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La peau rouge ? Ne vous cachez plus !

A moins que votre grand hobby soit de jouer aux cowboys et aux Indiens, arborer une peau rouge peut plutôt contraindre de jouer… à cache-cache.

Qu’elles soient permanentes, comme la couperose, ou localisées et chroniques, comme l’eczéma ou le psoriasis, les rougeurs de la peau sont généralement bénignes : elles ne mettent pas en danger votre santé, mais peuvent sournoisement handicaper la vie sociale.

Eh bien, ne vous cachez plus : le Dr Franck Gigon explique dans ce numéro d’août de Plantes & Bien-Être pourquoi la peau rougit… et pourquoi les plantes offrent les meilleurs remèdes naturels contre ces phénomènes :

  • La racine de rhodiole et la sauge officinale contre le flush (une rougeur faciale soudaine, fréquente à la ménopause) ; attention, il y a une précaution à prendre absolument si vous avez eu un cancer du sein.
  • Les feuilles de gingko et le mélange « spécial rosacée » (un dosage à respecter scrupuleusement) pour réduire l’érythrose (nom « sérieux » de la couperose).
  • Un véritable arsenal douceur contre l’eczéma : grande bardane, huile de nigelle, ainsi qu’une recette de drainage (radis noirs et pissenlits) indispensable pour détoxifier votre foie, vos reins et même vos intestins (puisqu’ils ne sont pas innocents dans cette affection cutanée !).
  • L’huile de pépins de raisin et l’huile essentielle d’arbre à thé à la rescousse contre la dermatite séborrhéique (si vous avez des plaques rouges qui régissent à votre niveau stress, vous êtes concerné(e) !).
  • Contre le psoriasis, ce fléau touchant jusqu’à 4 % de la population occidentale, il existe non pas une, mais deux panacées hydratantes et antiinflammatoires : le gel d’Aloe Vera et le Macérât de Millepertuis ; l’un des deux s’ingère et s’applique.

Le Dr Gigon explique avec beaucoup de pédagogie les heureux mécanismes à l’œuvre pour chacune de ces plantes, mais si vous avez peur d’être perdu(e), pas de panique : un tableau regroupe les 10 plantes utiles contre la peau rouge, vous permettant de voir en un coup d’œil l’indication pour chacune d’elles, sa forme, la posologie et les précautions à respecter (par exemple les plantes qu’il vaut mieux éviter de prendre en soirée, celles qu’il faut oublier si vous êtes sous anticoagulants, celles à impérativement acheter bio).

Egalement au sommaire de Plantes & Bien-Être, un sujet grave encore trop inconnu de nous tous :

Ce que cachent des règles douloureuses

Chez de très nombreuses femmes, les règles se transforment en un cauchemar douze fois par an.

La douleur est telle que des prises répétées de paracétamol les soulagent à peine. Elles ont fini par considérer cette torture comme inévitable et normale, et la souffrance, comme un fardeau naturel.

Or, ces femmes se trompent sur tous les plans : des règles excessivement douloureuses, ça n’est ni normal, ni naturel.

Mais surtout, elles peuvent faire quelque chose.

7 ans pour être diagnostiquée

Dans plus d’un cas sur deux, des règles douloureuses (« dysménorrhées ») sont en réalité le symptôme d’une endométriose : la muqueuse utérine « colonise » d’autres parties de l’organisme, les ovaires et/ou les trompes de Fallope… et n’est pas évacuée par les règles.

Les causes de l’endométriose sont actuellement toujours débattues par les chercheurs. Mais ses dommages, eux, sont désormais connus. Outre l’inflammation chronique qu’elle occasionne durant les règles, l’endométriose gâche la vie sexuelle de celles qui en souffrent, les rapports étant souvent douloureux.

Cette maladie gynécologique gagne du terrain de façon inquiétante : plus d’une femme sur dix en souffre… La plupart des médecins estiment ce chiffre sous-évalué.

Mais le plus inquiétant est le délai moyen entre le début de la maladie, et son diagnostic : 7 s !!! Or, souvent, il est déjà trop tard.

Pendant tout ce temps, l’endométriose a eu le temps de faire des dégâts. Parmi les plus courants : la formation de kystes, et la stérilité, pour près d’une patiente sur deux.

Ces femmes ne peuvent plus choisir de faire des enfants, parce qu’elles n’ont pas été diagnostiquées à temps.

6 axes stratégiques pour lutter contre l’endométriose

Les causes de l’endométriose sont actuellement toujours débattues par les chercheurs. Ça ne veut pourtant pas dire que l’on ne peut rien faire.

C’est un sujet grave, dont commencent à s’emparer les autorités publiques : le mois dernier, une campagne d’information dans les établissements scolaires a été annoncée pour la rentrée 2016 [1].

C’est nécessaire. Mais, hélas, pas suffisant.

La mission d’un journal comme Plantes & Bien-Être, dont je suis rédactrice en chef, est de vous apporter des solutions naturelles, par les plantes, sous toutes leurs formes, et ce quelque soit la gravité des maux.

En tant que femme, il m’est insupportable de savoir que certaines de mes amies ou connaissances – voire leurs filles – souffrent tous les mois.

Pour vous proposer des solutions naturelles, il me fallait l’aide d’un spécialiste ayant déjà étudié ces problématiques. C’est pourquoi j’ai demandé à Christophe Bernard, thérapeute et herbaliste réputé, de réaliser un dossier complet sur toutes les ressources de la médecine naturelle contre ce calvaire chronique.

Il existe des solutions naturelles pour lutter contre l’endométriose : nous avons identifié 6 mesures à prendre pour vous soigner, à découvrir dans le numéro d’août de Plantes & Bien-Être :

  • Eviter l’excès d’œstrogènes, et notamment de xénœstrogènes, ces perturbateurs endocriniens que l’on peut trouver dans certains produits alimentaires, ménagers et cosmétiques ;
  • Calmer l’inflammation – c’est notamment possible grâce aux Oméga 3, mais sous une forme bien précise ;
  • Bloquer le stress oxydatif : il existe notamment un acide aminé qui réduit naturellement la douleur et les kystes ovariens ;
  • Soulager la congestion et les crampes : vous y découvrirez entre autres la meilleure plante décongestionnante de l’utérus ;
  • Stopper les saignements grâce à la bourse à pasteur, à utiliser sous une forme précise ;
  • Soigner votre alimentation : vous découvrirez grâce à quel régime trois femmes sur quatre voient une amélioration significative de leurs symptômes.

Ce dossier vous aidera à bâtir un protocole thérapeutique à base de plantes et, vous fournit un guide précis des produits à employer.

Egalement au sommaire de Plantes & Bien-Être au mois d’août :

Huiles essentielles : le prix à payer

Vous le savez, les huiles essentielles occupent une place de choix au sommaire de chaque numéro de Plantes & Bien-Être, mais de plus en plus de questions me parviennent par courrier :

« Alessandra, il y a trop de choix dans les magasins bio ! Que choisir ? »

« Les huiles essentielles, c’est bien joli, mais la plupart sont contre-indiquées pour les femmes enceintes et les enfants ! Que faire ??! »

Ce numéro d’août va vous permettre d’avoir une véritable bible pratique à garder précieusement, et à utiliser pour répondre à ces deux questions.

D’une part, une explication du principe du rendement des huiles essentielles va vous apprendre pourquoi certaines huiles essentielles trop bon marché sont des arnaques.

Un tableau détaillé du rendement en gramme pour chaque ingrédient vous fera comprendre d’une façon très simple pourquoi une bonne huile essentielle de Mélisse officinale est nécessairement chère, alors qu’une bonne huile essentielle d’Angélique ou de Camomille romaine sera toujours bon marché.

En tout, ce sont plus de 50 huiles essentielles qui sont classées dans ce numéro en quatre catégories, d’« abordables » à « très chères » : un tableau à toujours avoir avec vous lors de vos achats.

D’autre part, la naturopathe Annie Casamayou consacre un grand dossier aux hydrolats, une alternative redoutable d’efficacité aux huiles essentielles, pour celles et ceux qui ne supportent pas ces dernières. Ils ont en effet trois bénéfices majeurs :

  • Leur douceur (la concentration en molécules aromatiques est faible) ;
  • Ils sont solubles dans l’eau ;
  • Ils sont sans risque pour les muqueuses ou la peau.

Et, surtout, ils sont polyvalents ! Purs, dilués, vaporisés, sur la peau, dans les cheveux, dans vos plats ou dans vos bains de pieds, ils sont aussi bons pour calmer les coups de soleil que pour favoriser le sommeil ou lutter contre le stress.

Cependant, tout comme les huiles essentielles, il y a des erreurs à ne pas commettre à l’achat : nous vous indiquons précisément les informations à trouver sur les étiquettes (partie de la plante extraite, provenance, etc.) pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Comment conserver les hydrolats, comment débuter dans leur emploi, quelle dose consommer selon votre tranche d’âge, lequel choisir en cas de maux de tête, d’anxiété, de nausées, etc., tout, tout, tout, vous saurez tout sur les hydrolats.

Ce numéro d’août de Plantes & Bien-Être vous livre d’autres informations précises, et précieuses :

  • L’herbe à chats porte bien son nom… Mais saviez-vous qu’elle a des effets radicalement différents chez l’être humain ?
  • Fuites urinaires ? Contre toute attente, la meilleure alternative aux couches et au passage tous les quarts d’heure aux cabinets est… une tisane.
  • Un entretien avec le médecin qui a trouvé une alternative naturelle aux anxiolytiques et l’applique désormais à l’hôpital !
  • Une lotion naturelle pour des cheveux brillants… et lavés de tout produit chimique.
  • Découvrez l’incroyable destin de Maria Treben, l’herboriste tchèque qui a fait rentrer « les plantes du Bon dieu » dans les foyers au siècle dernier… et mettez en œuvre sa recette de la « petite liqueur du Suédois » qui a pas moins de 46 usages !
  • Alcool à brûler, papier journal, liquide vaisselle : les moyens alternatifs pour nettoyer ses vitres ne manquent pas… Nous vous conseillons plutôt une recette toute simple à base de vinaigre blanc, d’huile essentielle de citron et de jus de citron pressé.

Vous pouvez découvrir toutes ces informations et recevoir toutes celles de l’année à venir en vous abonnant grâce au lien ci-dessous, et rejoindre notre communauté de plus de 100 000 lecteurs !

Rendez-vous ici pour en savoir plus sur Plantes & Bien-Être et réserver votre exemplaire du mois d’août

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Avec toute mon amitié,

Alessandra Moro Buronzo

Rédactrice en Chef de Plantes & Bien-Être



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