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Le cancérologue Daniel Serin brise la loi du silence

Chère lectrice, cher lecteur,

« Les coupeurs de feu, ça marche dans 80 % des cas. J’ai des tas de patientes qui y ont recours. Soit elles sont toutes folles, soit il se passe quelque chose que je ne suis pas capable d’expliquer. » [1]

C’est l’incroyable déclaration faite dans la presse par le cancérologue Daniel Serin, vice-président de l’Institut Sainte-Catherine à Avignon.

 

« Les coupeurs de feu, ça marche dans 80 % des cas », a osé déclarer publiquement le cancérologue Daniel Serin, vice-président de l’Institut Sainte-Catherine à Avignon, malgré les menaces qui pèsent sur la tête des cancérologues qui osent prendre le contrepied des idées médicales toutes faites.

Pour traiter le cancer, il utilise comme tous les cancérologues la radiothérapie. La radiothérapie consiste à tenter de détruire les cellules cancéreuses par des rayons qui les brûlent.

La radiothérapie provoque des brûlures

Le gros problème est que la radiothérapie brûle aussi, c’est inévitable, la peau et les tissus sains autour de la tumeur. Ces brûlures peuvent être très douloureuses. Elles apparaissent souvent dès la deuxième séance car, sur le coup, les rayons paraissent indolores.

Elles sont les plus fréquentes sur la peau : les femmes traitées pour le cancer du sein en font la douloureuse expérience. Mais les vomissements, diarrhées et crampes au niveau de l’estomac et de l’intestin des personnes en radiothérapie sont également provoqués par des brûlures internes, dans les intestins. Les muqueuses, en effet, sont particulièrement sensibles aux rayons.

La médecine impuissante

Que propose la médecine pour traiter ces brûlures ? Pratiquement rien. Un tube de Biaphine. Du Doliprane.

Mais chacun sait que la crème anti-brûlure marche très mal. Beaucoup de patients pensent qu’ils doivent se résigner à « attendre que ça passe », en souffrant.

Heureusement, les médecines complémentaires et alternatives offrent, elles, des solutions efficaces contre les brûlures.

Témoignages stupéfiants sur les coupeurs de feu

Selon les statistiques mondiales, 60 à 80 % des gens atteints de cancer font appel aux médecines complémentaires et alternatives ! [2]

Dans le cas des brûlures provoquées par la radiothérapie, citons la tradition bien ancrée en France des « coupeurs de feu ».

Grâce à des rituels hérités du Moyen-Âge, ces personnes apaisent les douleurs et accélèrent la cicatrisation. Elles sont 6000 à détenir ces secrets dans notre pays.

Les témoignages sont stupéfiants :

Atteinte d’un carcinome (cancer) au sein gauche en 2015, Mireille, 55 ans, commence une radiothérapie. « Tout de suite, j’ai compris que ça allait être difficile : au bout de deux semaines, à raison d’une séance par jour, j’avais la peau à vif. J’étais brûlée au niveau du sein, du cou et de l’aisselle : j’avais tellement mal que j’étais incapable d’enfiler un T-shirt. Je ne dormais plus », se souvient-elle.

Son médecin lui conseille alors de faire appel à Roger Blandignères, un coupeur de feu bien connu près de chez elle. Mireille n’y croit pas. Elle ne veut pas « faire appel à un charlatan ». Mais après quinze jours de souffrances sans issue, elle se résout à essayer, se disant qu’elle n’a « rien à perdre ».
« Il a passé sa main au-dessus de mes brûlures et j’ai ressenti une grande chaleur, comme si j’étais entrée dans un four. Ça a duré dix minutes environ. Ensuite, il s’est lavé les mains. Moi, je n’avais plus mal du tout. Ce soir-là, j’ai dormi comme un bébé ! »

 

Mireille fait quatre séances avec le coupeur de feu, en complément de sa radiothérapie. « Un mois après, j’ai pu reprendre le travail : je n’avais plus mal et presque plus de cicatrices. C’était absolument incroyable. Je pense qu’il faut se rendre à l’évidence, même quand on est sceptique : les coupeurs de feu, ça fonctionne. ». [3]

Tapez « coupeur de feu » sur Internet et vous verrez surgir d’innombrables témoignages analogues.

Le cancérologue Daniel Serin est du même avis : « Je ne comprends pas pourquoi ça marche, mais ça marche ! », explique-t-il, en encourageant ses patients à s’aider des thérapies complémentaires. [4]

Un bel exemple d’ouverture d’esprit

À la veille du jugement du Professeur Henri Joyeux, et alors que se multiplient les attaques irrationnelles contre les médecines alternatives, on ne peut qu’être touché par un tel bon sens et une telle humilité.

Puisse l’ouverture d’esprit du Dr Daniel Serin inspirer ses confrères. Que tous les médecins et thérapeutes s’unissent pour laisser leur place, légitime, aux approches complémentaires dans notre système médical. Des millions de patients leur diront merci.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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