Pages

Subscribe:

santé nature innovation

Maintenir nos bonnes résolutions pour 2022

Le mois de janvier touche à sa fin et je voulais savoir si, de votre côté, vous aviez réussi à tenir vos bonnes résolutions.

Je me permets de vous poser la question car la durée moyenne est, paraît-il, de huit jours.

C’est tellement dommage car suivre les bonnes règles de vie permet de gagner facilement dix ans de vie en bonne santé.

10 ans !!

C’est énorme.

Alors pourquoi n’y arrivons-nous pas ??

Le truc pour tenir ses bonnes résolutions

Je vais peut-être en énerver certains mais, bien que je sois nul pour tenir les bonnes résolutions, j’ai un truc pour y arriver quand même.

C’est un truc spécial, que je vais vous indiquer.

Mais pour que vous puissiez bien comprendre, je dois d’abord vous expliquer comment je l’ai découvert.

C’était il y a quarante ans, et c’était avec mon grand-père.

Cela remonte donc à mon adolescence.

J’étais nul en maths, je ne travaillais pas assez au lycée et j’avais décidé de “m’y mettre, enfin”.

Après un énième zéro qui m’avait vexé comme un pou, j’avais décidé de me donner à fond. J’allais travailler mes maths deux heures tous les soirs, jusqu’à ce que mes notes atteignent la moyenne de la classe – ou mieux.

Ma décision était prise, et rien ni personne ne pourrait entraver mes plans.

Seulement…

Seulement, je n’avais pas prévu que…

Le premier soir, ça n’a pas été possible. J’avais entraînement d’athlétisme et une rédaction pour le lendemain. En comptant le dîner, la douche, et une courte révision pour un devoir de sciences physiques, je n’avais aucune chance de faire mes deux heures de maths, ni même une heure, ni même une demi-heure. Je décidais de remettre mon projet au lendemain.

Mais le second soir, ça n’a pas été possible non plus : nous avions la visite de mon parrain, que j’adorais. Je ne voulais pour rien au monde manquer une soirée avec lui. Homme cultivé, je savais qu’il m’apprendrait des tas de choses intéressantes et je décidais, une seconde fois, de repousser mes deux heures de maths au lendemain.

Le troisième soir, je n’ai pas pu non plus car nous avions prévu de longue date une soirée théâtre ; j’avais cassé ma tirelire pour mon billet d’entrée, hors de question de tout gâcher. Peu importe, je reportais mes bonnes résolutions au lendemain:

Le quatrième soir, j’ai eu mal à la tête et je devais de toutes façons préparer un exposé en technologie et réviser une leçon d’allemand, plus un test de géographie. Impossible encore une fois…

Mais j’étais envahi par un immense sentiment de culpabilité.

Un immense sentiment de culpabilité

Décidément, j’étais vraiment trop nul. J’étais incapable de tenir mes engagements. Je manquais de volonté. Mon sentiment de paralysie débouchait sur une pénible sensation d’inadéquation, de dévalorisation de moi-même, presque une haine de ce que j’étais.

C’est alors que mon grand-père, comprenant ma détresse, est intervenu.

Il m’a expliqué avec un bon sourire que ce que je ressentais était tout-à-fait normal.

Mon erreur, m’a-t-il expliqué, est que je me comportais vis-à-vis de moi-même comme un tyran avec son esclave.

Je faisais comme s’il y avait un “bon” Jean-Marc, volontaire, puissant, fort, qui allait imposer sa volonté au mauvais Jean-Marc, le paresseux, le capricieux, le velléitaire, infatigable quand il s’agit de rire et de s’amuser, mais qui s’endort lamentablement dès qu’il ouvre ses manuels scolaires.

Ce n’est pas comme ça que ça marche, m’a-t-il dit.

Le secret de mon grand-père

En fait, il n’existe pas un bon et un mauvais Jean-Marc, m’a expliqué mon grand-père.

Il y a un seul Jean-Marc, qui est en gros toujours le même d’une semaine sur l’autre. Je n’avais pas la liberté de devenir, soudain, quelqu’un d’autre, et certainement pas un élève studieux faisant deux heures de maths tous les soirs.

Si je voulais changer, c’est de la réalité que je devais partir. Oublier mes rêves. Oublier la vie que j’aurais aimé avoir et ne regarder que l’existant.

Je devais tenir un carnet durant une semaine et calculer le temps précis que je consacrais véritablement aux mathématiques.

Le point crucial était de regarder en face, avec courage, la vérité de ma vie. C’est à partir de là que j’allais pouvoir me fixer des objectifs réalistes, sachant que l’être humain est réglé par ses habitudes et n’en change que tout doucement.

Après examen scientifique de mon emploi du temps, je ne pouvais espérer qu’augmenter ma cadence de travail de 25 %. Autrement dit, si je travaillais deux heures par semaine, je pourrais travailler trente minutes de plus, soit 2h30 par semaine, soit 21 mn par jour, et non 2 heures !

Minable, comme objectif ? Oui, minable, ou modeste si vous préférez.

Un objectif minable

Mais, aussi humiliant et douloureux à reconnaître pour moi, cela correspondait à mes forces de travail réelles, qui étaient effectivement très faibles à l’époque.

Car en réalité, mon calcul me révéla l’horrible vérité qui était que je ne travaillais même pas deux heures mais une heure par semaine.

Je me fixais donc de passer ä 1h15 par semaine, ce qui me paraissait vraiment minable.

Mais vu le peu d’efforts que j’étais habitué à fournir, travailler un quart d’heure de plus par semaine était déjà pour moi ambitieux, me dit mon grand-père.

Si j’y parvenais, il fallait que je prévoie une récompense pour continuer à me motiver, insista-t-il.

Mon grand-père me proposa le contrat suivant : pour un quart d’heures de maths supplémentaires, j’aurais le droit de faire une heure de mon activité préférée (à l’époque, c’était le vélo-cross).

Il fallait aussi étudier à l’avance ce que j’allais sacrifier dans ma vie pour faire de la place à ce quart d’heure supplémentaire de travail, qui ne pouvait pas uniquement empiéter sur mon temps libre, mon temps de repos, ni mes loisirs. Il fut décidé que j’aurais le droit de faire 5 minutes de Français en moins, sachant que j’étais bon dans cette matière.

Le changement, pour de vrai

Voilà, donc, comment je m’y suis pris. Et la bonne nouvelle est que cela a… marché.

Oui, j’ai vraiment réussi à faire ce quart d’heures de maths en plus. Avec la récompense, et la baisse de mon temps d’étude du Français, j’ai même trouvé ça avantageux. Et rapidement, j’ai décidé spontanément de passer à 1h30 de maths par semaine, selon le même principe.

Je n’ai pas trouvé ça si difficile, et j’ai pu encore augmenter d’un quart d’heures la semaine suivante. Je me suis aperçu que je n’avais pas besoin d’une si grosse “récompense” car j’ai commencé à trouver du plaisir à étudier. Au bout de six mois, je suis passé progressivement à 5 heures effectives de maths par semaine, ce qui me plaçait parmi les plus gros travailleurs de ma classe. J’ai rattrapé la moyenne, puis les rangs des meilleurs.

J’étais vraiment heureux et fier de moi. Mon grand-père me paraissait être un héros, un bienfaiteur de l’humanité.

Avoir le courage de regarder les choses en face

Mais lui ne voyait pas les choses ainsi. Il fallait au départ, m’expliqua-t-il, un courage énorme pour regarder ce que je faisais vraiment de ma vie.

Le simple fait d’oser faire un bilan sans concession de ce qu’on fait vraiment de son temps, de son énergie, est un obstacle presque insurmontable. C’est cela qui nous empêche de changer.

On a trop peur de ce qu’on va découvrir. On ne veut pas renoncer aux mensonges qu’on se fait sur soi-même, au mythe qu’on se raconte sur notre propre vie, à nos renoncements et à nos petites techniques d’évitement qui nous permettent de conserver une bonne image de soi.

Il me parla des Grecs de l’Antiquité qui rendaient un culte à Athéna, déesse de la Sagesse, qui est symbolisée par une chouette.

Pourquoi une chouette ?

Parce qu’elle a les yeux grand ouverts. Son regard n’est influencé ni par ses peurs ni par ses désirs. C’est ainsi qu’elle parvient à voir même dans les coins les plus sombres, dans les ténèbres…

Il m’expliqua que je devais essayer de regarder ma vie comme si j’étais une chouette. Regarder les choses en face froidement, sans émotions, sans détourner mon regard, même, et surtout, lorsque j’avais le plus peur de ce que j’allais découvrir.

Je pense que ce conseil est le meilleur que j’aie jamais reçu de ma vie.

The post Maintenir nos bonnes résolutions pour 2022 appeared first on Santé Nature Innovation.



from Santé Nature Innovation https://ift.tt/3u5cSdW

santé nature innovation

Epinards contre cancer

Enfin, la médecine officielle reconnaît ce que nos grands-mères savaient depuis toujours :

Les aliments riches en magnésium comme les épinards, les avocats, les haricots et les bananes, stimulent le système immunitaire et constituent donc une protection contre les infections et… et… et… le cancer !

Oui, le cancer !

Espèce de charlatan !! Vous voulez tuer les gens !

Depuis des années que j’écris sur la santé naturelle, j’ai été critiqué, dénigré, dénoncé, calomnié de toutes les façons possibles.

On me décrit comme un dangereux illuminé, un gourou, un charlatan, un irresponsable dispensant des conseils dangereux pour la santé.

Du magnésium contre le cancer, vous n’y pensez pas !! Pourquoi pas du bicarbonate de soude, de l’huile de palme, du vinaigre de cidre !!”

Et d’expliquer que, non, décidément, les seules mesures qui vaillent contre le cancer sont les chimiothérapies et le dépistage (surtout avec une bonne dose de rayons X).

Les chercheurs suisses s’en mêlent

Mais voilà que de braves chercheurs de l’Université de Bâle en Suisse ont établi que si.

Finalement, le niveau de magnésium dans le corps est un facteur déterminant de sa capacité à combattre les tumeurs et les infections.

Leur découverte vient d’être publiée dans la revue scientifique Cells, et elle pourrait avoir d’importantes implications pour les malades du cancer [1].

Les cellules tueuses T sont la principale arme utilisée par notre système immunitaire pour détruire directement les cellules cancéreuses. Cependant, des expériences menées en laboratoire montrent qu’elles ne sont efficaces que dans un milieu riche en magnésium. Plus spécifiquement, le magnésium active une protéine appelée LFA-1 qui ouvre des liaisons à la surface des cellules permettant aux cellules tueuses de s’accrocher aux cellules cancéreuses.

Augmenter l’efficacité des immunothérapies contre le cancer

Cette découverte pourrait donc augmenter l’efficacité des immunothérapies contre le cancer, grâce à des stratégies augmentant la concentration de magnésium de façon ciblée pour les traitements.

Les auteurs de l’étude ont pu confirmer ces résultats prometteurs en analysant les données de malades du cancer, qui indiquent que ceux qui ont de faibles taux de magnésium dans le sang réagissent moins à l’immunothérapie.

Mais, de façon bien plus importante pour nous tous, elle confirme que tout au long de la vie il est important de surveiller nos apports en magnésium, et que cela peut diminuer notre risque de cancer, en permettant à notre système immunitaire de supprimer les tumeurs naturellement, et sans même que nous nous en rendions compte.

Le nutriment dont on manque le plus en France

Depuis plus de dix ans, j’ai publié d’innombrables articles faisant la promotion du magnésium, et rappelant en particulier qu’il s’agit du nutriment qui manque le plus dans la population, avec un taux de personnes en déficit de 70 % en France selon l’étude Suvimax, et un tiers des Français carencés.

Ces faits sont connus des scientifiques depuis 1997 soit 25 ans. Mais les autorités restent parfaitement indifférentes à cela, et rares sont les personnes qui se supplémentent correctement en magnésium.

Un déficit en magnésium est pourtant lié à bien d’autres problèmes que le cancer et les infections : diabète, hypertension, ostéoporose, et même Alzheimer. Le magnésium améliore les fonctions musculaires et nerveuses, et contribue à la fabrication des protéines, des os et de l’ADN.

En plus des légumes et fruits cités plus haut, on le trouve en abondance dans les amandes, les noix de cajou, le tofu, les graines, les huiles de poisson, et le chocolat noir.

Pour les suppléments de magnésium, il faut préférer les sels organiques de magnésium hautement disponibles comme le citrate et le bisglycinate de magnésium.

Il est bon de l’associer à de la vitamine B6 qui facilite son absorption, mais il faut éviter les additifs comme le dioxyde de titane et le carboxyméthylcellulose (E 466).

L’apport journalier recommandé est de 420 mg pour les hommes et 320 mg pour les femmes.

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis

The post Epinards contre cancer appeared first on Santé Nature Innovation.



from Santé Nature Innovation https://ift.tt/3nYAv3O

santé nature innovation

Chère lectrice, cher lecteur,

Je m’inquiète car, depuis plusieurs semaines, ma vue se trouble quand je lis des articles d’actualité.

D’abord j’ai cru que c’était l’âge.

Maintenant, je me rends compte que c’est les émotions de plus en plus violentes que je ressens à la lecture des nouvelles.

L’excitation du début est passée

Au début du Covid, je me rappelle d’une certaine excitation causée par la nouveauté.

On découvrait le “confinement”, les “masques chirurgicaux”, le “gel hydroalcoolique”, les “gestes barrières” et la “quarantaine”. On avait l’impression de vivre un film catastrophe, pour de vrai, mais sans vraiment risquer sa vie non plus.

On était pour, on était contre, mais pour tout le monde, c’était nouveau, intéressant et stimulant.

On ne croyait pas vraiment à la répression. Les mesures chocs n’allaient pas durer. La société n’allait pas se transformer en prison à ciel ouvert où, durablement, il allait être interdit de se réunir, de rendre visite à ses proches, d’aller au restaurant, prendre un train ou un avion, de dire adieu à un être cher mourant à l’hôpital ou dans un Ehpad.

Jamais on n’allait imposer de pass sanitaire obligatoire pour les activités courantes. Quant à la vaccination obligatoire, le chef de l’Etat lui-même s’était offusqué publiquement que certains “complotistes” fassent courir des “fake news” à ce sujet.

Les écoles avaient certes provisoirement fermé.

Mais jamais au grand jamais on n’allait forcer de petits enfants à porter le masque huit heures par jour, au risque d’entraver leur développement affectif, social et cognitif.

Peu à peu, le cauchemar est devenu réalité

Mais la réalité, vous la connaissez : peu à peu, chacune de ces mesures a été testée, puis appliquée provisoirement, généralisée, et enfin, pérennisée.

D’abord j’ai été déçu, désemparé, puis surpris, ensuite incrédule. Puis j’ai été outré, scandalisé, avant de me sentir affolé puis déprimé et enfin… assommé.

Si bien que, lorsque j’ai entendu le Président de la République française expliquer qu’il allait “emmerder jusqu’au bout” les non-vaccinés, je n’ai plus su comment réagir.

J’avais épuisé tout l’éventail des émotions possibles. Amateur de Brassens, je fais partie de cette ancienne génération qui se souvient du sens propre, si j’ose dire, du mot “emmerder” (qui, justement, n’est pas propre du tout).

Je pensais à mes grands-parents, qui se retourneraient dans leur tombe s’ils savaient que désormais, à l’Elysée, c’est ainsi qu’on parle, et qu’on traite les citoyens.

Mais au moins les mesures fortes auront permis d’en finir plus vite avec le virus ?

Non. Il semble que quoi qu’on fasse, les vagues épidémiques s’enchaînent et plus personne n’ose évoquer une fin.

Aujourd’hui lundi 17 janvier 2022, les experts les plus optimistes “espèrent” une décrue de la cinquième vague au cours du mois de février, tandis que déjà la sixième vague est annoncée pour le début de l’été et que la septième vague est évoquée également.

Une enquête du 10 janvier 2022 de France-Info intitulée “Covid-19 : quand et comment la pandémie prendra-t-elle fin ? Voici les hypothèses des scientifiques”, annonce d’emblée que, quand bien même le Covid pourrait se transformer en épidémie saisonnière un jour, “rien ne dit que la situation actuelle ne pourrait pas se prolonger au moins jusqu’à l’hiver 2022-2023.

Prolongation de la situation au moins jusqu’à l’hiver 2023

Notez bien le “au moins”. Cela rappelle la Première Guerre mondiale, qui était censée durer une semaine, en août 14…

Mais le pire est à venir :

La journaliste de France-Info, Mathilde Goupil, juge “l’éradication totale du virus très improbable”, alors même qu’il y a encore quelques mois, France-Info présentait comme une certitude que cela serait le cas pour peu que 85 % de la population accepte de se faire vacciner… une fois (il n’était pas question de rappel à l’époque, et la notion de 3e dose “booster” n’avait pas encore été inventée par les vaccinologues).

92 % des Français de plus de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin, mais ce sont les 8 % d’irréductibles qui sont aujourd’hui désignés comme la cause de tous les maux.

Même l’élimination locale du virus est jugée “difficilement atteignable” par France-Info, et ce malgré toutes les mesures de surveillance de la population, vaccination répétée, traçage des cas-contacts, quarantaine et télétravail.

Il faudrait être une île… ou, finalement, même pas.

L’article explique au passage que seuls les pays ayant la chance d’être des îles, et donc de pouvoir bien contrôler leurs frontières, peuvent espérer réussir une “stratégie Zéro-Covid”.

Il donne l’exemple de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie qui ont su faire preuve d’une extrême rigueur pour détecter et isoler tous les nouveaux cas.

Dans le paragraphe suivant, cependant, la journaliste explique que malgré sa “stratégie de dépistage agressive”, et la fermeture de ses frontières, l’Australie “a connu le 4 janvier un record de près de 50 000 cas quotidiens”.

C’est à ce moment là que ma vue, à nouveau, s’est brouillée, Je n’ai pas pu empêcher mon cerveau de bugger, quand il a fait tout seul une règle de trois qui m’a indiqué que, à population égale, l’Australie a autant de cas de Covid que les autres pays.

La fin de la pandémie dans quelques années… ou quelque décennies

La journaliste de France-Info Mathilde Goupil ne se laisse pas arrêter par cette contradiction. Elle enchaîne pour expliquer que, selon 90 % des experts interrogés par la revue Nature, la pandémie va se transformer en maladie endémique, c’est-à-dire qu’elle va continuer à tourner dans la population en permanence mais la majorité de formes graves seront évitées.

Problème, on ne sait pas si ce scénario va se produire d’ici “quelques années” ou d’ici… “quelques décennies” !

Selon France-Info, c’est la faute des Africains !

Elle explique ensuite que, pour cela, il faudrait toutefois que 70 % de la population mondiale soit vaccinée. Or, cela lui paraît impossible puisque seulement 9 % des Africains sont vaccinés.

Je ne sais pas si j’ai bien compris ses propos, mais cela semble vouloir dire que, nous aurions beau vacciner encore et encore toute la population française, cela ne servirait à rien tant que les Africains ne le sont pas.

Il doit y avoir une logique quelque part, mais pour ma part, j’aurais préféré qu’on nous précise ce “détail” avant de commencer les campagnes de vaccination, et de nous promettre un retour rapide à la normale…

Mais les choses se gâtent vraiment en fin d’article quand Mathilde Goupil de France-Info envisage le 4e et dernier scénario possible, à savoir un “variant grave qui échappe au système immunitaire”, entraînant une catastrophe sanitaire mondiale.

Un variant grave qui échappe au système immunitaire et provoque un désastre

Elle cite l’OMS qui “s’alarme” devant cette possibilité, et le Dr Gilbert Deray, chef du service de néphrologie de la Pitié-Salpêtrière qui d’ores et déjà envisage l’apparition d’un variant “plus contagieux et plus mortel” que les précédents car, selon lui, cela a été le cas de tous les variants jusqu’ici, à l’exception d’omicron.

L’article se termine par ces mots : “Quant à la fin de la pandémie, bien malin qui pourra la prédire. Ce qui est certain, c’est que l’évolution de l’immunité et la nature des prochains variants seront clés.”

Non, vous n’êtes pas en train de lire une réplique de Dupond et Dupont dans Tintin

Non, vous n’êtes pas en train de lire une réplique de Dupond et Dupont dans Tintin. C’est bel et bien ce que nous servent les grands médias de service public.

Cela m’a rappelé mes cours dans ma jeunesse où l’on nous mettait en garde contre la manipulation mentale.

Souffler le chaud et le froid, dire une chose puis son contraire, rire puis soudain fondre en sanglots, promettre monts et merveilles et, immédiatement après, les pires tourments.

C’est la technique de torture psychologique bien connue, dite du “good cop, bad cop”. Vous faites interroger un malheureux par deux policiers dont l’un fait semblant d’être son ami, et l’autre mime la rage meurtrière. Le prisonnier panique, ne sachant plus s’il peut compter sur le “gentil” policier ou s’il va se faire massacrer par le méchant.

Bien entendu, dans le cas du Covid, je n’ai aucune explication sur les raisons pour lesquelles les autorités et les médias nous font cela.

Ils ne font sans doute pas exprès. Ils sont juste déboussolés comme tout le monde par cette pandémie qui ne cesse de déjouer tous les pronostics, peut-on dire.

D’accord.

Mais pourquoi, dans ce cas, ne pas reconnaître tout simplement qu’ils ne savent pas ?

Pourquoi cette difficulté à confesser leur ignorance et leur impuissance ?

Pourquoi cet activisime, cette hargne moralisatrice envers les sceptiques, cette hâte à imposer sans cesse de nouvelles mesures ? Pourquoi ce besoin permanent de montrer qu’ils savent où ils vont, alors que même nos écoliers ont compris que les autorités, experts et journalistes se contredisent sans cesse ? Pourquoi cette obstination à embrouiller les choses, dresser les gens les uns contre les autres, jusqu’à causer la guerre de tous contre chacun ??

Finalement, c’est ça dont je rêve, aujourd’hui. Qu’un Président, quelque part dans le monde, ose prendre la parole et dire, tout simplement :

Mes chers Compatriotes !

L’heure est grave. Deux ans après le début de la pandémie de Covid-19, je n’ai toujours pas la moindre idée de ce qui se passe, ni de ce qui va arriver.

J’ai fait de mon mieux depuis le départ. Mais je dois bien reconnaître aujourd’hui que je n’ai pas cessé de me tromper sur cette pandémie.

Je vous ai promis la solution grâce à telle et telle mesure, tel et tel sacrifice, et j’y croyais vraiment sur le coup.

Mais je dois bien avouer que, rétrospectivement, ça n’a pas marché, ou du moins pas aussi bien que je l’espérais. Comme vous, je suis déçu. Comme vous, cela m’attriste. Et comme vous, je suis désolé pour toutes les familles endeuillées, toutes les personnes qui ont souffert de la maladie elle-même, ou des mesures prises pour combattre la maladie et dont plus personne ne peut dire avec certitude, aujourd’hui, si elles font plus de bien ou plus de mal.

Mais n’est-ce pas bien souvent ainsi, dans la vie ? On ne reçoit pas ce qu’on espère, et on reçoit ce qu’on n’espère pas. C’est parfois dommage mais parfois aussi cela va dans le bon sens. Et le courage authentique, c’est de faire avec ce qu’on nous donne.

Alors aujourd’hui, mes chers compatriotes, je vous propose d’arrêter les frais.

L’urgence n’est plus de prendre une énième mesure contraignante, mais plutôt de stopper la montée de l’agressivité et de la colère qui est en train de détruire nos communautés et nos familles, nos amitiés, nos entreprises et nos administrations, nos associations et nos coopérations.

Faisons un effort de modestie, de retenue, d’humilité. Arrêtons de croire que nous avons la solution pour faire cesser tous nos maux.

Quittons cet état puéril où chacun imagine qui, si seulement on lui donnait tous les pouvoirs, les choses iraient mieux.

Non. Je crains que ce soit exactement l’inverse. L’attitude juste, mature, raisonnable, c’est de comprendre que le monde est compliqué, et qu’on ne sortira de nos problèmes que doucement, peu à peu, en prenant chacun nos responsabilités et en cessant de chercher des boucs émissaires faciles. 

Le bien ne fait pas de bruit, et le bruit ne fait pas de bien. Comprenons que la maladie ne sera pas contenue par une mesure radicale, mais par la somme des petits efforts que chacun pourra faire, à commencer par nos soignants dont on oublie trop souvent à quel point, chaque mois qui passe, ils progressent dans les traitements et la prise en charge des malades, si bien qu’il y a, proportionnellement au nombre de cas de Covid, de moins en moins de personnes hospitalisées, de moins en moins de malades envoyées en réanimation, et de moins en moins de décès.

C’est la preuve que la méthode des petits pas marche. Je vous propose de lui faire confiance et de cesser de nous impatienter. Car nous énerver ne sert à rien de toute façon. On l’a bien vu maintenant.

De votre côté, mes chers compatriotes, vous pouvez contribuer à cet effort par des gestes simples, que vous avez du reste toujours connus. Certainement, il est raisonnable de ne pas se faire la bise quand on tousse, ou quand on crache ou quand on a le nez qui coule. Vous le saviez depuis toujours, n’est-ce pas ? Certainement se laver les mains consciencieusement plusieurs fois par jour est une excellente règle d’hygiène. Sans doute des chercheurs vont-ils finir par trouver un remède, un vaccin, quelque chose d’efficace, et il existe déjà des choses, laissons les personnes qui se sentent prêtes à utiliser ces moyens le faire sans les contraindre. Certainement vous avez vos vitamines, vos tisanes, vos plantes, vos remèdes de grand-mère. Utilisez-les, tant qu’ils ne font de mal à personne !

Ainsi, très probablement, d’ici quelques semaines, mois, années, ou décennies, les choses iront mieux. Quant à la date exacte, je suis en effet au regret de vous rappeler que nul ne connaît ni le jour, ni l’heure. Je ne suis pas Dieu.

Et maintenant, hop, au travail, reprenez vos occupations, vos charges, vos responsabilités, pour tous ceux qui le peuvent. Et laisser les petits enfants jouer et grandir, les jeunes étudier et faire leurs premières expériences, les couples se former et fonder, à nouveau, de beaux foyers et travailler pour préparer les futures générations.

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis

The post Rester calme quand le monde devient fou appeared first on Santé Nature Innovation.



from Santé Nature Innovation https://ift.tt/3KnqIOo

santé nature innovation

Pourquoi faire des efforts ?

Quand vous donnez des conseils de nutrition, de santé [1], vous vous heurtez régulièrement à des personnes qui vous répondent qu’elles n’ont pas envie de faire des efforts.

Pourquoi, en effet, faire des efforts ?

“Je préfère ne pas m’embêter”

Pourquoi se priver, alors que la plupart des gens ne “s’embêtent pas avec ça”, “profitent de la vie”, et évitent de se “prendre la tête” ?

Pourquoi écouter les donneurs de leçon qui, agitant un index menaçant, vous intiment de vous sacrifier, alors que par ailleurs tant d’autres voix vous incitent à vous la couler douce ?

Soyez cool. Relax. Détendez-vous, y a pas l’feu au lac. Peace. Love, entend-on partout.

Mais voilà.

La réponse est toute simple :

Il faut faire des efforts maintenant pour éviter de souffrir bêtement et inutilement plus tard.

Faire des efforts maintenant nous évite de souffrir bêtement et inutilement plus tard

Les sacrifices que l’on fait aujourd’hui sont une manière de prendre soin de la personne que nous serons demain, de lui éviter des problèmes insurmontables.

C’est une règle qui existe de toute éternité.

Nos ancêtres chasseurs-cueilleurs faisaient les plus grands efforts, à la belle saison, pour réunir la nourriture et les peaux de bête qui allaient leur permettre de passer l’hiver.

Oui, c’était dur de réunir des choses de l’aube jusqu’au couchant, chasser des mammouths, pêcher des saumons dans les rivières, puis de les faire fumer pour les conserver.

Mais c’était infiniment moins douloureux que de se retrouver au cœur de l’hiver sans rien à manger, et de voir ses enfants mourir les uns après les autres.

Le sacrifice : une des plus grandes découvertes de tous les temps

L’être humain a fait une des plus grandes découvertes de tous les temps lorsqu’il s’est rendu compte que se sacrifier aujourd’hui permettait – souvent – d’aller mieux demain.

Bien sûr, rien n’est jamais garanti d’avance. Mais vous mettez ainsi les meilleures chances de votre côté.

Aujourd’hui, après des millénaires d’évolution, nous nous sommes habitués à sacrifier des années, des décennies de notre vie pour nous assurer un avenir meilleur. Et ça marche !

Par exemple : les enfants apprennent très tôt qu’ils vont devoir aller à l’école, plutôt que de rester tranquillement sur le canapé devant la télé. Ils vont devoir se soumettre à des leçons, des devoirs, des exercices (scolaires, physiques, artistiques), des examens, des concours, des entretiens de sélection, des formations, tout ceci sans aucune rémunération. Au contraire, cela coûte très cher à leur famille.

Mais cela vaut la peine. L’expérience sans cesse renouvelée est que plus un enfant fait d’efforts, plus il va au bout de ses capacités, plus son avenir a des chances d’être meilleur.

Ce n’est pas un hasard si notre époque est à la fois la plus prospère et celle où l’éducation des enfants est la plus longue de tous les temps (elle dure souvent jusqu’à 25 ans, voire 30 ans).

Pour nous, adultes, c’est exactement la même chose.

Réduire les souffrances et maladies auto-infligées

La vie nous réserve, quoique nous fassions, toutes sortes de souffrances que nous ne pourrons pas éviter : la maladie, la vieillesse, les deuils, les injustices, les violences…

Et si, par bonheur, nous sommes personnellement en bonne santé et ne subissons aucune injustice, nous souffrons forcément de voir d’autres personnes qui n’ont pas autant de chance que nous : famille, amis, voisins, ou simples inconnus, dans la rue ou à la télévision, qui nous rappellent que la souffrance est partout dans le monde.

La souffrance est une donnée universelle de la vie, elle nous attend tous.

Mais nous savons que nous pouvons, au moins, réduire notre risque de souffrances auto-infligées, en faisant des efforts aujourd’hui.

Nous pouvons par exemple :

  • arrêter de fumer
  • réduire la consommation d’alcool
  • manger plus de fruits et légumes
  • faire plus de sport
  • prendre le temps de cuisiner, plutôt que de se nourrir de malbouffe
  • choisir une bonne supplémentation nutritionnelle
  • suivre un rythme régulier pour se coucher, se lever et prendre ses repas
  • supprimer les sources de bruit, de stress, de colère dans notre vie
  • cultiver un jardin potager biologique
  • éviter les additifs dans notre alimentation
  • nous mettre à l’abri des toxines et perturbateurs endocriniens
  • boire du thé vert ou de l’eau plutôt que des boissons sucrées
  • limiter notre consommation de sucre
  • veiller à de bons apports d’acides gras polyinsaturés oméga-3
  • prendre le soleil régulièrement l’été et de la vitamine D3 l’automne et l’hiver
  • diminuer notre consommation de médicaments
  • veiller à conserver un poids raisonnable
  • Etc.

Chaque fois, c’est un petit sacrifice. Il serait plus facile de dire : “ce n’est pas grave” ; “je m’en fiche”.

Mais chaque fois que nous nous demandons si ces efforts valent la peine, rappelons-nous le coût gigantesque, disproportionné, la souffrance sans limite d’une vie après un AVC, un infarctus qui vous a largement détruit le cœur, un diabète ou un cancer généralisé, pour nous ou pour nos proches qui souffriront peut-être plus que nous encore de nous voir souffrir.

Ces paroles paraissent moralisatrices, dures, j’en ai bien conscience, mais le problème est qu’elles sont… vraies, malheureusement.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

The post Pourquoi faire des efforts ? appeared first on Santé Nature Innovation.



from Santé Nature Innovation https://ift.tt/3ri7D7w

santé nature innovation

Mes bons vœux pour l’année 2022

L’actualité ébouriffante, pour ne pas dire délirante, me pousse à partager avec vous des réflexions sur les meilleures façons de naviguer par gros temps.

Que faire quand vous ne savez pas où la tempête vous pousse, quand vous ne pouvez pas deviner à l’avance si l’on va vous vacciner, vous confiner, vous masquer ou vous interdire de vous marier, d’enterrer votre grand-mère, de sortir au cinéma ou de prendre le train ?

L’important alors est de vous revenir aux fondamentaux. S’en tenir à des règles de base de l’action, qui sont toujours vraies.

J’en énonce dix ci-dessous qui me paraissent particulièrement importantes :

1. Respectez vos rythmes naturels

Quand une personne est en crise, en dépression, dans le chaos, la première chose que recommandent les médecins est de rétablir une routine de vie respectant les rythmes naturels.

A la base : se lever, se coucher et manger à heures fixes.

C’est d’une simplicité extrême et pourtant, cette seule règle permet déjà de gagner une force et une énergie considérables pour triompher dans l’adversité.

2. Tenez-vous droit, les épaules en arrière

C’est une règle qui concerne tous les mammifères, mais également les crustacés paraît-il : vos émotions intérieures influencent votre posture, et vice-versa.

Le simple fait de se tenir droit, la tête haute :

  • augmente votre capacité de respiration,
  • facilite les contacts visuels donc les rencontres et la confiance,
  • vous permet de remarquer des choses que vous n’aviez pas vues, ce qui vous rend plus fort.

3. Fixez-vous des objectifs

Vos chances d’obtenir quelque chose sont bien plus faibles si vous ne savez pas ce que vous cherchez.

Le simple fait de savoir ce que vous aimeriez avoir dans un mois, trois mois, un an et trois ans augmente considérablement vos chances de l’obtenir.

4. Sachez ce que vous voulez absolument éviter

Les êtres humains ont des motivations qui les stimulent pour agir.

Mais ils sont encore bien plus stimulés par leurs peurs.

Pour battre son record de vitesse, on peut s’inscrire dans un club d’athlétisme, mais c’est plus efficace d’être poursuivi par un lion.

Connaître nos peurs, savoir qu’elles risquent effectivement de se réaliser si nous manquons de vigilance, est un moyen phénoménal de progresser, en utilisant l’énergie de la fuite.

5. Fréquentez des personnes qui veulent le meilleur pour vous

On est la moyenne des six personnes les plus proches qui nous entourent.

Sélectionnez vos amis, collaborateurs et co-équipiers pour éviter ceux qui vous tirent vers le bas et préférer ceux qui veulent le meilleur pour vous.

6. Comparez-vous à la personne que vous étiez hier matin, pas aux autres

La meilleure façon d’être éternellement insatisfait et découragé est de se comparer aux autres.

Le seul point de comparaison qui ait vraiment un sens pour nous, c’est la personne que nous étions hier matin.

Sommes-nous aujourd’hui plus compétent, plus fort, plus juste, plus sage que nous ne l’étions hier ?

Peu importe que la différence soit minime. Les progrès s’additionnent et se potentialisent avec le temps. C’est l’origine de l’histoire du Petit Poucet qui, après un certain nombre d’épreuves réussies, chausse des bottes de sept lieues et franchit en une minute les distances qu’il aurait mis autrefois des jours à parcourir.

7. Prenez conscience du temps que vous perdez

Soyez impitoyable avec vous-même et calculez sur une journée entière le nombre de minutes réelles passées à ne rien faire ou à faire des choses inutiles ou nuisibles pour vous et pour les autres.

En moyenne, les personnes qui font l’exercice la première fois calculent cinq heures.

La simple conscience du temps et de l’énergie considérables ainsi perdus suffisent à faire sonner une alarme dans la tête pour nous faire faire de meilleurs choix sur l’usage de notre temps, dès que nous retombons dans nos mauvaises habitudes.

8. Vous avez du mérite à vous lever le matin

Le simple fait de vous lever le matin et de faire quelque chose, même si vous trouvez cela nul, insuffisant, est déjà une réussite. C’est la base nécessaire pour réaliser un jour, de grandes choses.

Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais.

Le plus grand regret des gens sur leur lit de mort, ce ne sont pas leurs erreurs mais ce qu’ils auraient aimé faire et qu’ils n’ont pas eu le courage et l’énergie de faire.

Refuser le risque d’échouer, c’est se refuser la possibilité de réussir.

9. Dépensez moins que ce que vous gagnez

C’est la seule règle commune à toutes les personnes qui sont devenues prospères.

10. Partez du principe que toute autre personne a quelque chose à vous apprendre

Le cerveau humain est l’objet le plus complexe de l’univers. Chaque fois que vous rencontrez une personne, celle-ci connait forcément une multitude de choses que vous ignorez, même si elle vous paraît stupide, étrangère, inintéressante.

Le psychanalyste Carl Rogers disait : “Si une personne n’a rien d’intéressant à vous dire, c’est que vous ne savez pas écouter.

*****************

Ces dix règles vous aideront, je l’espère, à traverser les épreuves qui nous attendent, et à terminer l’année encore plus compétents, sages et solides, qu’à la fin 2021.

Si vous avez des recommandations complémentaires à partager avec moi, je vous invite à le faire dans les commentaires de ma lettre. Je sélectionnerai les meilleurs pour les envoyer à tous les lecteurs et lectrices de Santé Nature Innovation.

Alors, bonne année, et bonne santé !

The post Mes bons vœux pour l’année 2022 appeared first on Santé Nature Innovation.



from Santé Nature Innovation https://ift.tt/3t4d64n