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Regardez-vous dans le miroir…

Cher amie, cher ami,

Vous regardez-vous dans le miroir ?

La question est intime, elle peut paraître déplacée. Mais vous regardez-vous vraiment dans le miroir ?

On peut à 45 ans, avoir une santé correspondant à celle d’une personne de 55 ou 60 ans, ou moins, ou plus … ou inversement.

Il ne faut pas vous en effrayer. En matière de santé, la pire des choses est l’ignorance.

Savoir avec précision dans quel état est votre corps permet de changer vos habitudes de vie à bon escient et d’améliorer votre Capital Santé. Et c’est en connaissant cela que vous pourrez mesurer vos progrès au cours des années.

Et ça, c’est encourageant. Car il est possible d’agir sur votre âge physiologique.

Oui chère amie, cher ami, vous avez en réalité plusieurs âges :

  • votre âge chronologique, défini par votre date de naissance
  • et votre âge physiologique, le vrai, celui qui reflète votre état physiologique réel ou fonctionnel.

Pas de miracle à attendre du côté de l’âge chronologique, il n’évolue que dans un sens : il augmente !

Mais il n’est PAS le reflet de votre état physiologique réel.

Votre âge physiologique est le reflet des âges physiologiques des différents systèmes qui vous composent : votre système artériel, votre système respiratoire, votre système digestif, votre système immunitaire…

Ainsi, j’ai récemment croisé dans les rues de Cannes une patiente que je soigne depuis une trentaine d’années. J’ai été frappé par la forme dans laquelle je l’ai trouvée, malgré son âge avancé.

Je me suis dit qu’elle fera bientôt une très belle centenaire… Il y en aura de plus en plus comme elle dans les rues de nos villes.

On dénombre déjà plus de 20 000 centenaires aujourd’hui. On en attend 300 000 dans cinquante ans…

Mais avant d’être centenaires nous serons des sexa-, septua-, octogénaires.

Serons-nous fatigués, déprimés, assistés, improductifs et coûteux, ou au contraire des seniors actifs ?

Est-ce que nous profiterons de notre deuxième, voire de notre troisième vie ? Est-ce que nous serons suffisamment en forme pour faire bénéficier notre entourage de notre expérience ?

Si le sujet vous intéresse, vous avez peut-être essayé vous-même un de ces sites web qui proposent des « compteurs d’âge physiologique ».

Vous l’avez bien compris, ces auto-questionnaires, plus ou moins subtils, ont une validité scientifique proche de zéro. Tout au plus ont-ils le mérite de sensibiliser les gens à cette notion d’âge physiologique et de Capital santé.

Pas besoin de site web pour savoir où vous en êtes.

Il suffit de vous regarder le matin dans un miroir. Et de vous interroger sur votre état de santé.

Car il y a des symptômes du vieillissement biologique qui devraient vous alerter.

Ils sont indépendants de l’âge chronologique et on devrait donc s’en inquiéter à tout âge :

  • Perte progressive des grandes fonctions immunitaires : infections à répétition ou difficultés à guérir de certaines infections banales.
  • Fatigue chronique sans raison apparente.
  • Altération de la qualité ou quantité de sommeil sans raison apparente, ou phase d’anxiété.
  • Douleurs musculaires ou articulaires chroniques sans explication.
  • Diminution de l’acuité visuelle et perte de l’accommodation (impossibilité de voir de près).
  • Diminution de l’audition sans raison.
  • Perte progressive des grandes fonctions métaboliques et enzymatiques : altération de la digestion, de la capacité à équilibrer l’organisme au plan lipidique (maladie artérielle), au plan glycémique (sensibilité à l’insuline, glycation tissulaire)…
  • Perte progressive de la capacité à se « reconstruire » au plan tissulaire : ce sont les cellules qui se reproduisent de plus en plus mal, avec de plus en plus d’erreurs dans leur duplication… Difficultés de cicatrisation et de réparation dues à l’altération des facultés de reproduction cellulaire et à la perte des cellules souches.
  • Modification brutale de la capacité de se « reconstruire » au plan psychologique après un traumatisme, un choc ou un deuil.
  • Perte des capacités d’élimination de toxines et déchets métaboliques par les « émonctoires » que sont la peau, le poumon, le tube digestif et l’appareil urinaire.
  • Modifications du poids dans un sens ou un autre sans raisons apparentes.
  • Perte de l’élasticité tissulaire et des facultés d’adaptation (à l’environnement, au stress, aux changements, aux voyages…),
  • Diminution de toutes les capacités cognitives : mémoire, concentration, attention, des performances physiques et des réflexes…
  • Diminution des capacités sexuelles et de reproduction.

Personne ne rêve en soi d’être centenaire ou même supercentenaire, ces personnes qui atteignent des âges allant au-delà des 110 ans.

Pour la majorité d’entre nous, ce qui est important n’est pas la longévité en tant que telle mais bien « la longévité en bonne santé », ou « la santé dans la longévité ».

Et c’est cela qui est important, et dont je voudrais vous parler.

Bien à vous,

Dr. Dominique Rueff



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Natural Health Advisory

Osteoporosis Prevention and Treatment

If you have a family member with osteoporosis symptoms, you’ve probably noticed what I’ve seen in my own family – a gradual decline of posture, or developing a “hunchback,” with age. After spending some time with my 80-year-old mom recently, I went to give her a hug and a kiss goodbye when I was struck by how much smaller she’s become. Sure, I’ve been noticing her shrinking stature for at least a few years now, but every so often I still get surprised by how much shorter and less muscular she is throughout her upper body. Also becoming more obvious is the hunchback she’s developing, just like her mom did in her eighties.

Discover what causes osteoporosis and learn natural remedies for osteoporosis symptoms with our top five osteoporosis guidelines in our FREE 13-page report, Osteoporosis Guidelines: Natural Remedies for Osteoporosis Symptoms!

By the time my grandmother died after breaking her hip at age 90, she had classic osteoporosis symptoms including a severe forward bend in her spine, the “dowager’s hump” as it’s called. Living for years with osteoporosis left her bones thin, weak, and fragile. This caused silent, tiny fractures in her thoracic vertebrae, the bones in the mid-section her spine. The severe rounding of her upper back was likely a sign of advanced osteoporosis, the result of compression fractures of weakened vertebrae.

What causes hunchback?

Before the common use of dual-energy x-ray absorptiometry (DEXA) to measure bone mineral density in the early 21st century, the osteoporosis symptoms of fractured vertebrae, height loss,  and forward bending of the spine, commonly known as hunchback, were the most frequent presenting complaints. The medical term for hunchback is kyphosis. Severe kyphosis is known as dowager’s hump.

Kyphosis and height loss are common osteoporosis symptoms. Decreased bone mineral density in the thoracic vertebrae causes compression fractures.  Osteoporotic compression fractures usually occur during routine daily activities such as bending of the body, coughing, lifting or some other kind of trivial trauma. Multiple compression fractures, as seen with osteoporosis, cause changes within the structure of the spine that lead to significant height loss and development of kyphosis (Dowager’s hump).

Osteoporosis symptoms from spinal fractures

Like most people with osteoporosis, my grandmother likely experienced no symptoms as her bones slowly weakened over the years. Even as her vertebrae fractured, compressed, and deformed, leading to her stooped over position, she may not have felt pain. Neither has my mother, luckily. Up to two thirds of people have no symptoms after these types of vertebral fractures. Others may suffer from quick onset of pain, which might disappear or turn into chronic, dull, aching, or intermittent back pain and stiffness. Sometimes, compression fractures of the spine cause significant back pain that may be sharp, knifelike, and disabling and which often subsides over a period of weeks to months.

As the thoracic part of the spine curves more severely, it displaces the head and neck forward, causing a compensatory increase in curve in the lower back and pushing the lower abdomen out. Even if it causes no pain, the increased curve of the low back can cause other osteoporosis symptoms such as a protuberance of the abdomen, a change in the way clothes fit, and loss of the waist. Meanwhile, the forward shifting of the head and neck can restrict the ability to look upward and therefore can affect driving and cause difficulty with lying face down.

More severe kyphosis can also cause additional osteoporosis symptoms such as loss of shoulder range of motion. This can interfere with overhead activities of daily living. With severe deformity, balance may also become impaired.  Not only is the risk for falls greater, more energy is required for standing and moving around because the spinal balance becomes disrupted and the center of gravity is displaced. Other osteoporosis symptoms resulting from more severe cases of kyphosis include shortness of breath, fatigue, and poor activity tolerance caused by the rib cage losing its ability to expand with breathing,

Too late for grandma, but not for mom or me

It may have been too late to save my grandmother from developing her severe dowager’s hump, but my mom still has decent bone mass and great mobility for a woman her age (and a breast cancer survivor, no less). Studies show she can prevent the progression of her kyphosis and the development of a dowager’s hump by staying active, strengthening her back muscles along the spine, and slowing bone density loss. Working on her posture and keeping her degenerative arthritis from progressing may also help.

Kyphosis also linked to joint disease and poor posture

There is new evidence that both poor posture and degenerative disc disease caused by osteoarthritis may also contribute to kyphosis in older people. Researchers recently began noticing that vertebral fractures don’t seem to be responsible for all cases of kyphosis. Simply having weak back muscles, poor posture, or poor health of the vertebral discs associated with degenerative joint disease can increase kyphosis. Even in cases in which vertebral fractures are osteoporosis symptoms, there is evidence that working on posture and building strength in the back muscles helps improve the kyphosis and keeps it from getting worse.

Women with kyphosis like my mom are not doomed to develop my grandmother’s dowager’s hump. And even though there is clearly a genetic component to kyphosis, neither am I. In addition to trying to eat right, taking our nutritional supplements and using other natural therapies for bone health, we’ll both be working on our posture and strengthening our back muscles with resistance training exercise. Both have been shown to be helpful for reversing kyphosis and other osteoporosis symptoms.

Of course, these are excellent methods for improving many aspects of health, not just for keeping the spine healthy and aligned. No matter what your age or bone density, there’s much you can do to prevent and treat osteoporosis symptoms such as kyphosis. Even young, athletic women need to take care to prevent osteoporosis.

Treatments range from taking amino acids to cod liver oil and much more. Start using these strategies today to keep your bones strong as you age, and be sure to download our free report on osteoporosis treatment. Just follow the link below.

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This blog originally appeared in 2012 and has been updated. 

 

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Natural Health Advisory

Natural Health 101

Betaine HCl – One of the Best Natural Heartburn RemediesThe acid-blocking proton pump inhibitor drugs (the little purple pills), antacids, and other heartburn medications work by reducing stomach acid levels. But sometimes heartburn and indigestion are not caused by high stomach acids levels at all. In fact, these unpleasant symptoms are often triggered by low stomach acid levels.

Our Part 1 in this indigestion relief series cited specific clinical research confirming this startling assertion. This begs the question: Why would you take a pill to further decrease your low levels of stomach acid?

A better, more natural approach to indigestion relief, successfully used by many practitioners and patients of natural medicine, is to treat hypochlorhydria – the condition of low stomach acid production. If hydrochloric acid secretion is measured and hypochlorhydria is documented (see part 2 for testing stomach acid levels), or if stomach acid output is believed to be low, betaine HCl capsules can be taken on a trial basis and if they work, they can be continued indefinitely. In fact, one of the top natural heartburn remedies is to begin a therapeutic trial of supplemental betaine HCL and see if that brings indigestion relief.

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Do you want to improve your health with actions that really work?

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What is betaine HCl?

Betaine HCl is a naturally occurring, acidic form of betaine, usually derived from beets. Even if you do not undergo gastric pH analysis, a trial of betaine HCl can be safely undertaken, as outlined below, for mild heartburn and indigestion relief. If you have been diagnosed with GERD or are currently taking an acid-suppressing drug, such as a proton pump inhibitor, you should not discontinue your medication on your own. Consider working with a qualified integrative physician to determine which natural heartburn remedies may be right for you.

The procedure for taking betaine HCl as one of the natural heartburn remedies, which can be found in most health food stores, is as follows:

  1. On day one, start with one capsule (usually 8-10 grains, or 500-600 mg) of betaine HCl, at the beginning of each meal (Note: This means a full meal, not a snack.).
  2. Monitor for any side effects as a warming sensation, discomfort, pain, or burning in the throat or stomach. If you experience any of these symptoms after just one capsule of betaine HCl, stop. (You likely do not have a problem with low HCl and need a different form of treatment for indigestion relief, such as melatonin or d-limonine.) If these side effect symptoms are not present, proceed to step 3.
  3. Increase your dose by one capsule (this would be two capsules or a total of 16-20 grains for day two) of hydrochloric acid (betaine HCl) at the beginning of each full meal. If you note any of the above side effects, decrease your dose to the level at which you had no side effects (the day before) and maintain this dose. If these side effect symptoms are still not present, proceed to step 4.
  4. Increase your dose as described in step 3. Each day increase the dose until you feel a warming sensation or until you reach a dose of five capsules of betaine HCl per meal. Do not take more than five (5) capsules with a meal without working in conjunction with a physician. This process will increase your stomach acid to just the right level to properly digest your food, thus working as one of the best completely natural heartburn remedies.

One precaution is that betaine HCl should not be used at the same time as aspirin, ibuprofen, corticosteroid drugs, or other anti-inflammatory medications. These medications can cause stomach bleeding and ulcers, and betaine HCl can aggravate ulcers.

The anti-aging benefits of betaine HCl

Taking betaine HCl with meals can not only bring indigestion relief and be one of the most effective natural heartburn remedies; it will also improve digestion and help provide all the benefits of improved absorption and assimilation of nutrients. Without treatment of hypochlorhydria, enzyme systems, cells, tissues, and organs can’t repair themselves, and we age faster. So, don’t be fooled by the myth of “acid indigestion.” If you are searching for non-drug, safe and natural heartburn remedies and indigestion relief, find out if the problem really is low stomach acid production; and if you have hypochlorhydria, correct it with betaine HCl. You’ll be helping your body heal naturally and function optimally!

Also read our other articles:

Do You Have Experience with Betaine HCL? Tell Us About It!

Some of you may already be successfully using betaine HCL one of the top natural heartburn remedies and for better digestion of your foods. If so, please tell us your experience. You’ll be helping thousands of other readers who are just now learning about this as a possible solution to their heartburn woes. Place your experience in the “Comments” section following the end of this article.

This blog originally appeared in 2013 and is regularly updated.

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santé nature

Certains m'ont demandé : "Mais comment en êtes-vous arrivé à changer aussi radicalement ?". Voilà le pourquoi de cet article. Mes études de naturopathie, n'étaient que les fondations, restait à construire la maison et il fallait mettre la main à la pâte,...

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Natural Health Advisory

Fatigue, Lack of Energy

If you suffer from chronic fatigue syndrome (CFS) and knew there was compelling research showing the effectiveness of two specific nutrients in bringing relief, you would probably be interested! Such is the case, and here are the details. CFS is a complex, multifactorial illness characterized by profound, disabling fatigue lasting at least six months, which severely impairs daily functioning. Studies have uncovered a variety of hormone, immune, infectious, muscular, genetic, and nervous system abnormalities in individuals with chronic fatigue syndrome, but the exact cause (or multiple causes) remains a mystery.

Treatment within the conventional medical system focuses on controlling symptoms using cognitive behavioral therapy and exercise therapy. However, many people suffering from chronic fatigue do not improve or only partially improve with these conventional methods.  Practitioners of integrative and natural medicine take a more comprehensive and holistic approach to treatment. While not a cure-all, supplements play an important role in chronic fatigue syndrome treatment.

In addition to a high-quality, high-potency multivitamin-mineral supplement, two key supplements for chronic fatigue syndrome treatment include:

1. Adaptogen formula. Adaptogens are herbal supplements that treat symptoms of both acute and chronic fatigue and stress by increasing the body’s ability to resist stress and exerting a balancing effect on various systems of the body (immune, central nervous, cardiovascular, etc.).

A supplement that combines different herbal adaptogens such as Rhodiola rosea, Siberian ginseng (Eleutherococcus senticosus), Panax Ginseng, Schisandra chinensis, Withania somnifera (Ashwaghanda), and Astragalus membranaceus helps to re-balance and re-regulate the body’s primary stress response systems, especially the HPA axis (hypothalamic-pituitary-adrenal axis), which is dysfunctional in those with chronic fatigue syndrome.

The studies in humans examining the effects of rhodiola on fatigue are especially favorable, showing statistically significant reductions in fatigue and clinical improvements in many fatigue-related areas, such as physical fitness, concentration, mental performance, sleep patterns, motivation, mood, and general well-being.  Various dosages and preparations have been found to be effective, from daily totals of 100 mg up to 576 mg in divided doses for periods of one to ten weeks.

While very few studies have examined the effects of multiple combined adaptogens, many integrative and naturopathic practitioners prescribe formulas combining rhodiola with other adaptogens to treat fatigue and related symptoms.

2. D-Ribose.  D-ribose is needed to increase the synthesis of cellular energy in muscles. Muscle energy synthesis has been found to be lower in those with chronic fatigue syndrome. When taken as a supplement, D-ribose has been shown to enhance muscle cell energy and recovery, improve fatigue and other symptoms in individuals with fatigue and chronic fatigue syndrome in at least three studies.

In the first in a series of two uncontrolled studies in patients with fibromyalgia and/or chronic fatigue syndrome, D-ribose was administered to 41 patients at a dose of 5 grams 3 times per day for an average of 3 weeks. This led to significant improvement in energy, sleep, mental clarity, pain intensity, and well-being compared to baseline. At the end of the study, approximately 66% of patients experienced significant improvement while using D-ribose. These patients had a 45% average increase in energy and a 30% overall improvement in well-being.

A larger follow-up study, again uncontrolled, enrolled 257 patients from multiple clinics. They were given the same D-ribose protocol. Of the 203 chronic fatigue syndrome/fibromyalgia patients who completed the trial, D-ribose treatment led to a statistically and clinically significant improvement in energy (61.3% average increase).  Significant improvements were also experienced in sleep, overall well-being, pain, and mental clarity.

Another group of researchers found that 3 grams of D-ribose twice daily for three weeks in adults over 50 years of age who complained of tiredness for at least a month lessened physical fatigue as demonstrated by statistically significant improvements in tests of cardiopulmonary exercise testing. The subjects also had significant subjective improvements in mental outlook and vitality.

Both the adaptogens and D-Ribose are available as nutritional supplements that you can obtain from your local health food store or from your favorite online supplement provider. Since these two chronic fatigue syndrome treatments have a different cause of action (how they work), you can even try both approaches at the same time.

To learn more about treating CFS, read about the role of probiotics, ginseng, and exercise.


[1] Teitelbaum J, Johnson C, St Cyr J. The use of D-ribose in chronic fatigue syndrome and fibromyalgia: a pilot study.  J Altern Complement Med. 2006;12(9):857-862.

[2] Teitelbaum J. Treatment of chronic fatigue syndrome and fibromyalgia with D-ribose-a multicenter study.  http://ift.tt/1CrYFo6.

[3] Seifert JG, Subudhi  AW, et al. The role of ribose on oxidative stress during hypoxic exercise: a pilot study. J Med Food. 2009;12(3):690-693.

[4] Panossian A, Wikman G. Effects of adaptogens on the central nervous system and the molecular mechanisms associated with their stress
protective activity. Pharmaceuticals. 2010;3:188-224.

[5] Head KA, Kelly GS. Nutrients and botanicals for treatment of stress: adrenal fatigue, neurotransmitter imbalance, anxiety, and restless sleep. Alt Med Rev. 2009;14(2):119-139.

[6] Olsson EM, von Schéele B, Panossian AG. A randomised, double-blind, placebo-controlled, parallel-group study of the standardised extract shr-5 of the roots of Rhodiola rosea in the treatment of subjects with stress-related fatigue. Planta Med. 2009 Feb;75(2):105-12.

[7] Spasov AA, Wikman GK, et al. A double-blind, placebo-controlled pilot study of the stimulating and adaptogenic effect of Rhodiola rosea SHR-5 extract on the fatigue of students caused by stress during an examination period with a repeated low-dose regimen. Phytomedicine. 2000 Apr;7(2):85-9.

[8] Shevtsov VA, Zholus BI, et al. A randomized trial of two different doses of a SHR-5 Rhodiola rosea extract versus placebo and control of capacity for mental work. Phytomedicine. 2003 Mar;10(2-3):95-105.

[9] Edwards D, Heufelder A, Zimmermann A. Therapeutic Effects and Safety of Rhodiola rosea Extract WS® 1375 in Subjects with Life-stress Symptoms – Results of an Open-label Study. Phytother Res. 2012 Jan 6.

[10] Darbinyan V, Aslanyan G, et al. Clinical trial of Rhodiola rosea L. extract SHR-5 in the treatment of mild to moderate depression. Nord J Psychiatry. 2007;61(5):343-8.

[11] Panossian A, Wikman G, Sarris J. Rosenroot (Rhodiola rosea): traditional use, chemical composition, pharmacology and clinical efficacy. Phytomedicine. 2010 Jun;17(7):481-93.

[12] Guilliams TG, Edward L. Chronic Stress and the HPA Axis: Clinical Assessment and Therapeutic Considerations. The Standard. 2010;9(2):1-12.

[13] Flanigan R, MacCarter D, et al. D-ribose improves fatigue in aging adults. J Altern Complement Med. 2010;16(5):529-530.

 

This article was originally published in 2012 and has been updated.

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Natural Health Advisory

Natural Health 101

Treatment for Mold Exposure: Finding a Doctor Skilled in the Diagnosis and Treatment of Mold SicknessIn part 1 of this article, you learned that living or working in water-damaged homes or buildings can lead to a wide variety of mold exposure symptoms ranging from allergies and fatigue to more severe diseases. You were introduced to the concept that mycotoxins (the toxic byproducts secreted by molds) are the primary cause of mold-related illness, rather than an infection with the mold itself. We will now briefly discuss how this type of mold-related illness is diagnosed as well as the multiple components making up the comprehensive treatment for mold exposure. Lastly, you will learn ways to find a doctor skilled in diagnosing and treating mold sickness.

How mold-related conditions are diagnosed

The technology to detect the presence of mycotoxins in the body wasn’t available until fairly recently. Today, mycotoxins can be detected by a small number of laboratories. One of the leading laboratories for mycotoxin detection is RealTime Laboratories. They use an immunology test called an Enzyme Linked Immunosorbent Assay (ELISA) to test urine samples for Aflatoxins, Ochratoxin A, and Trichothecenes. RealTime laboratories and other labs have shown that these mycotoxins can be detected in the urine and other body tissues and fluids of people who have been exposed to toxin-producing molds in their environment, whereas people with no known exposure to molds or mycotoxins have no or very little detectable mycotoxins.

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A study published in 2013 used these recently developed techniques to test urine from 112 patients diagnosed with Chronic Fatigue Syndrome. The researchers found that 93% were positive for at least one mycotoxin and almost 30% had more than one mycotoxin present. Ochratoxin A was the most prevalent mycotoxin detected (83%) with trichothecenes as the next most common (44%). Over 90% of those positive for mycotoxins reported current and/or past exposure to a water damaged environment.

Mold exposure treatment

While antifungal drugs or natural antifungal agents can be used to treat direct fungal infections (when the fungus itself is growing within the body), treatment for mold exposure is more difficult and does not respond to antifungals since the mycotoxins are typically present without the presence of the fungus itself. The treatment of illnesses caused by mycotoxin exposure begins, first and foremost, with avoidance of further exposure to water-damaged environments and items contaminated by those environments.

Many healthcare practitioners with knowledge and experience in working with mold-related illnesses also recommend decreasing exposure to other toxic chemicals including pesticides, heavy metals, and volatile organic compounds and fragrances in order to reduce total toxin exposure and improve the body’s detoxification abilities.  Another mainstay of treatment is the use of what are known as sequestering agents. These are non-absorbable materials such as activated charcoal, clay, chlorophyll, and the drug cholestyramine, which are capable of binding toxins in the gastrointestinal tract, thus reducing re-circulation and ultimately lowering the total toxic load.

The use of antioxidants, especially glutathione, and the treatment of nutritional deficiencies, especially vitamin D, magnesium, zinc, coenzyme Q10, and B vitamins, is also reported to be helpful. Probiotics and various dietary therapies, especially the identification and avoidance of foods to which one is intolerant, are also commonly used along with the treatments mentioned above.

Finding a doctor who specializes in mold exposure treatment

If you want to find a doctor who has experience in diagnosing and treating mold and mycotoxin-related illnesses, where do you start? One great option is to use our Directory Listing where you can search for a doctor or practitioner who lists “Mold Exposure Treatment” as a primary or secondary practice specialty. You can also look for doctors through the American Academy of Environmental Medicine which publishes an online directory of members. Do not confuse this organization with the American College of Occupational and Environmental Medicine which officially denies the existence of adverse health effects related to the inhalation of mycotoxins.

What has been your experience with mold exposure and the ill effects that have resulted?

Share with other readers what your own experience with molds has been. We’re all in this together so we can help each other by sharing our own journey. What symptoms did you have? Where did your exposure come from? What treatment for mold exposure did you use, and was it successful? Give us your feedback in the Comments Section below.


[1] RealTime Laboratories. Mycotoxin Poster. 2007 May.

[2] Scientific World Journal. 2013; 2013: 767482.

[3] Toxicol Ind Health. 2009 Oct-Nov;25(9-10):711-714.

[4] Toxicol Ind Health. 2009 Oct-Nov;25(9-10):715-722.

This post originally appeared in 2013 and has been updated.

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Natural Health Advisory

Osteoporosis Prevention and Treatment

Osteoporosis is an insidious illness that sneaks up on you. Studies suggest that about 50% of women over the age of 50 will suffer a fracture related to bone loss. And each year, approximately 80,000 men have a hip fracture. That’s why it’s so critical to undergo bone density testing. Even if you are otherwise “healthy”, getting a baseline bone density test can predict even the slightest beginnings of bone loss in your future.

There are a variety of bone density tests available, but the “gold standard” test for diagnosing osteoporosis is the DEXA scan (dual energy X-ray absorptiometry), which measures bone density in the spine, hip or wrist. If you do have low bone density, these are the most common locations for fractures.

Discover what causes osteoporosis and learn natural remedies for osteoporosis symptoms with our top five osteoporosis guidelines in our FREE 13-page report, Osteoporosis Guidelines: Natural Remedies for Osteoporosis Symptoms!

Does the DEXA scan hurt?

A DEXA scan is painless and only takes about 15 minutes to perform. During the test, you lie on your back on a table and a scanner passes over your body taking radiographic images.

Who should get a DEXA scan?

DEXA screening is recommended for all men over the age of 70 and all women over the age of 65. Bone density should also be measured in women between the ages of 50 and 65 who are considered high risk for osteoporosis. In addition to obtaining an initial DEXA scan, repeating the scan every 2 to 5 years is recommended, depending on your risk factors.

What about radiation exposure?

The radiation emitted from a DEXA scan is about one-tenth the radiation emitted from a chest x-ray. Still, there are other bone density tests which emit less or no radiation at all: QCT scan, NTx urine test, or vitamin D test. To learn more about these tests, download our Comprehensive Guide, Osteoporosis Relief: Natural Remedies for Osteoporosis Prevention and Treatment. The Guide can help you determine which bone density test is best for you.

Interpreting your bone density scores

DEXA bone density scores are measured as “T-scores”, which is a comparison of a person’s bone density with that of a healthy 30-year-old of the same sex. The lower bone density scores, the lower your total bone density.

T-Score Bone Density Chart:

Bone Density Chart: Understand Your Bone Density Scores A T-score of -1.0 to -2.5 signifies osteopenia, meaning below-normal bone density without full-blown osteoporosis. This stage of bone loss is the precursor to osteoporosis.

Using a bone density chart to estimate total bone loss

To better understand the current health of your bones, you should multiply your T-score by 10% (as shown in the bone density chart below). This will give you a rough estimate of how much bone density has already been lost.

Bone Density Chart for Estimated Amount of Bone Loss

Bone Density Chart for Estimated Amount of Bone Loss

Focusing too closely on the DEXA bone density scores can be a mistake!

Many doctors admit that the DEXA T-score is not a perfect predictor for bone health or fracture risk. That’s why it’s important to consider taking the other tests described in our Guide. Furthermore, your risk factors are just as important as your T-score and may lead to better predictions of bone disease. In order to determine your true osteoporosis risk factors, use our self-test here:

Should I Be Worried About Bone Loss? Use Our Quiz to Find Out!

Now that you understand your bone density scores, here’s what to do about it…

If your DEXA bone density scores show that you’re in danger for developing osteoporosis or if you have discovered by using our self-test that you indeed have several risk factors, this should not be ignored! You need to take steps right now to fight this disease. Don’t forget that full-blown osteoporosis is a serious condition that can have devastating consequences on your health and quality of life. Getting low bone density scores is only an initial warning. Are you going to sit there and do nothing or will you begin to prepare for the oncoming attack?

Our comprehensive guide, Osteoporosis Relief: Natural Remedies for Osteoporosis Prevention and Treatment, provides the top natural bone-building strategies recommended by integrative physicians who are helping their own patients rebuild strong bones with natural therapies. Don’t wait until it’s too late – until you’ve already broken a bone – to being thinking seriously about this debilitating condition. Even if you already have osteoporosis, the good news is that it’s never too late to reclaim your health! The most important thing is that you don’t wait any longer! By making a few small changes to your daily routine, you can dramatically decrease your chances of developing this “silent” disease. Isn’t it worth it?

Originally published in 2013.

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Natural Health Advisory

Cholesterol Control

Lower Cholesterol Naturally with B VitaminsB vitamins are often referred to as the “energy vitamins” because they help your body’s natural process of obtaining energy from the food you eat.  When consumed, they literally provide your body with a “boost” of energy.  But, B vitamins can also play a major role in proper cholesterol maintenance – lowering LDL (“bad”) cholesterol levels and raising HDL (“good”) cholesterol levels.  With that in mind, many physicians now encourage their patients to take a multi-B vitamin supplement daily.

Vitamin B5

Pantethine, the activated form of vitamin B5 or pantothenic acid, has been shown by a Princeton clinical research team to lower both total cholesterol levels and LDL (“bad”) cholesterol.[1] Pantethine has the advantage of being an effective treatment for high cholesterol while avoiding the undesirable side effects of synthetic lipid-lowering drugs (i.e. Lipitor, Zocor, Crestor, etc).  Pantethine can lower the incidence of heart attack and stroke by reducing platelet stickiness and clumping. Furthermore, it offers protection against the damaging effects of environmental pathogens such as cigarette smoke.

Learn the top 7 solutions for lowering cholesterol naturally without the use of drugs in our FREE 12-page report, 7 Natural Ways to Lower Cholesterol: Top Foods, Supplements & Therapies to Achieve Normal Cholesterol Readings!

Vitamin B3

Niacin, or Vitamin B3, actually works by raising your HDL (“good”) cholesterol levels. According to the Mayo Clinic, “Taking niacin — either by itself or along with other cholesterol-lowering medication — may help control your total cholesterol level.”[2] Niacin works in the liver by affecting the production of blood fats. It is so well researched and the evidence for using it to decrease high cholesterol is so strong that it is recommended by the National Cholesterol Education Program. Several well-designed double-blind, placebo controlled studies have found that niacin can reduce LDL (“bad”) cholesterol by approximately 10% and triglycerides by 25% while raising HDL (“good”) cholesterol by 20% to 30%.[3]

Vitamin B12

Another important cholesterol-lowering vitamin is B12.  Not only has research shown that taking vitamin B12 daily can reduce cholesterol levels, but it can also provide additional cardiovascular health benefits, such as reducing the risk of developing atherosclerosis (hardening and narrowing of the arteries).[4]  Moreover, this important nutrient can help fight chronic fatigue and aids in the maintenance of the central nervous system. However, it is important to note that vitamin B12 is better absorbed by the body when it is taken along with other B vitamins, such as the aforementioned vitamin B3 (niacin).

Getting Your B Vitamins – Through Food or Through Supplements?

So if the bottom line message here is that these B vitamins can help regulate healthy cholesterol levels, how can you be sure you’re getting enough? Check your diet first – food is always the best way to get your nutrients. But if you are trying to achieve therapeutic levels of these nutrients in an effort to get your cholesterol levels under control, you may need to add B vitamin supplements to your daily routine. Check out our free report for proper dosages.

To learn more information about lowering cholesterol and triglycerides naturally including more detail on the important B vitamins and other supplements, click here:


[1] Nutrition Research. 2011 Aug;31(8):608-15.
[2] http://ift.tt/1wd0Lbe
[3] Illingworth DR, et al. Comparative effects of lovastatin and niacin in primary hypercholesterolemia. A prospective trial. Arch Intern Med. 1994;154:1586-1595.
[4] Seminars in Thrombosis and Hemostasis. 2000;26(3):341-8.

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santé nature innovation

Sport, jeu, amour, toutes les activités peuvent être faites sur ordinateur ou téléphone pour moins cher, plus facilement et avec moins de risques que dans la vraie vie.

Mais que devient votre vie quand tous vos jeux, votre sport et vos amours ne se passent plus que sur un écran ???

Homme

Jouer au foot sur ordinateur ne développe pas les muscles, ni le cœur, ni l’habileté physique.

On est aussi privé de l’esprit d’équipe, des amitiés, des bons souvenirs et des franches rigolades.

Sur le long terme, ce sont de précieuses expériences de vie qui ne sont pas faites. On ne construit rien, on reste seul… et on augmente son risque de maladie.

Mais le phénomène est plus triste encore en amour…

L’amour en boîte de conserve

Les femmes n’en sont pas toujours conscientes, mais pour la plupart des hommes, s’approcher d’elles et essayer d’engager conversation demande un courage énorme.

C’est prendre un risque, le risque de l’échec, du rejet qui nous renvoie à nos défauts physiques, notre manque d’esprit, notre incapacité à les faire rire et à les convaincre qu’elles seraient heureuses avec nous…

Se prendre « un vent », comme on dit, n’a aucune conséquence pour le « dragueur » de rue.

Celui-ci aborde n’importe quelle femme sur son passage et il est prêt à lui mentir effrontément pour la manipuler. Il s’en fiche. Il compte sur les statistiques. Une fois sur 100, une fois sur 200, sa tactique finira par marcher, aussi grossière soit-elle, et cela lui suffit.

Mais pour les autres hommes, c’est différent !

La timidité, la pudeur, la crainte de ne pas être à la hauteur paralysent. Combien d’amoureux transis n’oseront jamais révéler leur flamme ? Combien de jeunes garçons, sentant confusément les risques de tomber amoureux, préfèrent essayer de se convaincre qu’ils « n’aiment pas les filles » ? Autrefois ils étaient obligés, tôt ou tard, de sortir de leur coquille. Aujourd’hui, des sites web les conseillent pour apprendre, enfin !, à se faire aimer et cela peut être utile si les conseils sont corrects [1].

Mais Internet offre aussi de dangereuses illusions d’échappatoire : l’amitié, l’amour et le sexe virtuels. Je n’ai pas besoin de sortir ni de me montrer. Je n’ai pas besoin de rencontrer, ni même de parler. Je n’ai pas besoin de plaire. Je n’ai pas besoin de me confronter aux autres. Je n’ai qu’à cliquer et je peux réaliser, ou du moins me donner l’illusion de réaliser tous mes fantasmes, seul, dans mon coin.

Et le nombre de personnes qui tombent dans le piège est effrayant.

Selon une étude publiée dans le Journal of Developmental & Behavioural Pediatrics, les garçons commencent à regarder des films pornographiques sur Internet à partir de 12 ans en moyenne. Ensuite, 63 % continuent à les regarder toutes les semaines, et 10 % tous les jours (73 % en tout, donc !!) [2].

À grande échelle, ce sont donc des machines, des mémoires d’ordinateurs qui fournissent à la plupart des hommes occidentaux aujourd’hui non seulement leurs premiers émois affectifs, mais également leur vie affective et sexuelle plus tard, qui ne se fait qu’avec des images et bruitages préenregistrés et reproduits sur écran artificiel.

Parallèlement, progresse le nombre des jeunes de 18 à 24 ans qui déclarent souffrir de solitude : ils sont désormais 49 % selon une étude TNS-Sofres, à ne pas parvenir à développer assez de liens affectifs satisfaisants avec leur entourage [3].

Est-ce une surprise ?

Pire, même dans les cas (de plus en plus rares) où une relation réelle est établie, Internet continue à faire une dangereuse concurrence à la vie du couple :

Couple
Le spectacle devenu habituel de couples pour qui la présence de l’autre est moins précieuse que les contacts à travers le smartphone.

L’amitié elle-même est compromise.

J’ai emmené mes enfants au départ en classe de neige. C’était au petit matin. Des cars étaient là. Je m’attendais à voir des centaines d’élèves surexcités et ravis de partir quelques jours.

En réalité, c’était un silence de mort. Dans la pénombre, je n’ai aperçu que de sinistres silhouettes éclairées d’un halo bleuté (la lumière des écrans) occupées à consulter leurs smartphones et à échanger des messages avec des absents. Chacun était enfermé dans son monde, indifférent aux êtres en chair et en os autour de lui.

Et tout ça pour quoi ? Soi-disant pour entretenir un « réseau social ».

« Que se passerait-il si… »

Voici un texte que j’ai trouvé sur Internet et que j’ai accroché dans mon bureau.

« Que se passerait-il si… »

  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je fais la queue dans un magasin, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais la conversation ou souriais aux personnes autour de moi ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai deux minutes à attendre à un feu rouge, au lieu de vérifier mes messages, je faisais une prière au Créateur de l’Univers ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 15 minutes de libre devant moi, plutôt que de vérifier mes messages, j’en profitais pour organiser une soirée spéciale avec ma femme ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 30 minutes avant de me coucher, plutôt que de vérifier mes messages, je lisais un chef-d’œuvre de spiritualité qui changeait ma vie et celles des autres autour de moi ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je suis à la cantine de mon entreprise, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais une conversation profonde avec un de mes collègues et que je lui posais des questions sur sa vie ?
  • « Que se passerait-il si, au moment de la publicité à la télévision, plutôt que de vérifier mes messages, je me levais d’un bond et je me jetais sur mes enfants pour les chatouiller et jouer au loup avec eux ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai une heure durant le week-end pour me relaxer, plutôt que de vérifier mes messages, je mettais une belle musique et je me laissais emporter par sa beauté ?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je rencontre une nouvelle personne, plutôt que de me renseigner sur elle grâce à Facebook en rentrant chez moi, je risquais l’aventure et le mystère de la découvrir en passant vraiment du temps avec elle ? »

Ce n’est pas qu’Internet soit mauvais en soi. Mais les bienfaits d’Internet ne doivent pas nous faire oublier que la vie est courte, que le monde est vaste, et qu’il y a beaucoup de choses importantes et intéressantes à faire !!

Nous sommes des êtres de sang et de chair ; nous avons un corps physique ancré dans le monde réel, où nous avons une vie à accomplir.

Cela demande de la force, du courage, de l’énergie. Soyez audacieux ! Libérez-vous ! Ne vous contentez pas d’une vie semi-artificielle via Internet et Facebook.

Exigez des expériences intenses, des amitiés vraies, du sport et de l’amour physiques et réels !!

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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santé nature

LES CHELATEURS : Il nous faut faire sortir les métaux lourds, ces poisons qui nous tuent à petits feux. Nous allons voir maintenant tous les produits permettant d'extirper ces poisons. Le DMPS : L'acide 2,3-dimercapto-1-propanesulfonique (DMPS) et son...

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santé nature innovation

Fumer des cigarettes était autrefois considéré comme inconvenant pour les femmes.

Ce qui n’arrangeait pas du tout les fabricants de cigarettes.

Voici comment ils s’y sont pris pour les persuader de se mettre, elles aussi, à fumer.

« J’ai de la chance, je suis fine grâce à la cigarette »

C’est la marque de cigarettes Lucky Strike qui frappa un « grand coup » en 1929 en lançant la première campagne de publicité pour des cigarettes destinées aux femmes.

« Lucky Strike » veut dire en américain « coup de chance ». La marque fit un jeu de mots autour de cela et publia des affiches représentant une jeune femme expliquant qu’elle était une « fille chanceuse » (Lucky girl) parce qu’elle avait trouvé « un nouveau moyen de garder une silhouette élancée » :

Cigarette

En 1929, la première publicité Lucky Strike
visant à promouvoir la cigarette chez les femmes.

Le secret de cette « fille chanceuse » ? « Chaque fois que je suis tentée de prendre un bonbon, j’allume une Lucky Strike. C’est incroyable comme le goût subtilement grillé me satisfait… J’ai vraiment de la chance ! », explique-t-elle.

L’argument du tabac qui fait perdre du poids en coupant l’appétit et en dissuadant de grignoter ne date pas d’hier. Il a été inventé par les cigarettiers eux-mêmes, pour convaincre les femmes de s’y mettre !

Cette campagne eut un grand succès mais elle finit par s’essouffler. Dans les années 60, il fallut trouver une nouvelle approche.

Exploiter le féminisme pour faire fumer

Selon le sociologue Thomas Franck, spécialiste de l’histoire de la publicité, les publicitaires découvrirent alors un créneau encore meilleur que la ligne : le féminisme.

Jusque dans les années 50, en effet, l’idéal de la femme véhiculé par la publicité était l’image de la femme au foyer, bonne épouse et bonne mère de famille.

Le problème énorme pour les industriels était que, parmi les vertus de la bonne mère de famille, figurait en bonne place le sens de l’économie, de la bonne gestion des deniers conjugaux. Par son sens pratique, ses dons en cuisine, en couture qui lui permettaient de repriser les chaussettes, recouper ses robes, la femme vertueuse avait la malheureuse habitude de consommer le moins possible :

cigarette

Il était urgent de sortir de cela pour augmenter les ventes de produits en tout genre.

En jouant sur la corde féministe, en encourageant les femmes à se « libérer », à « rejeter les conventions », à « s’affirmer », les publicitaires découvrirent un véritable gisement de consommation nouvelle.

Le lancement de la cigarette féminine

La campagne féministe la plus connue des années 60 fut montée par la firme de publicité américaine Leo Burnett, celle précisément qui créa le cowboy Marlboro.

Le slogan de la campagne était : « Tu en as fait du chemin, ma belle ». (You’ve come a long way, baby). C’est une allusion directe au trajet parcouru par les femmes pour la conquête de leurs droits.

La campagne représentait les mésaventures (inventées) d’une femme qui, en 1913, aurait été jetée d’un train pour avoir été surprise en train de fumer une cigarette :

cigarette

Cette publicité est une référence aux autres combats pour les « droits », par exemple ceux des Noirs américains exclus d’un bus à cause de leur couleur de peau.

Mais désormais les temps ont changé, les femmes ont conquis des droits et peuvent enfin fumer librement. Il serait donc trop bête de ne pas user de ce droit conquis de haute lutte !

Une femme bientôt président des USA

Les publicitaires de Leo Burnett eurent aussi l’idée de valoriser les femmes en leur promettant, ce qui était très audacieux à l’époque, qu’une femme se présenterait bientôt à la présidence des Etats-Unis.

Cela restait du domaine de l’utopie mais d’ici là, assuraient-ils, elles pouvaient déjà jouir d’un des tout derniers droits conquis, à savoir le droit de… fumer des cigarettes Virginia Slims :

cigarette

Traduction : « Un jour, une femme se présentera aux élections présidentielles. Mais d’ici là, vous avez les cigarettes Virigina Slims, le goût pour les femmes d’aujourd’hui. »

« Les femmes sont biologiquement supérieures aux hommes »

De façon plus directe encore, ils firent des affiches déclarant carrément que « les femmes sont biologiquement supérieures aux hommes », et c’est pourquoi des cigarettes sont faites spécialement pour elles :

cigarette

Je vous traduis le texte de cette publicité :

« Nous fabriquons les Virginia Slims spécialement pour les femmes, parce qu’elles sont biologiquement supérieures aux hommes. 

C’est bien ça, supérieures. Les femmes sont plus résistantes à la famine, la fatigue, les épreuves, les chocs et les maladies que les hommes.

Les femmes ont deux chromosomes dans leurs cellules sexuelles, alors que les hommes ont seulement un X et un Y… que certains experts considèrent comme la forme inférieure du chromosome.

Elles sont également moins enclines que les hommes à être chauves, albinos, à avoir des glandes sudoripares mal développées, daltoniennes, myopes, avoir des problèmes d’émail dentaire, de décollement de la rétine et des touffes blanches dans les cheveux.

Vu tous ces faits, et bien d’autres, les fabricants des cigarettes Virginia Slims estiment hautement inapproprié que les femmes continuent à utiliser les cigarettes épaisses et grossières créées pour les hommes.»

Dans une publicité à la radio pour les cigarettes Virginia Slims, une voix d’homme disait :

« Il y a peu, vous les femmes, vous n’aviez aucun droit. Pas le droit de vote, pas le droit de propriété, pas le droit au salaire que vous aviez gagné. C’était à cette époque où vous étiez corsetées, prisonnières, et abandonnées sans grand chose à faire. C’était l’époque où vous deviez vous cacher dans le grenier si vous vouliez une cigarette. Fumer en face d’un homme ? Dieu m’en garde ! [1] »

Avec une impudence incroyable, ces publicitaires ont donc fait appel au sens de l’indépendance et de la dignité des femmes pour les encourager à fumer, mettant sans gêne sur le même plan l’absence de droit de vote et le fait de ne pas fumer !

La « libération » passe avant tout par la consommation

Thomas Franck estime que dans les années 60 le combat féministe ne fut présent nulle part ailleurs autant que dans les publicités.

Ce ne sont pas les livres de Simone de Beauvoir, selon lui, qui firent la popularité de ces idées, mais la foule avide des publicitaires et industriels qui exploitèrent le féminisme à toutes les sauces pour vendre leurs produits.

Ainsi cette publicité télévisée qui, comme tant d’autres, représente le passé comme une époque d’oppression de la femme. Puis, tandis que parle la voix du présentateur, la femme sort une paire de ciseaux et, jetant un regard complice à la caméra, commence à se « libérer du passé » en découpant ses vêtements.

Surprise, une fois enlevée sa robe conformiste, on la découvre habillée à la dernière mode avec des bas affriolants et des chaussures à talons couleur pétante. Et, puisque la « libération » passe avant tout par la consommation, elle lâche ses cheveux et se compose une nouvelle coiffure avec une laque dernier cri, se met du mascara, des boucles d’oreilles fantaisie, prend son sac à main, son magazine féminin, ses lunettes de soleil, et part en trombe au volant d’une petite voiture décapotable, sans oublier bien sûr la musique Rock’n Roll et… la cigarette Virginia Slims !

« Tu en as fait, du chemin ! » (You’ve come a long way, baby), s’exclame à nouveau la voix d’un homme admiratif.

Et en effet, rien ne pouvait faire plus plaisir aux industriels et publicitaires que d’avoir réussi à transformer la volonté d’émancipation des femmes en un concentré de fièvre consommatrice.

« Rebellez-vous, achetez mon produit ! »

Peu d’entre nous se souviennent encore de la campagne pour les cigarettes Virginia Slims, mais elle eut un retentissement immense, qui perdure encore aujourd’hui [2].

Toute l’industrie de la publicité s’est engouffrée dans cette voie, chacun essayant de présenter son produit comme le moyen ultime de se « libérer » de toutes les oppressions.

Les publicitaires avaient découvert la « martingale », qui sert encore à plein aujourd’hui pour toutes les catégories de la population, à commencer par la jeunesse, appelée constamment à se « libérer » voire à se « rebeller » en… s’équipant de telle paire de baskets, casquette, casque audio, chaîne, pochette, bague, cosmétique, en achetant tel jeu, en buvant tel soda ou en mangeant telle cochonnerie.

La plus belle ruse des publicitaires bien sûr est d’avoir réussi à faire croire que ce mouvement émanait « spontanément » de la jeunesse (ou tel autre groupe social) qui, un beau matin, aurait brusquement éprouvé le besoin de manifester son « identité » ou sa « rébellion » en achetant tel ou tel produit.

C’est bien entendu dans le sens exactement inverse que cela se passe.

Les malheureux « rebelles » et autres « caille-ras » qui hantent nos centres commerciaux, nos quartiers, nos lycées, sont les victimes collectives des mêmes mythes montés de toutes pièces par l’industrie de la publicité et des médias. Convaincus d’exprimer leur individualité propre et sauvage, ils cherchent tous à ressembler aux mêmes rappeurs, footballers et autres stars de la téléréalité qui, « étrangement », poursuivent le même idéal d’esthétique et de consommation à tout crin.

Couverts de produits de mauvaise qualité vendus à des prix exorbitants parce que porteurs des marques fétiches, ce sont les victimes ultimes de la publicité prédatrice.

Leur vie tout entière est dirigée vers l’acquisition méthodique de ces symboles de consommation dont on les a persuadés que, sans eux, ils ne valent rien, leur vie ne vaut rien.

Nous ne dirons donc pas merci aux publicitaires qui se sont rendus responsables, par leurs manœuvres, de l’épidémie de cancer du poumon qui, désormais, touche aussi de plus en plus les femmes.

Mais nous ne leur disons pas non plus merci pour ce qu’ils ont fait de la jeunesse, et en fait de tant de groupes dans la société qui sont persuadés de « marquer leur différence » parce qu’ils sont les esclaves de telle ou telle marque.

Pour une authentique « libération », il faut avant tout se libérer des illusions et des pièges ! Cela passe par une sérieuse réflexion sur les choix qui guident nos vies, à commencer par les idéaux que nous poursuivons. « On juge un arbre à ses fruits », dit le sage. Alors oui, apprenons à nos enfants à juger des conséquences pour eux de l’adhésion à tel ou tel idéal.

Lorsque, pour y adhérer, la principale chose à faire n’est pas de penser, de lire, ni de réfléchir mais de sortir la carte de crédit, il faut leur apprendre à se dire : « Méfiance ! ».

À votre santé,

Jean-Marc Dupuis



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Natural Health Advisory

Depression ManagementFatigue, Lack of Energy

Fatigue is a common symptom in people with medical conditions like cancer and diabetes, mood disorders like depression and anxiety, and even in people who are otherwise “healthy”.  Yet despite how prevalent it is, medical researchers still do not completely understand what happens in the body to cause fatigue. They hypothesize that fatigue typically results from a complex set of interacting factors, rather than a single cause. A number of these factors have now been identified and studied.  Here we take a look at five of the most common fatigue causes.

The top five fatigue causes:

  1. Stress.  Chronic stress often leads to dysregulation of the body’s stress systems and is a common underlying cause of chronic fatigue.[1] The popular term “Adrenal Fatigue”, with its focus on the adrenal glands and cortisol production, is often used to describe this unhealthy reaction to chronic stress.  However, “Adrenal Fatigue” does not take into account the complex system of interconnected events involved in the stress response. The brain, nervous system, endocrine (hormonal system), and immune system are all key components, in addition to the adrenal glands. In particular, the hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis and the sympathetic nervous system (SNS) are the primary regulatory centers.  Fatigue is a common consequence of excessive, prolonged or inadequate regulation of these stress response systems.[2] Find tips on beating stress here.
  2. Poor nutrition/digestion.  Nutrition and digestive issues such as nutritional deficiencies, food allergies, blood sugar dysregulation, and excessive permeability in the lining of the intestines can all cause fatigue. Those suffering from fatigue are commonly eating a poor quality diet (low in fruits and vegetables; deficient in vitamins, minerals, and phytonutrients; excessive in high-glycemic, high-fat, high-inflammatory foods). In addition, fatigue sufferers have been found to have more digestive symptoms linked to altered intestinal bacteria (such as not enough acidophilus) and abnormal function of the intestinal lining (aka “leaky gut”) compared to non-fatigued individuals.[3] Learn more about leaky gut syndrome here: 5 Top Reasons You Might Have Leaky Gut Syndrome and Feel Tired All the Time or Have Depression Symptoms.
  3. Hormone imbalances.  Fatigue may result from low or imbalanced levels of common hormones such as thyroid, testosterone, estrogen, and progesterone.  Low thyroid hormone levels resulting from autoimmune thyroid disease is one of the most common hormone-related disorders, and fatigue is the main symptom of hypothyroidism. In women, menopausal symptoms such as night sweats are notorious for causing fatigue [4], while in men testosterone deficiency as a cause of fatigue is now being recognized more than ever before.[5]
  4. Anxiety and depression.  Mood disorders such as depression and anxiety, the most common mental health disorders in the US, either cause or are strongly associated with fatigue and daytime sleepiness.  The majority of people with depression suffer from fatigue. In fact, fatigue is one of the most common symptoms of depression that patients complain to their healthcare providers about.  In one recent study, more than 90 percent of patients with major depression had severe fatigue despite the fact that more than 80 percent of these patients were already taking antidepressant medications.[6] Depression-related fatigue is often associated with impaired concentration, irritability, and reduced productivity.
  5. Sedentary lifestyle and deconditioning.  Being highly sedentary increases the risk of chronic fatigue. Not getting enough exercise and physical activity causes deconditioning of the body’s musculoskeletal and cardiovascular systems and depresses mood, all of which lead to fatigue. Studies show that the more regular physical activity you get, the more likely you are to feel energetic. Exercise has been shown to help reverse fatigue associated with all kinds of medical conditions, from cancer to autoimmune diseases to depression.[7] Find more reasons to exercise here.

So if you are currently “feeling sleepy all the time” which of these top fatigue causes do you think applies to you? You may need to engage the services of a qualified integrative physician to help you sort through these various fatigue causes, run the necessary tests and develop a strategy that deals with the root cause of your persistent tiredness. Understanding what these possible root causes are is the first step to recovery.


[1] Silverman MN, Hein CN, et al. Neuroendocrine and immune contributors to fatigue. PM R. 2010 May; 2(5): 338–346.

[2] Papadopoulos AS, Cleare AJ. Hypothalamic-pituitary-adrenal axis dysfunction in chronic fatigue syndrome. Nat Rev Endocrinol. 2011 Sep 27;8(1):22-32.

[3] Lakhan SE, Kirchgessner A. Gut inflammation in chronic fatigue syndrome.  Nutrition & Metabolism 2010, 7:79.

[4] Alexander JL, Neylan T, et al. Assessment and treatment for insomnia and fatigue in the symptomatic menopausal woman with psychiatric comorbidity. Expert Rev Neurother. 2007 Nov;7(11 Suppl):S139-55.

[5] Moncada I. Testosterone and men’s quality of life. Aging Male. 2006 Dec;9(4):189-93.

[6] Ferrentinos P, Kontaxakis V, et al. The Fatigue Questionnaire: standardization in patients with major depression. Psychiatry Res. 2010;177(1):114–119.

[7] O’Connor PJ, Puetz TW. Chronic physical activity and feelings of energy and fatigue. Med Sci Sports Exerc. 2005 Feb;37(2):299-305.

 

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Natural Health Advisory

Depression Management

3 Natural Remedies for Panic Attacks Backed By Medical ScienceMedical research has confirmed 3 notable causes of panic attacks and anxiety in women: serotonin deficiency, low vitamin B6 levels, and low iron levels. By using the natural remedies for panic attacks and anxiety described below, you can treat the underlying root cause of these mood disorders and get lasting relief.

Natural Remedies for Panic Attacks and Anxiety #1 – 5-HTP

Since inadequate serotonin levels in the brain induce depression, anxiety, and pain attacks in women, the real issue is how to increase serotonin naturally. The compound known as 5-HTP is a serotonin precursor produced by the body. And research has confirmed that 5-HTP has true antidepressant properties.[1]

5 Natural Antidepressant Strategies. Discover safe and totally natural strategies to help your brain recover your body's natural good-mood chemistry in our report 5 Ways to Solve the Depression Dilemma. It's free!

The seed pods of a West African plant called Griffonia simplicifolia contain 5-HTP which are formulated into supplements. Maximum serotonin response occurs when you take supplemental 5-HTP on an empty stomach between 3:00 and 4:00 p.m. and again at bedtime. Start off with the lowest dose – 50 mg – take at each of those times with 4 ounces of juice.

After an initial three days of 5-HTP at 50 mg twice daily, increase the dosage to 100 mg at each of the two times and stay at that level. If this doesn’t do the job within four to six weeks, double the before-bed dose to 200 mg. Also, make sure to take a good B-complex vitamin during the day (see below). B vitamins are cofactors for 5-HTP metabolism.

Warnings

Though having too little 5-HTP is not good for you, taking too much 5-HTP can lead to harmful consequences as well. You should consult with a healthcare professional to know which dose is best for your needs. 5-HTP may not be appropriate for all types of anxiety and depression and may not be compatible with certain types of depression medication. If you are taking an anti-depressant SSRI drug, consultation with a healthcare practitioner is strongly advised.

Natural Remedies for Panic Attacks and Anxiety #2 – B Vitamins

The B vitamin deficiencies most often linked to panic attacks, anxiety and depression are B6, B9, and B12.[2] Food sources of these B vitamins include:

  • B12: Wild salmon, halibut and shrimp, grass-fed beef (especially beef liver), lamb, venison, eggs and yogurt.
  • B6 (Pyridoxine): Chicken, turkey, tuna, shrimp, beef liver, cheese, beans, spinach, carrots, brown rice and sunflower seeds.
  • B9 (Folic Acid): Spinach and other green, leafy vegetables, asparagus, turnips, beets, Brussels sprouts, avocadoes, beans, beef liver, salmon, and orange juice.

How to Take B Vitamins as Natural Remedies for Panic Attacks and Anxiety

B12: B12 can be given as an injection (called cyanocobalamin injections) or as a nasal spray by an integrative physician. Doctors typically administer injections in doses of 1000 micrograms. Initially, an injection cycle of eight to 10 administrations over the first two to three months is recommended, followed by a decrease in the frequency once you have achieved a therapeutic effect.

If you object to injections, oral supplementation with vitamin B12 is safe, efficient, and inexpensive. Most multivitamin pills contain 100 to 200 micrograms of the cyanocobalamin form of B12. This must be converted to methylcobalamin or adenosylcobalamin before it can be used by the body.

The actual absorption of B12 is a problem with supplements; therefore, to increase absorption, B12 should be taken along with the other B vitamins. But, another effective approach is to dissolve a sublingual tablet of methylcobalamin (1000 micrograms) under the tongue once or twice every day. This form of sublingual B12 is readily available as an inexpensive supplement.

Since B12 is so important yet hard for the body to absorb in the digestive track, many alert consumers take a sublingual B12 along with their regular B complex supplement.

B6: Vitamin B6 is also sold under the names pyridoxal, pyridoxamine, pyridoxine hydrochloride, and pyridoxal-5-phosphate and can be found in oral supplements and liquid drops. Adults ages 19 to 50 years require 1.3 mg of B6 daily. Women 51 years and older require 1.5 mg daily. Pregnant and breastfeeding women require 1.9 mg daily.

B9: Vitamin B9 (folic acid) works with vitamins B6 and B12 and other nutrients to control blood levels of the amino acid homocysteine. It also works best when it is taken along with the other B vitamins; thus, taking a B vitamin complex supplement is best. Adults require 400 micrograms of folic acid per day. Pregnant women require 600 micrograms per day and breastfeeding women require 500 micrograms per day.

Natural Remedies for Panic Attacks and Anxiety #3 – Iron

Like the B vitamins, iron plays an important role as a cofactor for the synthesis of serotonin. Having low iron levels can lead to anemia and has been associated with fatigue, weakness, depression, anxiety and panic attacks.[3] According to the World Health Organization, iron deficiency is the number one nutritional disorder in the world.

Women ages 19 to 50 require 18 mg of iron daily as iron deficiency is often caused by menstruation. Post-menopausal women and men require 8 mg of iron daily.

Warnings

Iron is a tricky mineral. While having too little iron is associated with panic attacks and can lead to anemia, having too much iron in the body can lead to a condition known as hemochromatosis, which can cause diabetes, liver damage, and discoloration of the skin. Unlike other nutrients, excess iron cannot be excreted by the human body. Therefore, you should always ask your doctor to measure your iron levels though lab testing and you should never take iron supplements on your own. Also, iron should never be given to infants, children, pregnant or breastfeeding women except under the direction of a doctor.

Other Natural Remedies for Panic Anxiety, Anxiety and Depression:

Serotonin deficiency and vitamin/mineral deficiencies are not the only causes of altered mood. For example, dopamine is another neurotransmitter that actually serves to stimulate the brain. Before beginning a supplement regimen, it is important to learn the true underlying cause of your depression, anxiety and panic attacks. A DIY guide to identifying your own underlying causes of depression and anxiety is found in our Comprehensive Guide, Natural Remedies for Depression: Beating Depression Without Drugs.

 *If you are taking any prescription medications, do not begin a supplement regimen without talking with your doctor.

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4 huiles bonnes pour la santé

Vous savez que, finalement, les graisses ne sont pas aussi mauvaises pour la santé qu’on le croyait.

Les graisses végétales cuites, ou pire, brûlées, sont toxiques ou cancérigènes, tout comme les graisses animales trop chauffées au barbecue.

Les graisses d’animaux qui ont mangé des granulés, des farines et du soja transgénique toute leur vie ne sont évidemment pas bonnes pour la santé non plus.

Mais il n’empêche que notre corps a besoin de graisses. Les graisses sont indispensables pour construire les parois de nos cellules, en particulier de nos neurones (notre cerveau est fait à 80 % de graisses) et elles servent à fabriquer de nombreuses substances vitales comme les hormones. Certaines sont même capables de protéger contre les maladies cardiaques en diminuant le niveau d’inflammation et la pression sanguine.

Encore faut-il que ce soient de bonnes graisses.

Vous savez évidemment que les huiles de colza et de noix sont bonnes pour vous, ainsi que les huiles de poisson (non oxydées) car elles contiennent toutes des oméga-3, c’est-à-dire des acides gras « essentiels » que notre corps ne peut pas fabriquer lui-même.

Je parle souvent des bienfaits de l’huile de coco vierge, un « super-aliment » qui peut servir à tout, bien au-delà de ses usages cosmétiques.

L’huile d’olive a excellente réputation. Pourtant, elle ne contient pratiquement que des oméga-9 (acides gras monoinsaturés) qui ne sont pas essentiels : nous n’en manquons absolument pas dans notre alimentation.

Il existe d’autres huiles intéressantes, et dont vous n’avez peut-être pas beaucoup entendu parler. Plusieurs viennent de l’autre bout du monde et ne sont donc nullement « locales ».

Elles sont à consommer en petites quantités, à raison d’une cuillère a café par jour en guise de complément mais en aucun cas à la place des huiles de table mentionnées ci-dessus.

Le Ghee (ou ghi)

Ghee (prononcer ji) vient d’un mot hindou qui signifie « graisse », et c’est un ingrédient majeur dans la cuisine indienne.

Le ghee est préparé en faisant mijoter du beurre non salé dans un grand pot jusqu’à ce que toute l’eau se soit évaporée et que les protéines aient sédimenté au fond. Le beurre clarifié est ensuite retiré à la cuillère pour éviter de le mélanger avec les particules solides. À la différence du beurre, le ghee peut être conservé durant de longues périodes sans réfrigération du moment qu’il est stocké dans un conteneur étanche pour éviter l’oxydation et les moisissures. Il a un léger goût de noisette, et est un peu plus foncé que le beurre.

Attention, il existe une imitation de ghee utilisée dans certains restaurants indiens, qui est faite à base d’huile végétale hydrogénée. Ce « beurre clarifié végétal » est très riche en acides gras trans qui augmentent le risque de cancers et d’infarctus, et doit être évité à tout prix.

Les recherches montrent que le ghee a des effets positifs sur les lipides sanguins [1]. Il réduit l’inflammation. Une étude menée dans les populations rurales du Rajasthan a constaté que les hommes qui mangent deux cuillères à soupe par jour de ghee diminuent leur risque cardiaque de 23 % [2].

Bien que le ghee ne soit pas un produit de grande consommation, il n’est pas très difficile à trouver en boutique de produits exotiques et en boutique bio. On peut aussi le fabriquer soi-même et le commander en ligne. Une simple recherche avec les mots clés « acheter du ghee » fera apparaître de nombreuses offres.

Une lectrice m’a envoyé sa recette maison, que j’ai essayée et dont je confirme l’efficacité :

« Je mets mon beurre dans une casserole sur thermostat « 1 », (le plus bas possible) pendant 30 minutes. Le beurre fondu ne doit jamais changer de couleur et doit donc rester limpide, de la même couleur que le beurre choisi. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il a trop chauffé. Il est vrai qu’un peu de dépôt se forme au fond de la casserole mais il y a surtout de la mousse blanche qui se forme à la surface et qui finit par se solidifier. On peut alors l’enlever facilement avec une écumoire. Pour un ghee très pur, je le passe dans un filtre à café. Aeinsi, je peux le garder hors du frigo pendant des mois, il ne bouge pas. Même en Inde, je n’ai jamais vu une autre façon de le faire : ni four, ni frigo. » [1]

L’huile d’avocat

L’huile d’avocat est, comme l’huile d’olive, très riche en acides gras mono-insaturés.

Sa particularité, cependant, est d’être beaucoup plus riche que l’huile d’olive en oméga-7 (acide palmitoléique) et contient plus d’oméga-3 (0,95 g pour 100 g).

Très riche en vitamine E, qui est l’antioxydant naturel des huiles végétales, elle est très résistante à l’oxydation, se conserve extrêmement bien et montre une très bonne stabilité face à la cuisson. Le point de fumée (température à laquelle une huile se dégrade et produit des composés toxiques) est supérieur à 250°C, ce qui en fait une des huiles les plus résistantes qui soient.

Toutefois, l’utiliser crue reste la meilleure façon de préserver ses nutriments. Vous pouvez trouver de l’huile extra-vierge d’avocat, pressée à froid et biologique, en ligne ou dans votre magasin bio.

Huile MCT

L’huile MCT est une huile liquide à base d’acides gras à chaîne moyenne (MCT = Medium Chain Triglycerides). Ce sont les graisses que notre corps consomme pour fournir de l’énergie.

Si vous suivez un régime cétogène pour lutter contre un cancer, l’huile MCT aide votre corps à passer en mode de cétose. Cela veut dire qu’il utilise les acides gras, et non le glucose, comme source d’énergie. Le résultat est que les cellules cancéreuses ont plus de difficultés pour survivre. Ceci parce qu’elles ont l’habitude de fonctionner en mode de fermentation, ce qui n’est possible qu’avec le glucose.

A noter que l’huile MCT est aussi vendue en pharmacie pour les personnes qui ont des maladies qui les empêchent de bien absorber les lipides, comme la mucoviscidose et les maladies chroniques du foie.

Vous ne trouverez pas d’huile MCT dans la plupart des magasins. Il faut commencer par la consommer en petite quantité. Elle a un effet laxatif. Essayez d’en mettre un peu avec votre salade pour commencer.

L’huile de macadamia

C’est ma préférée. L’huile de macadamia a une odeur délicate qui relève délicieusement les assaisonnements et les sauces. Elle résiste aussi à l’oxydation liée à la chaleur. Vous pouvez donc l’utiliser dans la poêle comme dans la cuisine.

Comme l’huile d’avocat, elle a une très forte teneur en acide gras mono-insaturés, supérieure à l’huile d’olive, et est extrêmement stable. Elle a aussi un goût plus neutre.

Son inconvénient énorme : elle est hors de prix, malheureusement. Je ne l’utilise donc qu’exceptionnellement.

Essayez d’ajouter un ou plusieurs de ces produits gras à votre régime alimentaire. Cela peut vous apporter des bienfaits pour le cœur et pour les papilles, car il est important de savoir varier les plaisirs, surtout quand on mange sain.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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Je voulais réagir aujourd’hui sur un sujet que certains de mes lecteurs abordent régulièrement. En effet, en fonction de tel ou tel produit, la question revient souvent : est-ce compatible avec mon type de peau ?

Au fond, c’est un réflexe plutôt logique. La plupart des cosmétiques du commerce propose des crèmes pour peaux grasses ou encore des soins hydratants pour peaux sèches. Astuce marketing ou réalité physiologique ?

Un peu des deux, mais pour être tout à fait franc, la balance penche plus volontiers du côté du marketing. C’est un argument de poids pour vous vendre toujours plus de produits…

Alors certes, les pores de la peau sont parfois bien visibles sur le visage tout entier. La peau est alors épaisse, huileuse. Elle a tendance à briller rapidement même après un nettoyage en bonne et due forme. Ce sont là tous les symptômes de la fameuse « peau grasse » avec ses excès de sébum qui nous renvoient à notre adolescence.

À l’inverse, une peau sèche est beaucoup plus fine et comme rugueuse au toucher. On a l’impression qu’elle se froisse même quand on la caresse. Cette sensation peut arriver quand la peau a été brûlée par le soleil ou en l’absence prolongée de soin. Mais honnêtement, connaissez-vous beaucoup de personnes qui ont une peau de ce type-là de façon « chronique » ?

En réalité, dermatologiquement parlant, une vraie peau sèche ça ne court pas les rues. C’est la peau déshydratée qui est plus courante ! Quant aux peaux de vache, pour celles-là même les meilleurs cosmétiques ne pourront rien y faire ! Plus sérieusement, nous avons majoritairement une peau mixte, c’est-à-dire entre les deux, une peau « normale » en somme, si tant est que l’on puisse parler de normalité. Comprenez par-là qu’en dehors de l’argument marketing, le problème de votre type de peau n’a finalement pas grand sens.

Il s’agit ici de généralités peu importantes et pour bien faire il vaut mieux se pencher sur la sensibilité de la peau et sur son taux d’hydratation. Avec des critères plus précis comme ceux-là, on peut alors trouver ou fabriquer des soins qui soient véritablement personnalisés. Chercher à se ranger à tout prix dans des catégories aussi vagues que le type de peau, c’est oublier que chaque peau est unique.

Ainsi, une peau grasse peut par exemple être tout à fait déshydratée. Les deux notions sont loin d’être incompatibles. C’est un peu comme la question des produits pour hommes et des produits pour femmes.

Alors certes, la peau des hommes est souvent plus épaisse. En général, elle sécrète plus de sébum, mais aussi plus de sueur. Cela dit, pensez-vous sérieusement que tous les hommes ont la même peau ?

Au final, le seul facteur commun à toutes les peaux, c’est la fameuse trinité « nettoyage, hydratation et protection ». Ces gestes-là, toutes les peaux devraient pouvoir en bénéficier. De là à devoir utiliser des produits différents en fonction du type de peau ou du sexe de la personne ? Pas forcément !

C’est pourquoi la majorité des recettes que je vous propose ne se préoccupe pas trop de la question du type de peau.

Retenez simplement ceci :

La peau très grasse doit éviter les détergents agressifs et l’alcool dans les produits (qui excitent la sécrétion sébacée), ainsi que les huiles comédogènes (paraffine, petrolatum, huile de ricin, coco, germe de blé, amande douce… [1]).

La peau chroniquement sèche doit éviter les détergents agressifs et l’alcool aussi, car ces éléments favorisent aussi la perte en eau et peuvent irriter. Elle doit penser à exfolier de temps en temps en douceur (gommages à grains très fins ou acides de fruits), et nourrir la peau avec de bons corps gras (huiles de bourrache, onagre, amande douce, et beurres de karité, de mangue… [2])

Cessez donc de faire confiance au langage des emballages qui tient souvent du lavage de cerveau et écoutez plus volontiers votre peau. Vous gagnerez du temps et peut-être même de l’argent.

Amicalement,

Julien Kaibeck

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Un carnage. Sept cadavres déjà froids retrouvés sous les arbres, dans les fossés, au milieu des poireaux dans le potager. L’un a été décapité.

Pas un seul survivant.

Le coupable est en cavale. L’enquête piétine. Le procureur a déclaré qu’il ne ferait aucune déclaration. Il appelle néanmoins la population à garder son calme et à éviter tout amalgame.

En l’absence d’élément formel, impossible selon lui de connaître le mobile de l’agresseur. La piste terroriste est toutefois écartée.

Les voisins ont voulu exprimer leur solidarité en organisant une « marche blanche ».

« On ne les fera pas revenir, mais l’important est de tirer des leçons de cette tragédie », a déclaré un voisin qui souhaite rester anonyme. « Il faut agir pour que cela ne se produise jamais. »

Selon le maire de la commune, « Tout ce sang versé donne une très mauvaise image de notre ville. Mais les gens doivent savoir que ce n’est pas représentatif de notre commune paisible et sans histoire. »

Reste que la famille Dupuis est lourdement affectée par le sauvage assassinat de Nicole, Jacquotte, Coccinelle, Rosalie, Bergamote, Cerise et surtout, notre bien-aimé Elvis, roi du poulailler.

Coq
Avis de décès de Elvis, coq de race New-Hampshire,
sauvagement assassiné dans la nuit du 13 mai 2016,
avec les six poules de la famille Dupuis.

Sans interférer avec la justice et sans stigmatiser personne, il me semble malgré tout que l’identité du coupable fait peu de doute :

  • Les faits se sont déroulés en pleine nuit et en quelques minutes ;
  • L’assassin a fait preuve d’une intelligence étonnante, trouvant à s’introduire dans un poulailler qui était pourtant, pensions-nous, totalement sécurisé ; il n’y a aucun trou dans la clôture, un grillage par dessus pour éviter les effractions par escalade, et même un fil électrifié ;
  • Enfin, il a manifestement tué pour le seul plaisir de tuer : il a tué toutes nos poules, mais n’en a mangé aucune. L’assassin ne semble avoir fait que s’amuser à emporter ses proies aux quatre coins du jardin pour les tuer, puis les abandonner sur place.

Ce faisceau d’indice m’a donc conduit à porter mes soupçons sur l’individu ci-dessous, dont je tairai néanmoins l’identité par respect de la loi sur la présomption d’innocence.

Renard
Le coupable présumé de l’odieux assassinat.
Le visage a été flouté pour respecter la loi sur la présomption d’innocence.

Le renard prend-il plaisir à tuer ??

On entend souvent dire que l’homme est le seul animal qui tue pour le plaisir, les animaux étant censés se contenter de tuer ce qu’ils sont capables de manger.

Mais il semble y avoir de regrettables exceptions à cette règle.

Le biologiste néerlandais Hans Kruuk a créé le terme « meurtre en surplus » ou « syndrome du poulailler » pour désigner le comportement répandu chez les prédateurs de tuer beaucoup plus qu’ils ne peuvent manger.

C’est un comportement que l’on retrouve chez les ours, les lions, les léopards, les loups, les renards, les hyènes, les blaireaux, les chiens, les chats, mais aussi chez une masse de tout petits animaux comme les acariens et le zooplancton.

Le phénomène se produit constamment et il est rare bien sûr qu’on ait l’occasion d’en mesurer l’ampleur puisqu’ils se produisent dans la nature sauvage.

Des chercheurs canadiens ont toutefois découvert les corps de 34 jeunes caribous tués par des loups sur une surface de 3 km2. Ils n’en avaient mangé aucun. [1]

En Australie, un seul renard a tué en quelques jours onze kangourous (wallabis) et 74 pingouins sans en manger un seul.

Dans la province du Cap en Afrique du Sud, un léopard a tué 51 moutons et agneaux d’un seul coup [2] !! Deux félins (des caracals) ont tué 22 moutons en une nuit, et n’ont mangé qu’un petit morceau d’une cuisse d’un seul mouton. [3] Un groupe d’hyènes a tué 82 gazelles et grièvement blessé 27, pour n’en manger que 12. [4]

En mars 2016, 19 cerfs morts ont été retrouvés tués par une meute de loup, qui n’en avait mangé aucun. [5]

Mais sans aller si loin, tout propriétaire de chat connaît la tendance de ces animaux pour tuer sans raison apparente, autre que de s’amuser ou « répondre à leurs instincts » :

Les chats domestiques aiment attraper les oiseaux, les lézards, les grenouilles, les mulots, même lorsqu’ils sont bien nourris. Une étude menée aux Etats-Unis a calculé qu’un chat domestique se promenant à l’extérieur tue en moyenne une proie toutes les 17 heures. Ils ne rapportent qu’un quart de leurs proies à la maison.

A l’échelle du pays, cela ne représente pas moins de 4 milliards d’animaux par an, dont 500 millions d’oiseaux. Selon le Dr. George Fenwick, président de l’association de protection des oiseaux (American Bird Conservancy), « les chats sont une des causes qui explique le déclin d’un tiers des espèces d’oiseau en Amérique ». [6]

Quant au renard, il ne mange que 300 g à 600 g par jour. Quand bien même il aurait tué nos poules pour se nourrir, une seule aurait dû lui suffire pour pratiquement une semaine, car elles pesaient chacune environ 2 kg…

Les experts expliquent qu’il tue ainsi tant d’animaux car il acquiert ainsi une « précieuse expérience de chasse ». Il s’entraîne, donc… Dommage qu’il ne puisse pas s’entraîner avec des poules en argile.

Cruauté de la Nature

On l’oublie si vite, dès qu’on cesse d’élever soi-même des animaux ou de cultiver ses propres fruits et légumes, mais la Nature est cruelle !

Bien souvent, les images idylliques de ce que nous appelons la « Nature » sont des paysages fleuris et arborés qui ont demandé à l’homme un travail inouï.

Jardin

Nos campagnes si riantes sous le soleil avec leurs haies, leurs prairies, leurs ruisseaux bien dessinés, leurs troupeaux, sont le fruit du travail de centaines de générations de paysans qui ont défriché, drainé, dépierré, aplani, amendé, irrigué, désherbé et enrichi la terre.

Foret

Nos forêts elles-mêmes sont surtout belles lorsqu’elles sont bien entretenues ; quand les plus beaux « sujets » ont été soignés, mis en valeur, pour manifester toute leur majesté :

Foret

Bref, la vie naturelle semble difficile à pratiquer naturellement.

Si l’on veut par exemple manger de bons œufs biologiques de poules qui ont gratté la terre et vécu la vie rêvée dans la nature, encore faut-il être plus vigilant encore que nous !!

C’est là tout le paradoxe des produits « naturels ». Il faut savoir se battre – et surtout se défendre ! – pour y avoir accès.

Ça n’a jamais été facile pour personne. On fait beaucoup de rêves, comme Perrette et la pot-au-lait, mais souvent, on récolte peu. Les prédateurs, les oiseaux, les insectes, et plus encore les champignons, bactéries et virus qui attaquent nos animaux d’élevage, nos légumes et nos fruits, prennent la meilleure part.

Je m’en vais donc refaire mon grillage. Cette fois, je vais l’enfoncer (encore plus) profondément. Le faire monter encore plus haut. Doubler le fil électrique.

Puis j’irai racheter des poules et un nouveau coq. Cela va me prendre quelques semaines avant de pouvoir à nouveau manger mes œufs, et remettre en route des portées de poussin qui assureront la succession des générations.

D’ici là, retour à la réalité, je retourne acheter mes œufs chez Carrefour… mais sans abandonner mes rêves.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis



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