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Covid : Amnesty International dénonce la censure

Vous êtes peut-être au courant de la campagne d’Amnesty International qui dénonce les effets “dévastateurs” de la censure des Etats depuis le Covid [1].

L’association “demande aux États de cesser d’invoquer la pandémie comme prétexte pour empêcher la diffusion d’informations indépendantes”.

“Cesser d’invoquer la pandémie comme prétexte pour empêcher la diffusion d’informations indépendantes” !!

Elle dénonce en effet des attaques brutales des autorités contre la liberté d’expression, qui ont, selon elle, “un impact dévastateur sur la capacité des personnes à avoir accès à des informations exactes pour les aider à gérer la crise sanitaire:”

Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyen·ne·s à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19”, a déclaré Rajat Khosla, directeur des recherches, du plaidoyer et de la politique à Amnesty International.

L’association dénonce la politique :

  • de la Chine, où les personnes qui ont voulu alerter sur le Covid ont été incarcérées. En février 2020, 5 511 enquêtes pénales avaient été ouvertes contre des personnes ayant publié des informations sur l’épidémie pour « invention et diffusion délibérée d’informations erronées et nuisibles » ;
  • de la Tanzanie, où les journalistes ont été réduits au silence par l’ancien président John Magufuli, qui leur a interdit de commenter sa gestion de la pandémie au noö de la lutte contre les “fausses informations” ;
  • du Nicaragua, où les autorités “se sont servies du COVID-19 pour adopter la Loi spéciale relative à la cybercriminalité, en octobre 2020. Dans la pratique, cette loi leur permet de sanctionner les personnes qui critiquent la politique gouvernementale et leur donne toute latitude pour réprimer la liberté d’expression” ;
  • de la Russie qui, en avril 2020, “a étendu sa législation existante contre les « fausses informations » et prévu des sanctions pénales pour « diffusion publique de fausses informations en connaissance de cause » dans une situation d’urgence. Bien que ces modifications aient été présentées comme s’inscrivant dans la réponse des autorités à la pandémie de COVID-19, ces mesures resteront en vigueur au-delà de la pandémie.”

Et nous ??

On regrette évidemment que l’association s’acharne sur certaines nations et évite soigneusement de citer un seul pays occidental, Europe ou Amérique du Nord…

Pourquoi ce silence ?

De notre côté, nous observons depuis de l’affaire une mobilisation tout aussi active contre les prétendues “fausses informations” – comprenez toutes les informations qui s’étonnent des contradictions et absurdités de la gestion de la pandémie, que ce soit :

  • sur l’utilité du masque (notamment à l’extérieur) ;
  • le confinement (qui interdisait notamment les promenades en forêt, en montagne ou sur les plages) ;
  • l’efficacité du vaccin à une dose, puis deux doses ;
  • l’efficacité des doses de rappel, d’abord imposées, puis supprimées ;
  • l’existence ou non d’effets secondaires ;
  • la légalité et la nécessité du pass sanitaire, puis vaccinal ;
  • l’origine du virus, la théorie du virus échappé du laboratoire de Wuhan ayant d’abord été décrétée “théorie du complot” et à ce titre interdite sur Facebook, Youtube et Amazon, avant d’être discrètement réhabilitée au mois de mai 2021 ;
  • l’efficacité du remdésivir de Gileads, d’abord annoncée triomphalement, puis démentie, puis récemment réintroduite ;
  • l’étude du Lancet de mai 2020 qui avait annoncé que l’hydroxychloroquine du Pr Raoult tuait 10 % des patients, entraînant l’arrêt de toutes les études par le Ministre de la Santé Olivier Véran, avant que l’article ne soit retiré de la revue, sans que pour autant les études ne soient autorisées à reprendre ;
  • Etc.

De mon côté, en tant que rédacteur de santé naturelle, j’ai eu mon lot de tracasseries, pour ne pas dire plus, à cause de mes propos sur le Covid. J’ai cru maintenir toujours la position la plus retenue et modérée possible, cela n’a pas suffi car j’ai dit du bien de la vitamine D et de la vitamine C liposomale pour lutter contre les infections. Nous reparlerons de tout cela.

Nos amis d’Amnesty International

Mais pour revenir à nos amis d’Amnesty International, n’insistons pas trop sur leur manque de lucidité sur ce qui se passe chez nous, et réjouissons-nous au contraire qu’ils semblent avoir compris que le Covid n’est qu’un prétexte.

Car dans leur communiqué, ils osent écrire :

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile:”

Et pour cela, chapeau bas !

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis

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