y avait un jeune, Alex Edder, 15 ans, titulaire de la médaille du mérite scout pour ses maquettes de train.

En France, la Fédération française du modélisme ferroviaire est en pleine décélération elle- aussi. L’association invoque la réduction des surfaces habitables, le coût du matériel… Ma crainte est que l’explication soit plus triste que cela : il devient difficile de convaincre un jeune d’abandonner son iPhone, sa tablette ou ses jeux vidéo pour faire l’effort d’une passion aussi exigeante et féconde.

Quoi de plus beau en effet qu’une passion qui sollicite tous vos sens et toutes vos capacités, pour laquelle une vie entière ne suffit pas, et de loin, pour tout découvrir ?!

C’est pourtant exactement ce qu’il faut quand on veut vivre vieux, et heureux.

Le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre

Pour ma part, j’ai un très bon ami de 79 ans qui restaure des voitures anciennes. Il recherche les Rover, Triumph, Jaguar d’avant 1965.

Ces marques prestigieuses sont chères évidemment, mais leur intérêt incomparable est d’avoir été faites à la main. Cela veut dire qu’on peut refaire aujourd’hui les pièces manquantes ou cassées. Il « suffit » de maîtriser le travail du métal, du bois (pour les tableaux de bord par exemple) ou du cuir (pour les fauteuils).

C’est ce qui fait leur intérêt pour les collectionneurs passionnés. Lorsqu’il est dans son atelier, mon ami n’a plus d’âge, plus de malheurs, plus de maladies. Il vit intensément, entièrement absorbé par ses projets. Et je suis certain qu’il sera toujours là dans de nombreuses années. Quand il en a fini une, il la revend plus cher, ce qui lui permet d’en acheter une plus belle !

Sa passion ne lui laissera pas le loisir de partir en maison de retraite !

Car la plus dangereuse maladie, c’est le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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Beaucoup de noms pour tous ces problèmes intestinaux allant de la diarrhée au colon irritable, à la colopathie fonctionnelle, maladie de Crohn, maladie cœliaque, aux flatulences, ballonnements, constipation, et autres désagréments concernant le transit...

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Si vous aimez la pastèque, j’ai une bonne nouvelle et trois mauvaises pour vous.

La bonne nouvelle…

C’est que la pastèque est l’aliment le plus riche en citrulline, un petit acide aminé peu connu mais qui protège vos vaisseaux sanguins.

C’est utile quand on sait que les maladies du cœur sont la première cause de mortalité au monde [1]. Soit 1 décès sur 3 selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Que ce soit l’infarctus, l’angine de poitrine, un AVC ou l’hypertension, nous connaissons tous quelqu’un qui est concerné.

Quand la vie ne tient qu’à un fil

Le jour où le médecin vous apprend que vous avez un problème cardiaque, il devient impossible de vivre comme si de rien n’était.

On a l’impression d’être sur le fil du rasoir.

Au moindre effort, on sent déjà que le cœur est en train de lâcher. On se sent faible dès qu’on fouille dans des placards en hauteur.

On redoute d’avoir à porter un panier rempli de courses.

Envisager un rapport sexuel devient comme une tentative de suicide !

Chaque fois que l’on part pour plusieurs jours, on se demande si l’on reverra ses proches.

On espère qu’aucun infarctus ne surviendra quand on prend le volant.

Heureusement, il existe cependant un acide aminé qui garantit une bonne circulation sanguine et réduit votre risque de maladies du cœur.

Non, ce n’est pas la citrulline. C’est l’arginine. Mais vous allez voir qu’il y a un rapport entre les deux.

Des gaz d’échappement bénéfiques à vos vaisseaux sanguins ?

Pour retrouver la circulation sanguine d’une personne en bonne santé, il faut que vos vaisseaux sanguins soient parfaitement dilatés, c’est-à-dire suffisamment ouverts [2].

En 1992, trois chercheurs américains, F. Furchgott, F. Murad et J. Ignarro provoquèrent l’étonnement général en perçant le secret de la dilatation des vaisseaux sanguins.

Ils découvrirent que les vaisseaux sanguins se dilatent en présence d’oxyde nitrique. C’est surprenant car l’oxyde nitrique est un gaz jusqu’alors connu comme gaz d’échappement des voitures, résultant de la combustion de l’azote.

Cette découverte leur a valu le prix Nobel de Médecine en 1998.

Arginine, un précurseur de l’oxyde d’azote

Pour améliorer la dilatation de vos vaisseaux sanguins et accroître vos stocks d’oxyde d’azote, je ne vous conseille pas de vous allonger derrière votre voiture pour inhaler les gaz d’échappement.

Il y a mieux.

Durant leurs recherches, F. Furchgott, F. Murad et J. Ignarro découvrirent que la décomposition enzymatique de l’arginine produit de l’oxyde nitrique.

En 2004, le Journal of Nutrition de l’American Society for Nutritional Sciences a mené une vaste revue des études scientifiques sur l’arginine [3].

On a ainsi pu valider que l’arginine :

  • Augmente la vitalité de vos vaisseaux sanguins
  • Joue un rôle essentiel dans le maintien d’un fonctionnement sain de votre endothélium vasculaire (paroi des vaisseaux)
  • Favorise la dilatation des vaisseaux sanguins et la production de l’oxyde nitrique créé par votre endothélium vasculaire

Et les trois mauvaises nouvelles ?

La première mauvaise nouvelle, c’est qu’il est très difficile d’augmenter ses apports en arginine.

On trouve un peu d’arginine dans la viande rouge, la volaille, le poisson, les légumineuses, le riz brun, l’avoine, le sarrasin et les noix.

La deuxième mauvaise nouvelle est que les cures d’arginine en compléments, qui ont longtemps été conseillées, sont tout autant inefficaces.

Les dernières études sont sans équivoque : les compléments d’arginine n’améliorent pas la dilatation des vaisseaux sanguins [4].

Le problème est que l’arginine est très mal absorbée par voie orale [5]. De plus, elle peut provoquer la diarrhée.

La solution citrulline

Par chance, des chercheurs ont observé que la citrulline (découverte dans la pastèque) :

  • Est un précurseur de l’arginine…
  • Accroît de façon certaine la concentration d’arginine dans le sang : 4 g de citrulline augmentent de 173 % le taux d’arginine dans le sang [4]
  • Ne risque pas de vous donner la diarrhée (contrairement à l’arginine)

La troisième mauvaise nouvelle…

C’est que la pastèque contient à peine 2 mg de citrulline par kilogramme !

Surtout, les variétés de pastèque à chair rouge que l’on trouve dans nos magasins sont les moins riches en citrulline [6]. Si vous le pouvez, consommez plutôt des pastèques à chair orange ou jaune (comme la variété Janosikgraines disponibles ici).

La complémentation en citrulline garantit vos apports

Dans le cadre d’une cure sérieuse de citrulline, vous devrez vous orienter vers de la citrulline en complément.

La citrulline est couramment vendue par des laboratoires produisant des compléments alimentaires pour les sportifs.

Son action dilatatrice est très appréciée chez ceux qui pratiquent la musculation.

Elle leur permet de soulever des charges plus lourdes, d’être moins fatigué, de récupérer plus vite après l’effort et d’avoir moins de courbatures.

Les effets seront semblables à votre niveau : facilité à déplacer des objets lourdes, fatigue moins forte, capacité à alterner les activités sans avoir besoin de se reposer – très pratique chez ceux qui jardinent.

Je conseille de prendre au moins 5 g de citrulline pour observer ses effets.

On trouve facilement de la citrulline dans les magasins de nutrition pour sportifs, mais également sur Internet, par exemple chez SuperSmart.

Bien à vous,

Eric Müller

PS : La citrulline est de plus en plus souvent employée pour traiter pour traiter les dysfonctions sexuelles de l’homme et de la femme [6].

L’oxyde nitrique, en dilatant les vaisseaux sanguins, favorise l’afflux de sang nécessaire à l’érection. Dans une étude sur des hommes ayant des problèmes d’érection et un faible taux d’oxyde nitrique, l’administration de 5 g d’arginine par jour a permis l’augmentation des niveaux d’oxyde nitrique de ces hommes et une amélioration de la qualité de l’érection a été observée.

Chez la femme ménopausée, une étude menée laisse penser que l’arginine pourrait également avoir en effet stimulant sur la libido.

Ces quelques résultats positifs seraient liés à l’action de l’arginine et de l’oxyde nitrique dans l’amélioration de l’afflux sanguin au niveau des organes sexuels. Toutefois, il faudrait mener d’autres recherches pour valider sans équivoque l’utilité de l’arginine dans le traitement des dysfonctionnements sexuels.



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Nous avons pris l’habitude de parler beauté au naturel, mais qui dit beauté, dit aussi séduction. Et qui dit séduction, dit baisers. Enfin, quand tout se passe bien…

Combien de fois avez-vous acheté une tablette de chewing-gum ou un paquet de mentos avant d’aller à un rendez-vous, qu’il soit amoureux ou professionnel ?

Je pense que c’est pareil pour tout le monde, s’il y a bien une chose que nous redoutons dans ces moments-là, c’est d’avoir mauvaise haleine, car la première personne à s’en rendre compte est souvent, malheureusement, notre interlocuteur.

Pour éviter ce genre de petit souci qui peut vite vous rendre mal à l’aise, je voulais partager avec vous aujourd’hui certains gestes 100% naturels qui sont très efficaces !

Moins onéreuses que les solutions que l’on vous vend en pharmacie, celles que je vous propose ont l’avantage d’être très faciles à mettre en pratique. Adieu donc les vulgaires chewing-gums qui parfument votre haleine mais vous abîment les dents !

Buvez autant que vous le pouvez !

Cela peut sembler idiot, mais parfois la mauvaise haleine est tout simplement due à un manque d’hydratation. Dans tous les cas, il est absolument essentiel de boire suffisamment d’eau, pour éviter le dessèchement de la cavité buccale, comme pour faciliter le transit.

Si vous n’aimez pas l’eau – c’est rare mais ça arrive et j’ai même une amie qui en profite pour se ruiner la santé avec des sodas industriels ; j’ai dû trouver quelques stratagèmes pour la ramener à des breuvage plus sains (profitez-en donc) – mon astuce consiste à ajouter 3 cuillères à soupe d’hydrolat de menthe poivrée ou de cannelle [1] à une bouteille de 1 litre d’eau.

C’est une façon originale et sans contre-indication, à ces doses, d’aromatiser de l’eau minérale. En plus d’un petit goût sympathique, l’action très douce mais ciblée de ces hydrolats rendra cette eau plus “digestive”. C’est ce que j’appelle joindre l’utile et l’agréable. Et si même l’eau aromatisée ne vous parait pas faite pour vous, alors optez pour du thé vert légèrement infusé ou du rooibos, le fameux “thé” rouge très à la mode en ce moment. L’avantage de ces derniers, c’est qu’on peut les boire aussi bien chauds que froids.

Evidemment, boire de l’eau ne suffira peut-être pas à vous donner une haleine fraîche toute la journée et je vous conseille de combiner cette action avec les bons gestes qui suivent…

Persil, girofle et cardamome, vos nouveaux amis

Avez-vous déjà mâché un brin de persil frais ? Si ce n’est pas le cas, je vous conseille d’essayer. Vous remarquerez qu’il a un goût végétal puissant, mais pas désagréable du tout. En fait, il rafraîchit les papilles presque aussi bien qu’une feuille de menthe. Pour ne rien vous cacher, le persil fait même mieux que la menthe. Il est capable de neutraliser les éléments soufrés dans la bouche, ceux-là mêmes qui sont source de mauvaise odeur. C’est très efficace !

Placez donc dans un vase, à la maison, une petite botte de persil frais bio que vous avez lavé. Essayez-le après chaque repas ou avant une rencontre. Mâchez, avalez et buvez une gorgée d’eau. Vous verrez, c’est radical !

Si vous souhaitez une solution plus mobile, vous pouvez emmener avec vous quelques graines de cardamome ou des clous de girofle. En Inde, on les mâche justement comme un chewing-gum.

Eux aussi favorisent une bonne digestion, attention donc à ne pas en abuser. Limitez-vous à un clou de girofle à sucer ou 2 graines de cardamome à mâcher. Cette fois, on n’avale pas, bien évidemment.

Les avantages sont nombreux : ce n’est pas cher, c’est naturel et surtout, cela assainit durablement votre cavité buccale.

Rien de tel qu’un bon bain !

Vous vous brossez bien les dents mais la mauvaise haleine persiste ?

Avez-vous essayé le bain de bouche ?

Surtout, ne vous ruez pas sur la dernière eau buccale en pharmacie. Gargarisez-vous plutôt avec une cuillère à soupe d’hydrolat de menthe poivrée ou de thym à linalol de bonne qualité. Comme avec un bain de bouche classique, pensez à recracher. Une bonne minute environ devrait suffire après chaque brossage.

L’avantage principal par rapport à certains produits industriels est que l’hydrolat ne dessèche pas la bouche et n’anesthésie pas la fonction du goût.

Alors, vous avez trouvé une solution qui vous convient ?

Notez qu’avant de vous ruer sur une astuce pour l’haleine, il est bon de vérifier si votre halitose n’est pas chronique. Si votre haleine reste fétide malgré une bonne hygiène et une bonne hydratation, ce n’est pas normal. Il peut s’agir de problèmes bucco-dentaires ou de problèmes de transit plus aigus. Dans ce cas, consultez obligatoirement un médecin.

Je vous ai donné ici 3 astuces très originales qui reposent sur la puissance des composés aromatiques pour rafraîchir et assainir. Je ne connais pas plus efficace. Les germes non plus d’ailleurs et vous allez bien vite vous en rendre compte.

La dernière astuce

Si néanmoins vous détestez le goût des plantes ou que vous souhaitez éviter les hydrolats, il vous reste encore le bon vieux bain de bouche au bicarbonate de soude.

Facile à trouver, le bicarbonate alimentaire (bicarbonate de sodium ou “baking soda”) est un bon allié pour éliminer les impuretés entre les dents. Il combat les acides provoqués par les bactéries qui causent les mauvaises odeurs.

Si vous voulez essayer, voici la recette de ce cocktail méga simple : une cuillère à café de bicarbonate à mélanger dans un petit verre d’eau. Et hop, en bain de bouche ! Pour être vraiment efficace, on fait circuler l’eau au bicarbonate dans toute la cavité buccale pendant 2 minutes, puis on gargarise un peu dans le fond de la bouche avant de cracher. C’est radical et le petit goût salé n’est pas déplaisant.

Je pense que ces remèdes de grand-mère ont tout leur sens, aujourd’hui, dans notre monde bourré de chimie et de synthèse… J’espère qu’ils vous apporteront une grande satisfaction, ainsi qu’à tous ceux qui aiment vous embrasser.

Amicalement,

Julien Kaibeck



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Pissenlit vient de « pisse-en-lit ».

Il porte ce nom parce qu’il est diurétique : il donne envie de faire pipi.

En anglais, pissenlit se dit « dandelion ». Ce nom m’a toujours paru bizarre jusqu’à ce que je réalise, tout récemment, que cela venait simplement du français : « dent de lion ». Dent de lion est d’ailleurs un autre nom du pissenlit en français. Les Suisses utilisent souvent ce nom. C’est bien sûr à cause de la forme des feuilles de cette plante, qui ressemblent à une dentition de carnassier :

pissenlit

Le pissenlit fait partie, comme le chardon, de la famille astéracée, ces plantes qui ont une forme d’étoile quand on les regarde du dessus (aster = étoile en latin). C’est en fait un chardon sans piquants, ce que tous les enfants ont remarqué.

Contre l’hypertension et la rétention d’eau

On sait que les médecins donnent des médicaments diurétiques aux personnes souffrant d’hypertension. L’hypertension se produit quand les artères, trop rigides, se dilatent mal et que la pression du sang augmente. Manger du pissenlit, qui est naturellement diurétique, est donc une saine habitude pour les personnes qui ont trop de pression dans les artères.

Mais les diurétiques ne servent pas que contre l’hypertension.

Par définition, ils sont utiles pour traiter tous les problèmes de rétention d’eau : jambes lourdes, pieds qui gonflent. L’idéal dans ce cas est de préparer une infusion avec des feuilles de pissenlit. Il suffit de mettre 4 à 10 g de feuilles séchées dans 150 ml d’eau, jusqu’à trois fois par jour. Mais l’efficacité de cette tisane peut être renforcée en y mettant des queues de cerise et de la piloselle, une cousine du pissenlit dont nous parlerons une autre fois.

Feuilles ou racines ?

Traditionnellement, c’est la racine du pissenlit qui était consommée de préférence.

Elle était récoltée à l’automne ou au printemps, lorsque la plante a au moins deux ans. C’est alors que la racine est de belle taille.

Elle était consommée crue ou séchée, bouillie ou cuite à la vapeur, en décoction ou en teinture-mère. La décoction consiste à cuire la plante longuement dans l’eau, la teinture-mère à la faire mariner dans l’alcool. On préparait autrefois un café de pissenlit après torréfaction (brûlure) de la racine [1].

Elle était surtout utilisée pour stimuler la digestion et nettoyer le foie. Elle n’était pas consommée toute l’année mais en cure de quelques jours, aux changements de saison.

Elle a des propriétés anti-inflammatoires. Elle est prescrite au Japon pour soulager l’arthrite [2].

Le goût de l’amertume

Mais les feuilles de pissenlit sont aussi excellentes. On peut les faire sécher pour les conserver et en faire des tisanes plus tard dans la saison.

L’habitude de les récolter au printemps ne s’est pas perdue, d’ailleurs. Chaque année nos yeux sont réjouis par le spectacle émouvant de familles qui remplissent des paniers de pissenlits qu’elles récoltent sur les talus.

Mais c’est aussi avec joie que je vois les supermarchés vendre de plus en plus de feuilles de pissenlit cultivés.

En effet, les feuilles de pissenlit font de délicieuses salades. Elles sont très amères, mais c’est pour ça qu’elles sont importantes.

Le goût amer, qui a été pourchassé par l’industrie agro-alimentaire moderne, est indispensable, vital même pour stimuler la digestion et le fonctionnement du foie, la production de la bile. J’y reviens plus loin.

Mais permettez-moi d’insister quelques instants sur le problème de la disparition de l’amertume dans notre nourriture.

Autrefois, les adultes recherchaient l’amertume. De nombreux plats et boissons populaires étaient amers : les artichauts, les endives, la chicorée, le chou de Bruxelles, le céleri, l’huile de ricin ou d’olive, les amandes amères, la bière, le café et de nombreux vins.

On n’oubliait pas d’ajouter de nombreux aromates à la cuisine, souvent aussi appelés « herbes amères » : achillée, bardane, calendule, laurier, myrrhe, plantain, séné, verveine cataire, romarin et bien d’autres.

Mais il est vrai que c’est une saveur qu’on ne peut apprendre à apprécier que si l’on a été un peu forcé au départ.

Les enfants commençaient par faire la grimace devant leurs endives ou leurs artichauts. Il y avait des pleurs et souvent même des punitions. Mais bientôt tout le monde s’y mettait, et à l’âge adulte, on appréciait les vertus « roboratives » (fortifiantes) d’un plat ou d’une boisson bien amers.

Le goût amer s’était largement perdu ces dernières années. Biberonnés au Coca-Cola, aux bonbons Haribo, aux Corn-Flakes et au ketchup, les jeunes générations ne le supportaient plus et recherchent désormais le sucre, même adultes (autrefois, on considérait que seuls les enfants aimaient le sucre).

Les endives n’ont plus de goût, les artichauts sont doux, le café se boit dilué à l’américaine, les olives sont juste salées, et les bières elles-mêmes ressemblent de plus en plus à de l’eau pétillante.

Et que dire des concombres ? Qui se souvient qu’autrefois le concombre était si amer qu’il était pratiquement immangeable tel quel ? C’est pour ça qu’on le mettait en saumure, pour en faire de gros cornichons, comme les olives qui, sans cela, sont immangeables.

Les vertus de l’amertume pour le foie

L’amertume nettoie et simule le foie, cet organe indispensable dont on oublie toujours de s’occuper (jusqu’à ce qu’il tombe malade). Pourtant, je me permets de le rappeler, le foie :

  • Produit des hormones, des enzymes, du cholestérol et de la bile, tous essentiels à une bonne santé.
  • Emmagasine le glucose pour faciliter le contrôle de la glycémie. Les athlètes comptent sur la libération de cette énergie lorsqu’ils se mettent en action.
  • Contribue à la qualité du sang en veillant à ce qu’une quantité suffisante de globules rouges soit disponible à mesure que les vieilles cellules sont remplacées.
  • Purifie le sang des médicaments, de la caféine, de l’alcool et autres toxines qui peuvent s’y trouver. C’est lui qui se charge de détoxifier l’organisme.
  • S’occupe de filtrer toutes les substances ingérées et ne permet qu’aux particules inoffensives d’accéder au système circulatoire.
  • Se répare tout seul, pourvu qu’on cesse de consommer les aliments ou les boissons qui lui sont néfastes et qu’on prenne les mesures nécessaires pour assurer sa régénération.
  • Régule les fluides corporels ainsi que la température de l’organisme.
  • Et comme si cela ne suffisait pas, qui se charge de filtrer quotidiennement 600 litres de sang !

Et manger du pissenlit permet de stimuler toutes ces fonctions à la fois, en augmen22tant l’excrétion, ou production, de bile.

C’est la raison pour laquelle je vois d’un si bon œil le retour du pissenlit dans nos étals.

« C’était mon ami, et je ne le savais pas »

Alors, comme son cousin le chardon, apprenez à aimer le pissenlit trop souvent accablé car accusé « d’envahir » le stérile gazon.

Contrairement au gazon, le pissenlit peut vous nourrir, vous soigner.

C’est un ami, qui vous veut du bien. Oui, il est banal, mais ce n’est pas une raison pour le mépriser, et encore moins l’éradiquer.

S’il s’obstine éternellement à revenir, malgré les coups de bêche et les désherbants prétendument « sélectifs », c’est qu’il sait que vous avez besoin de lui, même si vous n’aviez peut-être pas complètement réalisé à quel point.

Il est facile à reconnaître. Veillez simplement à éviter les zones trop proches des routes passantes, ou régulièrement traitées aux herbicides.

Si vous avez un doute, demandez à n’importe quel enfant qui aime en souffler les pistils et les voir s’envoler dans le vent. Il n’y a aucun risque de le confondre avec une plante toxique. Armez-vous d’un petit couteau acéré et d’un panier, et faites de belles récoltes, préférablement au début du printemps.

Et n’oubliez pas de les assaisonner avec de l’ail et de petits lardons bien grillés !

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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« Recoiffe-moi le moral » est le slogan publicitaire qui a fait la fortune de Jacques Dessange, propriétaire d’une chaîne de salons de coiffure présente dans 36 pays [1].

Et il avait raison : aller chez le coiffeur, c’est important. C’est un nouveau départ. Le moment où vous découvrez votre « nouvelle tête » est plein d’émotion. Quand vous sortez du salon de coiffure, vous n’êtes plus le/la même.

Personne ne le sait mieux que les stars de cinéma. Elles savent que suivant leur coupe de cheveux, elles peuvent incarner les personnages les plus variés, de l’aventurière à la marquise en passant par la journaliste ou la militante !

Voici par exemple deux photos de Scarlett Johansson. Est-ce bien la même personne ? On a peine à le croire :

 Scarlett Johansson  Scarlett Johansson

Imaginez que Scarlett Johansson se soit résignée à la coiffure qu’elle a sur la première photo.

N’ayant jamais eu l’idée qu’elle pouvait apparaître autrement, elle ne serait sans doute jamais devenue une autre – à savoir une star adulée et désirée par des dizaines de millions de personnes.

Eh bien ! pour chacun de nous, c’est pareil.

Notre coiffure contribue de façon majeure à notre image, y compris l’image que nous nous faisons de nous-même !

Une coiffure ratée, c’est une tête ratée et c’est, potentiellement, une vie ratée si nous ne décidons pas un jour d’y remédier.

Les coiffeurs étaient autrefois médecins

La profession de coiffeur est aujourd’hui assez déconsidérée. On estime qu’un simple « CAP de coiffure » suffit à l’exercer.

Ce n’était guère le cas autrefois : les coiffeurs appartenaient à la même corporation que les chirurgiens et les dentistes. Ils posaient également des bandages, soignaient les ongles incarnés et les cors aux pieds. Ils étaient donc aussi pédicures [2].

C’est chez le barbier que se pratiquaient les saignées et les purges.

Il reste des traces de cette époque dans notre inconscient collectif. Qui, en entrant chez un coiffeur, ne s’est jamais senti intimidé ?

Comme le médecin et le dentiste, le coiffeur a ce rare privilège de nous commander d’aller et venir, nous asseoir, nous déshabiller (partiellement). Il nous examine, nous touche, il « opère » sur nos cheveux. Placé au-dessus de nous, il nous domine et nous ne pouvons pas nous empêcher de nous sentir « entre ses mains », au sens propre comme au sens figuré.

Pour les hommes qui me lisent, ce sentiment est encore plus fort car le coiffeur nous passe souvent un rasoir acéré sur le cou. Nous avons toujours l’impression, bien réelle, que notre vie est entre ses mains. Un simple mouvement lui suffirait pour nous trancher la carotide et nous envoyer dans l’au-delà.

Aller chez le coiffeur, c’est comme aller chez le psy

Aller chez le coiffeur, c’est comme aller chez le psy.

Le salon de coiffure est un lieu de rencontres, de mixité sociale, où l’on se retrouve à parler et parfois même à se confier à des gens avec qui l’on n’a pas l’habitude d’échanger.

Cette parole est indispensable. Le bon coiffeur, comme le bon médecin, doit connaître la personne qui vient le voir.

Il doit savoir qui vous êtes, quelle est votre situation sociale, maritale, professionnelle.

Il faut des coiffeurs intelligents qui réfléchissent aux personnes qu’ils ont en face d’eux.

Ne prenez pas votre coiffeur pour un garagiste

Vous ne pouvez donc pas entrer au hasard chez n’importe quel coiffeur.

Tout bon mécanicien peut changer votre roue de voiture. Mais le coiffeur, comme le médecin, travaille sur une personne humaine. C’est pourquoi chacun s’est rendu compte que parfois il est à l’aise chez le coiffeur et parfois il ne l’est pas.

Il arrive fréquemment aujourd’hui de se retrouver face à des coiffeuses qui vous font des coiffures telles qu’elles les aimeraient sur leur petit copain, ou qu’elles aiment parce qu’elles les ont vues sur un footballeur ou un chanteur.

Elles vous font asseoir et vous posent la question : « Comment voulez-vous être coiffé ? »

« Ben, je sais pas, comme ça » dites-vous en montrant d’un doigt hésitant l’image d’un superbe mannequin sur un poster.

Mais la vérité est que vous ne savez absolument pas s’il est possible d’obtenir un tel résultat.

Au fond de vous, vous êtes persuadé que c’est impossible. Mais vous espérez secrètement que la coiffeuse va vous trouver une solution miracle qui changera le rêve en réalité.

C’est une grave erreur évidemment. Quand on part comme ça, on est toujours déçu à l’arrivée.

Contre les chaînes de coiffure industrielles

Les coiffeurs de chaîne, qui forment leur personnel selon une méthode uniforme et unique, font souvent des massacres.

En effet, ils partent du principe que les gens sont interchangeables, qu’une même coupe de cheveux peut se pratiquer à Lille, Strasbourg, à Marseille, Londres et New York.

Pour ma part, je milite pour les coiffeurs de quartier, qui comprennent et connaissent leur clientèle. Le coiffeur de chaîne est à la coiffure ce qu’Ikéa est à la décoration et McDonald à la restauration. Partout la même chose, qui convient en gros à tout le monde, mais à personne en particulier.

Et qui contribue à transformer toute l’humanité en numéros interchangeables, comme s’il n’y avait ni personnalité, ni culture, ni particularité.

Un coiffeur qui vous ressemble

L’idéal est de vous faire coiffer par quelqu’un qui vous ressemble, qui vous comprend, ou à qui vous aimeriez ressembler.

C’est pourquoi j’aime beaucoup la photo suivante. Aussi spécial que soit leur look, on voit tout de suite que ce coiffeur est en train de faire exactement ce que le client attend de lui. Ils se ressemblent, ils sont en symbiose :

coiffeur

Et il faut reconnaître que le résultat, très original, est là ! C’est le fruit de la bonne entente.

Les coiffures des gens importants

Certaines personnes ont besoin d’avoir toujours la même apparence : journalistes, hommes politiques, grands patrons.

Ils vont donc en permanence chez le coiffeur pour avoir toujours la même longueur de cheveux, ne jamais avoir de poils disgracieux dans le cou.

Quand vous les voyez à la télévision, vous ne vous dites jamais : « Ah, tiens, François Hollande sort de chez le coiffeur. » Non, il est toujours pareil. De temps en temps, il change de tête, mais alors on en parle dans les journaux. Cela se produit tous les 3 à 5 ans, comme lorsqu’il avait changé de lunettes en juillet 2014 [3].

C’est tout un investissement pour les personnages publics d’obtenir ce résultat. Ils doivent aller chez le coiffeur plusieurs fois par semaine. Mais c’est pour dire comme la coiffure est importante.

Souvent aussi, les hommes riches ont des cheveux coiffés en arrière, et un peu longs dans le cou. L’escroc milliardaire Bernard Madoff l’avait bien compris. Ayant monté ses arnaques financières de grande ampleur sur sa capacité à inspirer confiance, il a toujours arboré la coiffure typique de l’homme qui a réussi :

Bernard Madoff
Bernard Madoff a le visage de François Hollande, et la coupe de cheveux de l’homme qui a réussi. Cette coiffure contribuait puissamment à le faire passer pour plus riche qu’il n’était.

C’est la coiffure de Dominique de Villepin, Léonard Bernstein, du milliardaire anglais Richard Branson, de Richard Gere et Michael Douglas qui, justement, jouent en général le rôle d’hommes… riches et importants :

Michaël Douglas

L’acteur Michaël Douglas avait lui aussi adopté la coiffure de l’homme riche et important, rôle qu’il a joué notamment dans le film « Wall Street »,
où il joue Gordon Gekko, un des plus riches investisseurs du monde.

Les coiffeurs redécouvrent leur vocation

Depuis quelques années, les coiffeurs redécouvrent que leur rôle ne se limite pas à couper des cheveux. Ils vous massent et se préoccupent de votre moral. Ils utilisent des huiles essentielles, ils créent des ambiances.

Certains vont jusqu’à une prise en charge psychologique complète, comme le coiffeur parisien Rémi Portrait, créateur de la « coupe énergétique » [4] ou le bruxellois Sébastien Ledentu, coiffeur énergéticien émotionnel [5].

Tous deux coupent les cheveux avec un coupe-chou, espèce de grand rasoir. Ils expliquent qu’ils « jouent de la musique » sur la chevelure de leur patient, qui est comme un violoncelle, le coupe-chou représentant l’archet.

Les personnes qui passent entre leurs mains témoignent qu’il se « passe quelque chose ». Des émotions jaillissent, des joies, des larmes.

Pour Rémi Portrait, le cheveu est votre antenne énergétique et votre histoire à travers les cheveux. Il ne se détruit pas après la mort et conserve votre ADN, comme les dents et les os.

Tout ce qui arrive aux cheveux est lié à votre histoire, vos émotions, vos peurs.

Je ne vais pas vous dire que c’est ce coiffeur qu’il vous faut. Tout dépend de votre personnalité, de vos attentes.

Mais dans tous les cas, il est très important de vous interroger sur votre coiffeur et votre coiffure.

Ne commettez pas les erreurs suivantes avec votre coiffure

Selon la forme de votre visage, votre silhouette, votre teint et surtout votre caractère, votre coiffeur a la tâche essentielle de vous aider à trouver votre coiffure pour correspondre à la personne que vous êtes réellement.

Vous risquez sinon de créer un malentendu. Car vos cheveux envoient toutes sortes de signaux à votre entourage.

Songez à toutes les erreurs que les gens font avec leur coiffure :

  • Tous les adolescents qui se laissent passer une mèche devant les yeux comme un rideau qui se ferme, et qui trahissent ainsi leur mal-être et leur volonté de se cacher
  • Toutes les femmes qui se font une frange qui descend très bas, signe d’une volonté de dissimulation
  • Toutes celles qui n’osent se découvrir le visage ni se mettre les cheveux en arrière, parce qu’elles sont persuadées qu’on va se moquer de leurs oreilles décollées.
  • toutes les erreurs faites sur les couleurs, également. 70 à 80 % des femmes se teignent les cheveux, se font des mèches, cherchent à changer de couleur. La plupart des blondes ne sont pas très blondes à l’origine.

Mais se teindre les cheveux est agressif : il faut d’abord les décolorer avec un détergent pour les recolorer ensuite. C’est pourquoi ces teintures sentent extrêmement mauvais.

De plus, les teintures laissent très rapidement apparaître la vraie couleur à la racine. Il faut en tenir compte, et si l’on choisit une teinture éloignée de la couleur naturelle, prévoir un budget en argent et en temps pour aller chez le coiffeur avant que le problème ne devienne trop visible.

Le cheveu et la santé

Enfin le cheveu triste, plat, rare, cassant, est un signe de mauvaise santé.

Les végétariens, les frugivores, beaucoup d’écologistes qui oublient de soigner leur chevelure envoient ainsi à leur entourage un très mauvais signal.

Les gens finissent par imaginer que c’est le mode de vie sain, bio, qui donne l’air d’être en mauvaise santé ! C’est un comble.

Bernard Thibault

L’ex-patron de la CGT Bernard Thibault a beau se faire des mèches, ses cheveux plats lui donnent l’air d’être en très mauvaise santé.

Trucs naturels pour avoir de beaux cheveux

Au-delà du choix de votre coiffure (sujet sur lequel je ne peux en dire plus, c’est à chacun de réfléchir et de faire ses choix, avec le bon coiffeur), je peux donner des indications générales pour avoir de plus beaux cheveux.

Vous pouvez :

  • Vous rincer les cheveux au vinaigre de pomme
  • Vous passer de l’huile de coco dans les cheveux
  • Prendre du sélénium et du zinc

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

PS : Encore une fois, je ne saurais trop insister sur l’importance du choix de votre coiffure.

Repensez à Scarlett Johansson, sur les photos. Elle n’aurait pas été la même personne, elle n’aurait pas eu la même vie si elle n’avait découvert le pouvoir incroyable d’une coiffure bien adaptée à son physique et à sa personnalité.

Pensez à elle, et faites comme elle !

Ne vous dites pas : « je ne peux pas ». Ce n’est pas vrai. Si vous regardez attentivement la première photo, vous voyez qu’elle aurait très bien pu ne jamais devenir célèbre pour sa beauté.

Jean-Marc Dupuis



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Nous sommes tous des malades qui marchent. En tous cas, c'est ce que l'on veut nous faire croire. Tout est mis en place pour que les tests de plus en plus performants découvrent qu'il faut vous traiter. Nos instances semblent oublier que le temps qui...

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À quand remonte votre dernier baiser passionné ?

Cela ne me regarde pas bien sûr, et je ne vous demande pas de me répondre.

Mais savez-vous que, selon une étude allemande, les hommes qui embrassent leur femme le matin avant de partir au travail vivent cinq ans de plus que les autres ?

En route vers leur travail, ils ont 20 à 30 % de risques en moins d’avoir un accident [1] !

Essentiel pour la transmission des bonnes bactéries

Il faut s’embrasser, bien, et longuement. Selon une étude hollandaise publiée dans Microbiome, un baiser sur la bouche de 10 secondes transmet 80 millions de microbes [2].

Deux amoureux qui s’embrassent régulièrement partagent la même flore bactérienne au bout de cinq jours seulement.

S’embrasser sur la bouche, mais aussi le baiser de la mère à son enfant, est un moyen important de se transmettre les bactéries protectrices (probiotiques) qui ont un rôle capital pour l’immunité.

Où sont passés les « amoureux des bancs publics » ?

Quand j’étais petit, je me souviens de ma fascination pour « les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics » que chantait Brassens. Je les voyais surtout dans les rues, sur le quai des gares.

Je me rappelle l’émoi que cela me provoquait ; cette impression vécue d’une caresse très douce et très forte, qui me faisait envie tout en me gênant beaucoup.

Est-ce moi qui ai changé ? Ai-je des soucis qui me rendent indifférent à ce qui se passe autour de moi quand je me promène ? Ou est-ce le monde qui a changé ?

Toujours est-il que je n’ai plus l’impression de voir autant d’amoureux qu’autrefois.

Oui, on voit toujours beaucoup de couples. Mais il me semble qu’ils sont moins souvent main dans la main, ou bras-dessus bras-dessous (qui utilise encore cette expression d’ailleurs ?). Et il me semble que je vois plus rarement des amoureux s’embrassant à pleine bouche.

Parmi les personnes de ma génération, il est évident que même les gestes de simple tendresse sont de plus en plus épisodiques.

Et pourtant, que c’est important un baiser !

On s’abandonne à l’autre, on se sent unique ; le plaisir, l’érotisme et l’excitation sont à leur comble. D’ailleurs, le baiser a une importance immense pour la vie. C’est le premier baiser qui donne la certitude d’aimer et d’être aimé par l’autre, d’avoir trouvé la bonne personne.

C’est là que se crée l’alchimie toute particulière entre deux êtres, qui peut-être les déterminera à s’engager pour toute la vie l’un envers l’autre.

N’ayez plus peur de (faire) l’amour !

Depuis bientôt 30 ans, d’intenses campagnes d’information martèlent les dangers des maladies sexuellement transmissibles et en particulier du Sida.

Dès le plus jeune âge, nos enfants sont soumis à ce discours anxiogène. À tel point que, sentant le désir monter en eux, la principale idée qui les obnubile est : « Horreur, il (elle) va peut-être me transmettre le Sida ! »

De même, une femme qui vient de s’apercevoir qu’elle est enceinte et qui arrive à l’hôpital pour sa première visite, laquelle devrait être un pur moment de joie, se voit en priorité proposer un test de dépistage du Sida. « Oui, chère Madame, sans doute n’avez-vous rien fait pour attraper le Sida, mais on ne peut jamais savoir, peut-être votre partenaire, juste un soir, etc. »

Je ne sais pas quel est le but de tout cela, à part répandre la suspicion et la paranoïa.

Car sur le plan médical, cette psychose collective sur l’air du « tous concernés, tous menacés » n’est pas honnête.

Attention, les chiffres que je vais vous révéler ne sont jamais communiqués au grand public en toute transparence. Pour les avoir cités ci-dessous, je risque d’être accusé d’une communication irresponsable qui encourage la prise de risques.

Ce n’est évidemment pas le cas, vous le savez bien. Ne prenez jamais de risques.

Par contre, vous êtes adulte et vous avez le droit de savoir. D’ailleurs, si ces chiffres sont rigoureusement cachés au public français, il n’en va pas de même outre-Atlantique où ils figurent sur le site officiel de l’Agence de la santé publique du Canada.

Voici donc les chiffres réels sur le risque de transmission du VIH.

Lors d’une relation vaginale où l’un des deux partenaires est porteur du VIH :

  •  La femme a un risque d’infection de 0,08 % à 0,19 %. Cela signifie : environ 1 possibilité sur 1000 d’être contaminée.
  • L’homme a un risque d’infection de 0,05 % à 0,1 %. Soit environ 1 possibilité sur 1500.

Ce qui est très loin des « une chance deux », ou « deux chances sur trois » qu’imaginent la plupart des gens qui se croient « informés » par des campagnes qui tiennent surtout de la propagande jouant sur les peurs.

Encore une fois, mon message n’est pas de vous pousser à prendre des risques.

Mon message, c’est qu’il est disproportionné et triste de laisser le spectre du Sida s’interposer entre tous les amoureux. Sur le plan médical, ce n’est pas justifié. Sur le plan humain, c’est catastrophique.

Il ne faut pas avoir peur de faire l’amour avec une personne qu’on aime vraiment.

Croisade contre le pyjama

Et pour continuer sur le sujet, connaissez-vous la sexologue Thérèse Hargot qui mène carrément une croisade contre le pyjama [3] ?

« Que cachent en réalité les pyjamas comme rancœurs, malaises, blessures, culpabilités, vengeance… ?

Hein, hein…

Allez, munissez-vous d’un bon sac poubelle et videz vos placards de ces « tue-l’amour ». En cas de résistance majeure, une bonne grosse discussion s’impose pour lever le voile sur ce que les vêtements portés la nuit espèrent cacher à l’autre ! »

Et au-delà des bienfaits pour le couple, cette pratique a de nombreux avantages pour la santé.

Elle permet de maigrir, puisqu’on brûle plus de calories pour se réchauffer.

Elle combat les infections, car le corps respire mieux ; il y a moins de risques de champignons dans les zones chaudes et humides du corps.

De plus, et c’est un avantage considérable, dormir nu et en couple augmente l’envie et les chances de faire l’amour, ce qui favorise le sommeil et accroît le bien-être et l’attachement.

Sentir le corps de l’autre, s’y coller, se toucher sans fausse pudeur augmente naturellement la libido.

Tant il est vrai qu’une vie amoureuse active, riche, sauvage même, avec la personne qu’on aime est fondamentale pour le bien-être et la santé.

C’est ce qui explique que « les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics ont des petites gueules bien sympathiques » !

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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Natural Health Advisory

Natural Health 101

diverticulitisNo one who has ever suffered from diverticulitis is lucky, but some people are able to get through the intense attack of lower abdominal pain relatively unscathed. The unlucky patients have a different story, one that can include complications, hospitalization, surgery, or chronic disease that will have an ongoing effect. Fortunately, natural medicine can help prevent and treat this painful disease.

Associated with the modern Western diet and lifestyle, diverticular disease is the most common disease of the colon in the Western world.1 While it is most prevalent in people over the age of 50 in the United States and Europe, it is beginning to affect more people worldwide, at younger ages.2

What causes diverticulitis?

Traditionally, diverticular disease was thought to occur because of straining and/or constipation due to hard stools related to low-fiber diets, but this theory has not been supported by at least three out of four recent studies.6-9 Whether low-fiber diets, constipation, and straining are a main cause of diverticular disease or not remains to be seen.

Meanwhile, researchers have discovered that altered intestinal ­bacteria (dysbiosis) and chronic, low-grade inflammation underlie many cases of diverticular disease.10

Additional factors that increase the risk of developing of diverticular disease include age, obesity, smoking, sedentary lifestyle, alcohol, and use of NSAIDs.

Natural diverticulitis treatments

Fiber: Despite the lingering questions about how fiber relates to diverticular disease, increasing fiber intake to at least 30 grams a day is highly recommended to prevent diverticulitis. Fiber increases the bulkiness and softness of stool, leading to less pressure in the colon, and it keeps our diverse gut bacterial populations thriving and in balance. There is growing evidence that diverticular disease results from a breakdown of the very intimate and mutually supportive relationship between dietary fiber and gut bacteria.

Fiber acts as fuel for “friendly” bacteria. Furthermore, as fiber is digested by bacteria in the colon, its breakdown can provide the short-chain fatty acids (SCFAs) that cells of the colon wall use as fuel.

How to get enough fiber. The best way to ensure you’re getting enough of a wide variety of fibers is to eat a diet of whole, natural foods from vegetables, fruits, beans and legumes, nuts and seeds, and whole grains. Fruit and whole grains appear to be particularly effective fiber sources—so include these if you tolerate them. You may want to also take a fiber supplement such as psyllium, glucomannan, oat bran, chia seeds, or ground flaxseeds.

During an active diverticulitis attack, however; you may want to avoid grains, legumes, nuts, seeds, and popcorn, while switching to a diet that includes lots of soft, soothing, fiber-rich fruits and vegetables, including beets, peeled potatoes, applesauce, bananas, baked squash, cantaloupe, and sea vegetables. Once the episode is under control, gradually start adding in more plant fibers.

Probiotics. Improving gut bacterial balance with ­probiotics is crucial for preventing the recurrence of diverticulitis and for decreasing symptoms of abdominal pain and bloating. Even many conventional gastroenterologists are now recommending probiotics to their diverticulitis patients, given the evidence for their effectiveness and safety.11

In one of the most recent double-blind studies, patients with symptomatic uncomplicated diverticular disease (not currently experiencing acute diverticulitis) experienced the same relief from a probiotic supplement as they did from mesalazine (an anti-inflammatory drug that acts locally in the gut and has its predominant actions there), although the combination of the two worked even better.12

Both Lactobacillus casei (subsp. DG), administered as a single sachet containing 24 billion CFUs/day for 10 days/month, and mesalazine, administered at a dose of 1600 mg/day for 10 days/month, prevented the recurrence of symptoms. After one year, approximately 14% in each of the probiotic and mesalamine groups experienced a recurrence of symptoms, compared to 46% of those in the placebo, and 0% in the combination group.

Another study in a similar population of patients with diverticular disease (but without current acute diverticulitis) found that a probiotic containing Lactobacillus paracasei B21060 (5 billion CFUs/day) combined with a high fiber diet (at least 30 grams of fiber daily) decreased abdominal pain and bloating.13

The high-fiber diet alone reduced short-lasting abdominal pain after six months of treatment. When combined with the probiotic, it was effective in only three months.
Furthermore, the combination was significantly more effective for decreasing episodes of prolonged (greater than 24 hours) abdominal pain. Finally, abdominal bloating significantly improved only with the probiotic, while a high-fiber diet alone had no beneficial effect.

How to get your probiotics. Try to consume at least some of your probiotics from your food in the form of kefir, kombucha, kimchi, and other fermented foods. In addition, supplement regularly with a probiotic supplement, preferably one containing Lactobacillus casei or paracasei (5 to 25 billion CFUs/day) to mimic the genus and species used in clinical studies.

Vitamin D. Diverticulitis is more likely to occur during the darker seasons of the year and in people who live far from the equator—important determinants of low vitamin D levels.14

Vitamin D plays an important role in maintaining homeostasis within the colon—controlling inflammation and keeping the gut’s mucosal lining healthy and intact. People with low vitamin D levels have been found to be more likely to develop diverticulitis and complications of diverticulitis.15

Only a blood test can show if your levels of 25-hydroxyvitamin D are optimal. Most integrative health experts believe that approximately 50 ng/mL is ideal.

A typical dose to achieve this target is 5,000 IU of vitamin D3 daily. Take ­vitamin D with a meal for better absorption.

Summary

If you have experienced an acute diverticulitis attack and want to prevent another one, or if you have ongoing problems with chronic diverticulitis, try these steps:

  • Take a daily probiotic supplement containing Lactobacillus casei or paracasei, at a dose of 5 to 25 billion CFUs per day.
  • Increase your dietary fiber intake by eating a whole foods-based diet containing an abundance of plant foods, including fruits, vegetables, whole grains, nuts, seeds, and legumes.
  • Optimize your vitamin D levels optimal by getting your blood levels of 25-hydroxyvitamin D checked and taking a vitamin D3 supplement at a dose of around 5,000 IUs per day to reach a level of around 50 ng/mL.

1. Best Pract Res Clin Gastroenterol. 2002 Aug;16(4):529-42.
2. Am J Gastroenterol. 2015 Nov;110(11):1589-96.
3. Clin Gastroenterol. 1975 Jan;4(1):3-21.
4. Can J Gastroenterol. 2007 Feb;21(2):97-9.
5. Clin Gastroenterol Hepatol. 2013 Dec;11(12):1609-13.
6. Clin Gastroenterol Hepatol. 2013 Dec;11(12):1622-7.
7. J Gastroenterol Hepatol. 2015 Aug;30(8):1252-9.
8. Neurogastroenterol Motil. 2015 Mar;27(3):333-8.
9. Gut. 2014 Sep; 63(9): 1450–1456.
10. Am J Gastroenterol. 2012 Oct;107(10):1486-93.
11. Debunking Myths About Diverticular Disease. Medscape. Apr 07, 2014.
12. Aliment Pharmacol Ther. 2013 Oct;38(7):741-51.
13. World J Gastroenterol. 2012 Nov 7; 18(41):5918–5924.
14. JAMA Surg. 2015 Jan;150(1):74-7.
15. Clin Gastroenterol Hepatol. 2013 Dec;11(12):1631-5.

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Natural Health 101

mediterranean dietThe Mediterranean diet, centered around fruits, vegetables, olive oil, nuts, legumes, and whole grains, is good for everything from your brain to your bones. Learn how to use a Mediterranean diet to prevent cognitive decline, heart disease, depression, and even cancer.

What is a Mediterranean diet?

The Mediterranean diet is focused on a small group of staple foods, which include:

  • Vegetables
  • Fruits
  • Healthy fats (especially olive oil)
  • Nuts and seeds
  • Legumes
  • Unrefined whole grains
  • Fish

The many benefits of following the Mediterranean diet

People who eat a Mediterranean diet tend to experience significant health benefits, ranging from reduced blood sugar to better memory. The following are some of the top uses of the Mediterranean diet:

Preserve memory and prevent cognitive decline. Full of healthy fats for the brain, the Mediterranean diet can be good for boosting brain power and preventing dementia and cognitive decline.1 In one study, researchers found that high adherence to a Mediterranean diet was associated with a 40% reduced risk for cognitive impairment.2

Reduce your risk for heart disease. Studies show that following a Mediterranean diet can greatly reduce your risk for cardiovascular disease, including coronary heart disease, myocardial infarction (heart attack), and stroke.3

This is likely due to the Mediterranean diet’s positive effects on cardiovascular risk factors, including high blood pressure, triglycerides, and cholesterol.4-7

Strengthen bones. One study suggests that certain compounds in olive oil may help preserve bone density by increasing the proliferation and maturation of bone cells.8 Another study found that dietary patterns associated with the Mediterranean diet may help to prevent osteoporosis.9

Manage diabetes and control blood sugar. The Mediterranean diet has proven beneficial effects for diabetes.10 It might be able to prevent type 2 diabetes and can help improve blood sugar control and cardiovascular risk in those who already have it.11

When the Mediterranean diet was compared to a low-fat diet, people with type 2 diabetes who followed the Mediterranean diet did much better; fewer people needed treatment, and they experienced greater weight loss and better blood sugar control.12

Fight depression. People who follow the Mediterranean diet may be protected against depression, too.2,13,14 A 2013 study found that people who followed a Mediterranean diet most closely had a 98.6% lower risk of developing depression than people who followed it the least closely.13

Protect against cancer. Higher adherence to a Mediterranean diet may help fight off cancer. A systematic review of studies found that overall, people who adhere to the diet the most have a 13% lower rate of cancer mortality compared to those who adhere the least.15 Specific cancers protected against include breast, colorectal, gastric, prostate, liver, and head and neck.15,16

Mediterranean diet tips

On a Mediterranean diet, you should be eating fruits, vegetables, and healthy fats like olive oil multiple times per day; legumes and unrefined whole grains at least once a day; and fish, nuts, and seeds multiple times per week. Saturated fats and refined sugars should be limited to special occasions only.

For more information, read Mediterranean Diet Meal Plan and Recipes, where you will find detailed instructions on what and how much of it to eat, as well as a diet calendar and a recipe for homemade veggie pizza.

Our recipes for an almond meal crusted fish, balsamic-seasoned cauliflower, and sautéed green beans can help get you started.

january 16 recipe 1

january 16 recipe 2

january 16 recipe 3


1. Ageing Res Rev. 2015 Nov 2. pii: S1568-1637­(15)
30030-1
2. Ann Neurol. 2013 Oct;74(4):580-91.
3. Crit Rev Food Sci Nutr. 2015 Nov 3:0. [Epub ahead of print]
4. Eur J Nutr. 2015 Oct 8. [Epub ahead of print]
5. BMC Med. 2013 Sep 19;11:207.
6. Rev Esp Cardiol (Engl Ed). 2015 Apr;68(4):290-7.
7. Am J Physiol Endocrinol Metab. 2015 Sep 1;309(5):E440-9.
8. Int J Food Sci Nutr. 2014 Nov;65(7):834-40.
9. Int J Food Sci Nutr. 2013 Mar;64(2):155-61.
10. BMJ Open. 2015 Aug 10;5(8):e008222.
11. Diabetes Res Clin Pract. 2010 Aug;89(2):97-102.
12. Ann Intern Med. 2009 Sep 1;151(5):306-14.
13. J Nutr Health Aging. 2013;17(5):441-5.
14. BMC Med. 2013 Sep 20;11:208.
15. Cancer Med. 2015 Oct 16. [Epub ahead of print]
16. JAMA Intern Med. 2015 Nov 1;175(11):1752-60.

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Natural Health 101

gut microbiomeSomething astonishing has been happening in medicine that is completely changing how we view health and disease. Today’s understanding of the microscopic life inside our gut—the microbiome—has profound implications for managing not only our digestive health, but also that of the entire body and mind.4

The microbiome is the richly diverse community of bacteria that each and every one of us carries in and on our bodies.

Your microbiome is unique to you. It contains ten times more cells and 100 times more genes than you have in your whole body, and it accounts for three to six pounds of your total weight.

Your microbiome doesn’t just sit there, doing nothing. It performs many vital jobs in the body, talks to the brain, and even influences your behavior.2,3 In fact, the microbiome is essentially a newly discovered organ in the human body.

Perhaps most important is the fact that you can change your microbiome, and thus your physical and mental health, through diet, lifestyle, and natural medicine.

Diseases linked to alterations in the microbiome

When your healthy, balanced microbiome gets significantly disrupted or impaired, you have what is referred to as dysbiosis. Although there is still no standard ­definition of this term, a number of seemingly random diseases are directly linked to dysbiosis. For example, alterations in the microbiome are clearly associated with:

  • Irritable bowel syndrome (IBS)8
  • Asthma9
  • Food allergies10
  • Inflammatory bowel disease (IBD), ulcerative colitis, Crohn’s disease11
  • Obesity1
  • Type 2 diabetes12
  • Metabolic syndrome13
  • Atherosclerosis14
  • Liver diseases: non-alcoholic fatty liver disease (NAFLD), alcoholic liver disease, primary sclerosing cholangitis (PSC), primary biliary cirrhosis (PBC), autoimmune hepatitis1
  • Autism15
  • Celiac disease16
  • Parkinson’s disease17
  • Cancer18
  • Depression19
  • Schizophrenia20
  • Autoimmune diseases21

The clear implication for anyone ­suffering from one of these disorders (and probably from many other illnesses) is to carefully examine the possibility of poor gut health being an unsuspected underlying cause. This discovery could very well lead to the corrective action needed to restore health: optimizing the gut microbiome. We’ll discuss just how to do that in this article.

Examining the microbiome

Because of very recent scientific developments in genetics, we are finally able to identify and quantify the microorganisms that live within our gastrointestinal systems. New gene-based tests have determined that there are over 1,000 species of microorganisms and that 150 to 170 predominate in a given person.

We’re beginning to understand what makes up a healthy gut microbiome in terms of these species, their numbers, and their relationships to one another. In general, a high diversity and total number of gut microorganisms is associated with relatively good health, while low diversity has been associated with states of disease or chronic dysfunction. Some species of microorganisms are very important because of their specific, unique functions. Even those organisms that are typically present in smaller numbers in the healthy gut microbiome have considerable potential to influence our health.22,23

How to have your microbiome tested

To get detailed information on your own microbiome, you can order a test kit yourself through uBiome or American Gut, or your doctor can order testing through functional/integrative laboratories such as Genova Diagnostics. These tests allow you to compare the microbes in your gut to those in the guts of other people. They can provide information about the diversity and abundance of microbes, but the tests do not diagnose disease. Monitoring your microbiome over time also provides insight into the impact of medications, supplements, diet, and lifestyle interventions on your current and future health.

Some labs also test for important compounds that your gut microorganisms produce. For instance, many labs measure short-chain fatty acids (SCFAs), which are created when certain gut microorganisms ferment fiber for fuel. SCFAs are the primary form of nourishment for cells of the colon wall and are thus crucial for gut health.

How to eat to improve the health of your microbiome

Dietary changes are the primary treatment for optimizing your microbiome. The Western dietary pattern, characterized as high in fat, sugar, red meat, and processed/refined foods, has been associated in numerous studies with a microbiome more geared towards obesity, inflammation, and other less desirable consequences.

In contrast, diets higher in fiber, fruits, and vegetables have been associated with more favorable microbial communities.

  • Eat more fiber, fruits and vegetables/less sugar and processed foods. The way to most profoundly alter your microbiome, therefore, appears to be to lower your intake of refined, processed, sugar- and fat-laden foods while simultaneously increasing your intake of fruits and vegetables. ­Indigestible carbohydrates (fiber) are the main food for gut microbes. All plant foods—fruits, vegetables, nuts, seeds, legumes, and whole grains—contain beneficial fiber. Always introduce high-fiber foods gradually to avoid exacerbation of GI symptoms.
  • Eat more high-polyphenol foods. Polyphenols improve the gut microbiota by increasing the relative abundance of friendly species such as bifidobacteria and lactobacilli.1 The gut microbiota, in turn, plays a critical role in transforming polyphenols into absorbable, biologically active species that perform health-promoting functions.1 Include plenty of polyphenol-rich berries, cocoa, tea, and red wine in your diet.
  • Eat seaweed and fermented foods. Seaweeds, such as nori, can significantly alter the gut microbiota.5 ­Fermented foods, such as kefir, sauerkraut, and kimchi, can increase the beneficial lactic acid bacteria in the gut and should also be eaten regularly.23

Supplements that benefit the gut

To promote and sustain beneficial gut microbes, consider taking probiotics (especially Lactobacillus and Bifido­bacteria). Probiotics are all unique living organisms and their health-promoting traits may be strain-specific. While the research is in its infancy, some specific strains have been studied and found to be effective for certain populations:24

For IBS, VSL#3 (an 8-strain combination of Lactobacillus, Bifidobacterium and Streptococcus) and Bifido­bacterium infantis 35624 (used in Proctor and Gamble’s Align), have both been found to be beneficial.

  • For cholesterol lowering, Lacto­bacillus reuteri NCIMB 30242 (sold as Cardio­viva) appears effective.
  • For obesity, 100 billion cells of Lacto­bacillus gasseri SBT2055 (specific strain not available in US) reduced visceral and abdominal fat.
  • For colds and acute respiratory infections, Lactobacillus plantarum HEAL9 and Lactobacillus paracasei 8700:2 (found in Metagenics Ultra Flora Immune Booster) has been found effective.
  • For anxiety and depression, the combination of Bifidobacterium longum R0175 and Lactobacillus helveticus R0052, sold by Jamieson as Probiotic Sticks, is beneficial.

Prebiotics

Prebiotics are a specific type of dietary fiber that increases the relative abundance of beneficial bacteria, such as bifidobacteria, or certain bacteria that produce SCFAs such as butyrate. In animal studies, supplementation with prebiotics prevents or treats many diseases, including inflammatory bowel disease, IBS, colon cancer, obesity, type 2 diabetes, and cardiovascular disease.1

The most-studied prebiotic supplements include:

  • Psyllium
  • Oat bran
  • Oligofructose
  • Fructooligosaccharide (FOS)
  • Inulin
  • Beta-glucan
  • Arabinogalactan

Take as directed on the label, starting with a low dose and slowly working up to the full recommended dose.

Summary

Studies have linked the microbiome to human mood and behavior, as well as gut health, metabolic disorders, and many other chronic diseases.

All people can improve their microbiome by eating a whole-foods diet that includes plenty of prebiotics and probiotics.

For a more individualized approach, your doctor can order testing for you or you can self test through uBiome or American Gut.

If you self test, be sure to share your results with a naturopathic or functional medicine practitioner who is experienced in interpreting the tests and can help lead to a diagnosis and/or provide information on diet, lifestyle, supplements, and other natural strategies that are targeted specifically to you.


1. Gut. 2015 Sep 2. pii: gutjnl-2015-309990.
2. Clin Sci (Lond). 2015 Dec;129(12):1083-96.
3. Int J Neuropsychopharmacol. 2015 Oct 4. pii: pyv114.
4. The Naturopathic Approach to Digestive Disorders. AANP. Nov 1, 2012.
5. World J Gastroenterol. 2015 Aug 7; 21(29): 8787–8803.
6. Nutrients. 2015 Apr; 7(4): 2839–2849.
7. Eur J Nutr. 2015; 54(3): 325–341.
8. J Clin Gastroenterol. 2015 Nov-Dec;49 Suppl 1:S56-9.
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10. Pediatr Clin North Am. 2015 Dec;62(6):1479-92.
11. Diabetes Metab J. 2015 Jun; 39(3): 198–203.
12. Nutr Clin Pract. 2015 Dec;30(6):760-79.
13. Front Physiol. 2015; 6: 341.
14. Nat Commun. 2012;3:1245.
15. Drug Metab Dispos. 2015 Oct;43(10):1557-71.
16. Nutrients. 2015;7(8):6900-6923.
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20. Prog Neuropsychopharmacol Biol Psychiatry. 2015 Jan 2;56:155-60.
21. Gut. 2015 Feb;64(2):332-41.
22. Appl Environ Microbiol. 2015 Jun; 81(11): 3655–3662.
23. Microb Ecol Health Dis. 2015; 26: 10.3402/mehd.v26.26164.
24. ConsumerLab.com. Product Review: Probiotics. Updated November 7, 2015.

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Natural Health 101

migrainesMigraine is one of the top 20 most debilitating disorders in developed countries. It is caused by a complicated interplay between predisposing genetic variants and environmental factors.

More than head pain

The symptoms, incidence, and severity of migraine disease vary by individual. Some people have no head pain at all.

A typical migraine attack consists of four phases:

  1. Prodrome. Symptoms including emotional changes, urinary frequency, fluid retention, and stiff neck may start up to 48 hours prior to the migraine.
  2. Aura. Approximately 25% of patients experience an aura prior to the headache that lasts less than an hour.
  3. Headache. The headache phase generally builds in intensity, is experienced on one side of the head in 60% of patients, and is often throbbing, with sensitivity to light, noise, odors, and movement. Nausea, vomiting, blurred vision and cognitive impairment may be present.
  4. Postdrome. After the pain resolves, fatigue, irritability, or euphoria may last a day or longer.

Migraine triggers are common

People suffering from migraines tend to have recurring attacks triggered by foods, hormonal changes (female hormonal cycles, hormone replacement, oral contraception), and/or stress (emotional, physical/excessive exercise, fasting/hypoglycemia, sleep deprivation). Migraine may also be precipitated by let-down from stress (relaxation after stress), irregular sleep patterns, odors, weather changes, and exposure to bright light.

Different migraine sufferers respond to different triggers.

How migraines are diagnosed

Diagnosis of a migraine headache is based on the history of symptoms, physical examination, and, sometimes, neurological (nerve) tests to rule out other conditions.

Conventional migraine treatment

The current standard migraine treatments involve acute and preventive therapy with pharmaceuticals. Patients with frequent attacks usually require both.For acute treatment, drugs called triptans are usually prescribed. For migraine prevention, beta blockers and anticonvulsants are commonly used. All of these medications are associated with side effects that are beyond the scope of this article.

How to heal migraines naturally

Most natural and integrative doctors will attest that you can heal your migraines by eliminating trigger foods and taking high-quality supplements. Lifestyle changes, such as sleep hygiene, regular exercise and stress management, are often beneficial as well.

A headache diary is invaluable for identifying triggers, determining patterns, assessing headache frequency and monitoring the response to treatment.

Eliminating trigger foods

Getting trigger foods out of your diet is usually the fastest route to ridding yourself of migraines.

It is highly beneficial to undertake a systematic “elimination and challenge” diet. An integrative physician can guide you through the process or you can do it yourself.

For at least two weeks, and preferably longer, eliminate all foods containing gluten, dairy, eggs, yeast, corn, sugar, citrus, coffee (if you are a regular caffeine drinker, gradually reduce your caffeine intake over a two-week period PRIOR to embarking on the elimination diet), chocolate, alcohol, food additives (MSG, nitrates and nitrites), aspartame and other sweeteners, and sulfites (found in wine, salad bars, dried fruits).

After at least two weeks of strict elimination, challenge each food individually by eating a normal-sized serving of food containing that ingredient twice in one day, followed by two days of paying close attention to your symptoms. If any ingredients you test appear to trigger a migraine, eliminate it from your diet. Wait for your migraine attack to fully pass, and then resume challenging additional foods until you’ve made it through the entire list.

An alternative option is to undergo IgG food allergy testing to identify potential trigger foods. You can then base your elimination diet on your test results.

Natural migraine relief

High-quality nutritional supplements and botanical extracts can prevent and treat migraines. Here are the top 5.

CoQ10, Magnesium, Riboflavin

One of the main underlying causes of migraine is mitochondrial dysfunction within the brain, which makes neurons hyper-excitable and hyper-responsive to triggers.

CoQ10, riboflavin (vitamin B2), and magnesium are three key nutrients involved in brain mitochondrial function and studies show that supplementing with high doses of these nutrients can help to overcome mitochondrial impairment, improving brain energy metabolism and ultimately reducing migraine attacks.3

The recommended dosages are:

  • Riboflavin: 400 mg once a day
  • CoQ10: 100 mg two to three times a day, preferably a form of CoQ10 with superior bioavailability, such as QBest by Thorne Research
  • Magnesium (as citrate, malate, aspartate, taurate, or amino acid chelate): Dose as high as you can tolerate.

Feverfew Extract

Feverfew has been used as a pain reliever and fever reducer for centuries.4 Numerous animal and test tube studies have found feverfew to have pain-relieving and anti-inflammatory effects. A constituent in feverfew called parthenolide is likely primarily responsible for these actions.5

The results of human studies are mixed, but the most recent study found that a standardized feverfew extract reduced migraine frequency from 4.8 to 2.9 per month.6

The studies do not clearly suggest an optimal type or dosage, but feverfew is considered safe and is widely reported to be helpful. Try a supplement that combines dried feverfew leaf powder and standardized extract, such as Nature’s Way Feverfew Standardized or NOW® Feverfew. Take one capsule (around 300 mg combined leaf powder and standardized extract), three times daily.

For acute migraine attacks, a sublingual feverfew supplement called LipiGesic™ M was found to significantly relieve migraine pain in 64% of patients who were instructed to use it as early as possible in the attack.8

Butterbur Extract

Clinical studies have validated the efficacy of butterbur (Petasites hybridus) for preventing migraines.9,10

The American Academy of Neurology and the American Headache Society state: “Petasites (butterbur) is effective for migraine prevention and should be offered to patients with migraine to reduce the frequency and severity of migraine attacks.”11

The safest way to take butterbur extract is to take 50 mg of Petadolex® butterbur extract three times daily for one month and then decrease to 50 mg twice daily for up to four months for migraine prevention.

Petadolex is verified to be free of alkaloids that can damage the liver, but the long-term safety of butterbur extract is controversial.12,13 For these reasons, do not purchase other brands of butterbur and do not take any butterbur extracts, even Petadolex, if you have liver disease or are pregnant or breastfeeding.

Other important strategies

Eat regularly scheduled meals. Food deprivation and hypoglycemia can trigger migraines. Make sure you are eating enough during the day, including a nutrient-dense breakfast. Try eating a light snack one hour before bed to stabilize your blood sugar.

Sleep consistency. Lack of consistent sleep is another common trigger, especially sleeping in. Go to bed before 10 PM and minimize or eliminate screen time for at least 2 hours before bedtime.
Stress reduction/relaxation therapy. Epsom salts baths are fantastic for both stress relief and as a source of magnesium. Both of these are effective for reducing migraines. Deep breathing and meditation are phenomenal for stress relief.

Getting started

You can overcome migraines by identifying and eliminating your trigger foods, taking brain nutrients, and using herbal medicines. Feel free to try any of the above recommendations separately or in combination.


1. Headache. 2013 Mar;53(3):427-36.
2. Headache. 1999 Jul-Aug;39(7):494-501.
3. Neurology. 1998 Feb;50(2):466-70.
4. Pharmacogn Rev. 2011 Jan-Jun; 5(9): 103–110.
5. Pain. 2013 Dec;154(12):2750-8.
6. Cephalalgia. 2005 Nov;25(11):1031-41.
7. Cochrane Database Syst Rev. 2015 Apr 20;4:CD002286.
8. Headache. 2011 Jul-Aug;51(7):1078-86.
9. Altern Med Rev. 2001 Jun;6(3):303-10.
10. Neurology 2004 Dec 28;63(12):2240-2244.
11. Neurology. 2013 Feb 26;80(9):868.
12. Botanics: Targets and Therapy. 2014;4:1-9.
13. NCCIH Publication No.:D464. 2012 Apr.

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Natural Health 101

citrusI eagerly await the arrival of satsuma oranges to the grocery store each winter. They remind me of cold, rainy northwest days; visits to my grandma’s house; and Christmas morning with my family.

While winter produce can be a bit drab at times, something you can always find this season are fresh, delicious citrus fruits. From oranges to grapefruits, these tasty wintertime treats also pack a healthy punch; they’re great for your heart, protect against cancer, and more.

Vitamins, minerals, and more

Citrus fruits are best known for their high vitamin C content. Vitamin C is a potent antioxidant; by fighting oxidative damage, it can help protect against a variety of conditions including heart disease, cancer, and dementia.

And while vitamin C is certainly important in terms of the health benefits of citrus, these fruits also contain folate, vitamin B6, vitamin A, potassium, magnesium, calcium, fiber, and flavonols, all of which are also very important for promoting good overall health.1

Citrus fruits: a heart healthy food

Researchers analyzed data from over 30,000 women and found that women who had the highest intake of citrus fruits and citrus juice had half the risk of fatal cardiovascular disease compared to people who didn’t eat any citrus.2 High citrus consumption was even more strongly associated with reduced risk for stroke.

An earlier study in both men and women found similar results, with citrus intake protecting against cardiovascular disease, and stroke in particular.3 Several studies have found citrus fruits like grapefruit and orange to lower triglycerides, cholesterol, blood pressure, and more.4-7

These effects may be in large part due to the flavonol content and antioxidant activity of citrus fruits. One study found that people who supplemented with 270 mg citrus flavonoids and 30 mg tocotrienols (vitamin E) had 20% to 30% reductions in total cholesterol, 19% to 27% reductions in LDL cholesterol, and 24% to 34% reductions in triglyceride levels.8

Vitamin C is certainly important when it comes to heart health; a recent study found that people with higher levels of vitamin C in their blood had significantly lower risk of heart disease and mortality.9 And eating more citrus fruits is definitely an effective way to boost your vitamin C intake for a healthy heart.

Citrus fruits fight cancer, too

Citrus fruits have been shown to protect against a variety cancer forms, including those of the digestive tract and larynx.10,11

Researchers suggest that along with the antioxidant properties of vitamin C (which fight oxidative damage, known to play a role in cancer development), citrus fruits contain other cancer-fighting tools, as well. Some of the other nutrients presumed to be involved in cancer prevention include folate, dietary fiber, carotenoids, limonoids, and flavonoids.11

Citrus fruits may also have benefits for diabetes, bone health, cognitive function, skin health, and metabolic syndrome.12-16

Incorporating citrus into your winter diet

As winter settles in, don’t let your diet become bland and boring. Use citrus fruits to add tangy flavor and zesty aromas to your food.

Eating the whole fruit is a great way to get all the nutrients out of these fruits, preserving all the fiber content as well. Plus, throwing something like an orange into your lunch couldn’t be more convenient for a mid-day serving of fresh fruit. Find satsumas, clementines, or other easy-to-peel fruits for your kids’ lunches.

You can also add 100% juice to your cooking, along with zest of these flavorful fruits. Try our recipes for broiled grapefruit and citrus-glazed chicken to get started.

december 15 recipe 1

december 15 recipe 2


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